Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, pirate des mots et philanalyste en herbe présente :
Un nouvel article du Midi
Libre
commis par le journaliste, un journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même
en relecture et enrichi de commentaires
par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE
Au-delà du papier que si peu lisent — la presse de province est à l'agonie — certains vils personnages, esclaves volontaires à la solde de quelques puissants se sentent obligés de démultiplier sur la toile de l'Internet des textes parfois mensongers, souvent blessants, voire même calomnieux, afin de tenter de nuire à celles et ceux qui dérangent. Pour l'article présenté, le plus subtil — le plus détestable — est d'en avoir tronqué une partie (lors des diffusions sur la toile), avec le texte original déjà croustillant… et malsain; un original qui est de plus en plus difficile à trouver et qui dérangeait finalement un peu, notamment en raison du passage qui parle en "bien" et davantage en "honnêteté" du "coupable". Mais aussi — puisque si la censure existe depuis la nuit des temps, l'autocensure reste l'emblème des médiocres et des lâches — il fut supprimé de la toile de l'Internet une intéressante phrase sur "le coach" de Nicolas SARKOZY alors qu'il était président de la République française en fin de mandat et espérant bien garder son trône…
Ici, c'est le pirate des mots qui doit payer son audace : Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, l'homme à pendre haut et court au grand mât de l'Ordre moral.
L'usage de quelques jeux habiles afin de salir sans se sentir coupable, se fait de plus en plus, car l'approximatif n'est pas un souci chez un grand nombre de journalistes, lorsque ce n'est pas juste de l'imaginaire ou de la calomnie… Mais pour ces pions du système, l'important est de recevoir leur pitance, après avoir jeté leur dévolu sur l'homme à abattre choisi.
Quoi qu'il en soit, ils savent très bien que ce qui fut écrit laissera certainement les sales traces nécessaires pour créer une @moralité !
Yves Philippe de FRANCQUEVILLE n'a aucune animosité vis-à-vis de ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même.
À la lecture du premier article, paru dans la presse, au Midi Libre, il est allé le rencontrer à son bureau afin de l'inviter à reconnaître l'indélicatesse de ses propos, démontrant les erreurs, comme les contres vérités, les approximations avérées et surtout le parti pris contre l'accusé démontrant un sérieux manque de professionnalisme. Voir l'article en détail avec sa relecture sur le lien "premier Article du journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même". Il lui a demandé poliment et sans aucune menace — ni violence verbale ou physique (devant témoins bien entendu) — s'il était plutôt honnête de retirer de la toile de l'Internet ses lignes réellement destructrices pour un homme sincère, déjà violemment attaqué par une justice inique. Yves Philippe de FRANCQUEVILLE demandait un droit de réponse, un rectificatif… Le journaliste avait alors l'occasion de se racheter simplement en réalisant par la suite des articles plus attachés à une recherche de la vérité… même si dans notre monde, c'est souvent une cause perdue ! Ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même aurait pu devenir un "chevalier blanc" de la presse, un pourfendeur des injustices… un "Robin des bois" de la toile ! Hélas (pour lui peut-être) il s'est enfermé dans une certitude crasse de sa bonne mission de sape, affirmant avec un grand sourire (devant témoins) que si le philanalyste avait eu la chance d'être relaxé en première instance, cela ne serait pas confirmé en appel (alors que la date du procès en appel n'avait pas encore été annoncée… c'est de la prose divinatoire ?). Donc pas la peine de retirer son article; il saurait bien entendu poursuivre dans le même ton les articles suivants, assurant que sa mission "d'information" était juste…
Quelques mois plus tard, avant d'entrer dans la grande salle du tribunal de la Cour d'Appel de Montpellier, pour le procès en Appel, à la demande exclusive du Parquet, en raison du dossier indexé par la Chancellerie (le Ministère de la Justice, à Paris… se donne le droit de regard sur certaines affaires qui leurs tiennent à cœur… et l'indexation est plutôt rare, surtout pour des petites affaires de province d'un psychanalyste qui joue avec les mots… mais l'histoire secrète est bien plus complexe que ne peuvent même l'imaginer tous les pantins de la justice et des médias qui ont suivi la voix des maîtres pour tenter de mettre à mort un pirate), les deux protagonistes se sont de nouveau rencontrés… Il était là cette fois ce journaliste spécialiste de la salle des pas perdus ! Ah… Pour asseoir son autorité, il fallait montrer à la foule qu'en bon investigateur — cette fois — il serait présent afin d'assister à la mise à mort du philanalyste. Le supplicié, selon la tradition, a eu droit donc à demander un dernier vœu avant d'entrer dans l'arène. Yves Philippe de FRANCQUEVILLE choisit par pur souci de coquetterie, non pas le vieil Armagnac dans un verre en cristal, non pas un bon cigare de Saint-Domingue… qu'il préfère apprécier devant une bonne flambée avec de vrais amis… mais plutôt de lier l'article assurément détestable qui devait être écrit, par une photo plaisante, plutôt que de le présenter, la tête sur le billot :
Et le veux se réalisa…
Voici donc la charmante photo de "faites entrer le coupable", avec, pour la forme, et en hommage respectueux, la compagnie précieuse de son avocat Maître David MENDEL.
Ici, c'est le pirate des mots qui doit payer son audace : Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, l'homme à pendre haut et court au grand mât de l'Ordre moral.
L'usage de quelques jeux habiles afin de salir sans se sentir coupable, se fait de plus en plus, car l'approximatif n'est pas un souci chez un grand nombre de journalistes, lorsque ce n'est pas juste de l'imaginaire ou de la calomnie… Mais pour ces pions du système, l'important est de recevoir leur pitance, après avoir jeté leur dévolu sur l'homme à abattre choisi.
Quoi qu'il en soit, ils savent très bien que ce qui fut écrit laissera certainement les sales traces nécessaires pour créer une @moralité !
Yves Philippe de FRANCQUEVILLE n'a aucune animosité vis-à-vis de ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même.
À la lecture du premier article, paru dans la presse, au Midi Libre, il est allé le rencontrer à son bureau afin de l'inviter à reconnaître l'indélicatesse de ses propos, démontrant les erreurs, comme les contres vérités, les approximations avérées et surtout le parti pris contre l'accusé démontrant un sérieux manque de professionnalisme. Voir l'article en détail avec sa relecture sur le lien "premier Article du journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même". Il lui a demandé poliment et sans aucune menace — ni violence verbale ou physique (devant témoins bien entendu) — s'il était plutôt honnête de retirer de la toile de l'Internet ses lignes réellement destructrices pour un homme sincère, déjà violemment attaqué par une justice inique. Yves Philippe de FRANCQUEVILLE demandait un droit de réponse, un rectificatif… Le journaliste avait alors l'occasion de se racheter simplement en réalisant par la suite des articles plus attachés à une recherche de la vérité… même si dans notre monde, c'est souvent une cause perdue ! Ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même aurait pu devenir un "chevalier blanc" de la presse, un pourfendeur des injustices… un "Robin des bois" de la toile ! Hélas (pour lui peut-être) il s'est enfermé dans une certitude crasse de sa bonne mission de sape, affirmant avec un grand sourire (devant témoins) que si le philanalyste avait eu la chance d'être relaxé en première instance, cela ne serait pas confirmé en appel (alors que la date du procès en appel n'avait pas encore été annoncée… c'est de la prose divinatoire ?). Donc pas la peine de retirer son article; il saurait bien entendu poursuivre dans le même ton les articles suivants, assurant que sa mission "d'information" était juste…
Quelques mois plus tard, avant d'entrer dans la grande salle du tribunal de la Cour d'Appel de Montpellier, pour le procès en Appel, à la demande exclusive du Parquet, en raison du dossier indexé par la Chancellerie (le Ministère de la Justice, à Paris… se donne le droit de regard sur certaines affaires qui leurs tiennent à cœur… et l'indexation est plutôt rare, surtout pour des petites affaires de province d'un psychanalyste qui joue avec les mots… mais l'histoire secrète est bien plus complexe que ne peuvent même l'imaginer tous les pantins de la justice et des médias qui ont suivi la voix des maîtres pour tenter de mettre à mort un pirate), les deux protagonistes se sont de nouveau rencontrés… Il était là cette fois ce journaliste spécialiste de la salle des pas perdus ! Ah… Pour asseoir son autorité, il fallait montrer à la foule qu'en bon investigateur — cette fois — il serait présent afin d'assister à la mise à mort du philanalyste. Le supplicié, selon la tradition, a eu droit donc à demander un dernier vœu avant d'entrer dans l'arène. Yves Philippe de FRANCQUEVILLE choisit par pur souci de coquetterie, non pas le vieil Armagnac dans un verre en cristal, non pas un bon cigare de Saint-Domingue… qu'il préfère apprécier devant une bonne flambée avec de vrais amis… mais plutôt de lier l'article assurément détestable qui devait être écrit, par une photo plaisante, plutôt que de le présenter, la tête sur le billot :
Et le veux se réalisa…
Voici donc la charmante photo de "faites entrer le coupable", avec, pour la forme, et en hommage respectueux, la compagnie précieuse de son avocat Maître David MENDEL.
Quelques longs jours d'attente après le procès, et Yves
Philippe de FRANCQUEVILLE a pris acte : la découverte dans le Midi Libre et sur l'Internet de l'article suivant… Cela l'a
conforté dans l'assurance de la grande cause de sa mise à mort sociale entreprise par le journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même !
VOICI DONC L'ARTICLE EN RELECTURE.
En blanc de gris, le texte original — intégrale — de
l'article du MIDI LIBRE écrit, ou plutôt commis par le journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même repris
en copier / collé sur l'Internet (dont on ne trouve maintenant quasiment partout qu'une partie, l'autre ayant été autocensuré…
En vert, et contre tous, la relecture argumentée et commentée du pirate des mots : Yves Philippe de FRANCQUEVILLE.
En vert, et contre tous, la relecture argumentée et commentée du pirate des mots : Yves Philippe de FRANCQUEVILLE.
Un psychanalyste charlatan ou hérétique ?
(Là, voici un titre à la hauteur des idées bien arrêtées de ce journaliste fortement engagé : c'est lancé sans filet par un homme
qui semblerait par sa responsabilité de couvrir les affaires judiciaires, devoir être
un journaliste plutôt connaisseur des lois de la République française, surtout celles
utilisées dans les tribunaux sur notamment "la présomption
d'innocence", et écrivant — en plus — dans le grand journal de province, Le MIDI
LIBRE.
Oui, un titre plutôt accrocheur… et ne montrant aucune neutralité !
Un "charlatan" est un vilain faussaire, dont la définition de Wikipédia est sans appel : "une personne qui pratique l'imposture".
Un "hérétique", toujours pour citer Wikipédia c'est : "celui qui est coupable d'hérésie"…
Et selon le p'tit dico, pour finir c'est celui : "Qui constitue une hérésie ou qui est entaché d'hérésie ; qui professe une hérésie".
Bravo !
Rien qu'avec votre titre :
" Un psychanalyste charlatan ou hérétique ?"
Vous nous annoncez donc que Yves Philippe de FRANCQUEVILLE est bien entendu coupable… de l'un ou l'autre de vos "propres chefs d'accusation" alors que le tribunal, en délibération pour trois mois, n'a pas encore — au soir où vous rédigez votre texte — prononcé son verdict !
Cela promet du solide pour la suite de la lecture !
PROCES
Yves de Francqueville (peut-être aurait-il été plus correct de présenter le prévenu avec considération pour ses prénoms et nom, en harmonie avec votre signature ; écrire donc Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, c'est préférable) était jugé en appel pour abus de faiblesse, corruption de mineur et usurpation de titre. (Non, non… il y a erreur… Cette liste fut bien la dernière décidée "avant" le début du procès… les chefs d'accusation ont tellement été modifiés au cours des quatre années de procédures et de procès qu'il est difficile de savoir exactement au juste à quoi l'on tentait de faire condamner le prévenu… si déjà d'étranges modifications furent encore réalisées entre la relaxe et l'appel, le journaliste passionné de procédures — le journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même, expert en brèves de prétoires au MIDI LIBRE et bien présent cette fois mais seulement au début du procès — Oui, puisqu'il était déjà parti, comment aurait-il pu expliquer la scène ahurissante, au cours de la soirée de procès, lorsque la petite juge en noir et blanc — fraîchement médaillée de rouge — a demandé à l'objet de son défoulement, si notre pirate acceptait simplement de voir encore un nouveau chef d'accusation proposé en remplacement de celui "d'abus de faiblesse", qui semblait ne pas fonctionner avec son plan du jour pour le massacre exigé par la Chancellerie… et d'imposer sans appel, (pourquoi pas, la justice a ses méthodes que le commun des mortels n'a pas à comprendre : il doit juste acquiescer en baissant la tête !) celui "d'escroquerie" qui était semble-t-il plus facilement utilisable… sous les constatations du seul témoin de la scène : l'avocat Montpelliérain, Maître David MENDEL. Cet avocat de qualité — malgré ses propos fort professionnels et ses interventions pertinentes au risque même d'être sanctionné par la grande inquisitrice — fut alors impuissant à restaurer une justice équitable dans ce vrai "Tribunal des Flagrants Délires" où aurait aimé dire le grand Pierre DESPROGES, en superbe accusateur public : "avant de présenter l'accusé, donnons la sentence : la mort !" Oui, "qu'on lui coupe la tête !", vociférait à sa manière cette dame au cœur rouge… de sa belle Légion d'Honneur, vieil hochet napoléonien qu'elle semblait si bien mériter. Seul, tout seul, Maître David MENDEL, dans l'arène avec son client ? Oui, hélas… puisque le journaliste très sérieux, nommé un journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même, bien présent cette fois au tout début du procès, comme "unique (inique) public", dans cette salle vieillotte, sale et triste de la cour d'Appel du Tribunal de Montpellier, n'a même pas tenu deux heures sur les quatre heures d'audience assis sur un banc de bois… Il était donc parti lorsque la petite juge a modifié une dernière fois les chefs d'accusation… S'il était resté jusqu'au bout du procès, le journaliste aurait eu les bonnes informations ! ) La scène est surréaliste. (C'est certainement votre plus joli mot de l'article et le plus approprié.
Bravo !
Nous aurions pu aussi dire "dramatique" et aussi "scandaleuse" car en ces lieux dits de "justice", un homme était en train de se faire lyncher, quatre heures durant, debout à la barre, par trois juges de province en mal de Paris et un désespérant avocat général, accusateur public (bien tristement considéré par ses pairs pour de multiples raisons qu'il laisse transpirer). Tout cela pour la bonne cause de la République et satisfaire les envies d'un petit président de l'époque et d'une de ses éminences grises qui avaient besoin de se venger des jeux de mots d'un pirate. La juge faisait penser à Madame BOVARY, l'héroïne dépressive du roman éponyme de Gustave FLAUBERT, celle "qui voulait mourir et habiter Paris") Dans une salle de la cour d’appel vide de public, (Oui, un journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même, vide de public, vide de public, c'est un fait, mais serait-il possible d'ajouter, afin de rendre votre article enfin utile d'informations contradictoires : une salle de la Cour d'Appel VIDE… de PARTIE CIVILE ?
Incroyable, Non ?
C'est donc un combat pas vraiment très très loyal entre les "représentants" du Parquet (un procureur général tristement réputé, il faut le rappeler, par ses pairs pour sa capacité aussi à bâcler son travail — sachant, nous développerons après, qu'il a préparé son dossier sacré pendant les jugements de l'après-midi) et trois juges de province, face à leur coupable désigné par avance — Yves Philippe de FRANCQUEVILLE — assisté de son avocat Maître David MENDEL) jeudi dernier à la nuit tombée (bien tombée depuis longtemps en ce jour d'hiver. La convocation dans ces tribunaux est pour tous à 14 h 00… et il est maintenant un peu plus de 18 h 00 quand commence le massacre), pendant quatre heures (à peu près exact, nous avons quitté le tribunal vers 22 h 45… mais ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même avait rejoint son domicile bien avant), il est question de psychanalyse. De Freud et Lacan. Mais aussi de sexologie, de soins et de manipulation mentale. (Pas grand chose à ajouter sur cet étalage très journalistique — utile certainement pour un "référencement" sur la toile de l'Internet — si ce n'est que ces propos philosophiques étaient peut-être totalement en décalage avec l'histoire de l'accusé-coupable ! Ah, pour que l'article soit lu… J'aime le "manipulation mentale" qui vous défini à ravir, monsieur le journaliste… Il s'ajoute bien entendu au terme racoleur de "sexologie" qui vous obsède encore et toujours ! Venez en discuter dans le bureau de l'analyste… parlez, libérez vous !)
Sur le banc des prévenus : Yves-Philippe de Francqueville (À la barre, plutôt : Ecce homo ! Voici l'homme ! Ah, j'aime votre présentation qui me compare avec plaisir à SOCRATE ou JESUS ! Quel talent, mais quel talent ! Qui connait Yves Philippe de FRANCQUEVILLE sur Montpellier… très peu de monde, au-delà de la sphère philosophique, théologique et psychanalytique… il est en fait plutôt discret, et bosse sans s'étaler… et ses écrits à l'époque étaient annoncés sous des pseudonymes comme le faisait Boris VIAN à qui il rend hommage maintenant dans tous ses livres en notant "Traduit de l'Américain". Dans son quartier, c'est "le psy" ou "Yves" ou "Philippe"… peu connaissent son nom de famille ! Aujourd'hui, avec votre nuisance qui s'est propagée sur l'Internet, il est nécessaire de travailler au grand jour afin de rétablir les faits. Et pour l'écriture du, des prénoms et du nom, vous étiez déjà informé sans avoir écouté, alors encore une fois, merci d'en corriger la formulation : c'est Yves Philippe de FRANCQUEVILLE. Quelques explications fameuses et même croustillantes, voire passionnantes à se sujet, à lire ou relire sur les sites Mémoires d'un vivant et Mémoires d'un pirate). Yeux clairs, (dans l'article précédent, c'était "Yeux bleus", cela ne se précise pas vraiment, mais c'est certainement fort important pour les lecteurs d'éviter de percevoir le "copié/collé". Ça, c'est du journalisme comme on aime le lire dans les journaux du type "MIDI LIBRE ou VOICI, GALA ou encore ICI PARIS !) costume impeccable, (encore raté monsieur le journaliste d'investigation : regardez mieux la photo… il vous manque aussi, en plus d'un peu d'éducation, d'honnêteté et de talent, quelques notions sur les styles vestimentaires ainsi que sur l'appellation des objets d'usage par leur nom. Ce jour, le prévenu avait endossé de nouveau — pour voir si vous suiviez — une veste légère en fibre de banane, (sic !) bleu nuit, et s'était culotté du même pantalon gris anthracite que lors du premier procès. Et d'une toujours discrète cravate aux armes venues d'Oxford, par contre, sur une chemise grise cette fois. l'important était d'éviter de transpirer dans ce tribunal surchauffé et d'avoir des auréoles disgracieuses comme en avait l'accusateur public… l'avocat général et aussi le journaliste que vous êtes ! Avoir la classe et être le plus à l'aise possible dans cet espace carcéral, c'était mon choix. Donc, soit vous êtes peu doué pour la cause vestimentaire, soit vous ne portez vraisemblablement aucune attention pour celles et ceux que vous allez abattre par vos mots tueurs et mensongers) cheveu sur la langue, (Oh, mais, si feu Georges FRÊCHE avait sorti cette remarque à propos d'un de ses sujets ou rivaux, la presse se serait vite emparée de ces attaques dignes d'un petit enfant "méchant et moqueur" dans la cour de récréation du primaire. Pour un adulte, responsable, ayant une place d'honneur dans un journal tel que le "Midi Libre", c'est pitoyable ! Cela ne vous élève pas de la boue de la basse cour dans laquelle il vous semble aimer patauger avec cette attaque facile sur le handicap de Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, homme libre, pirate… fier d'assumer en raison de la prise de conscience qu'il est contraint de vivre avec (après avoir consulté des médecins phoniatres et des orthophonistes)… car cet handicap posait problème… à certains de ses supérieurs hiérarchiques surtout lorsqu'il était élève officier à l'EFIPN — L'école de Formation Initiale du Personnel Navigant de l'Armée de l'Air Française — dont il avait réussi le concours, et aussi pour le père Michel FROIDURE, ce frère dominicain ayant charge de "responsable" comme maître des Étudiants en philosophie et en théologie du Couvent des dominicains de Lille, de l'Ordre des frères prêcheurs. Michel FROIDURE aura toujours pour son frère dans l'Ordre, un réel mal-être, une gêne étrange. En effet, leur opposition était immense entre l'un qui se fait toujours remarquer par sa tiédeur, sa médiocrité et sa fausse modestie, comme son aversion pour le beau et le talent, en étant spécialiste du mauvais goût cachant certainement une homophilie frustrée (cause commune des moines qui ne pratiquent pas)… et l'autre — le beau jeune frère dominicain étudiant — brillant, entouré, toujours affable et passionné, fort de rayonner l'amour humain. Michel FROIDURE, cet antihéros des "grandes actions" toujours là pour les pauvres, en tant que petit chef — car au royaume des aveugles, les borgnes sont rois — (nous en reparlerons) aura le comportement détestable qu'il a toujours eu face à l'autorité… lorsque les gendarmes viendront le mettre à la question à propos de cet ancien jeune frère de son studentat du couvent des dominicains de Lille : TIÈDE et sans soutien, voire même suspicieux et évasif… tout ce qu'il fallait pour VANDERPOT, surnommé POL POT, le méchant Major chargé de l'enquête, afin de constituer son dossier de doutes ! Attitude classique de la part de Michel FROIDURE, qui sera égale à lui-même, puisque lorsqu'un frère quitte l'Ordre des frères prêcheurs ou une autre association religieuse, politique ou maçonnique, quasi tous les frères bien-aimés oublient les années passées d'amour fraternel ! Pour ceux qui restent, bien entendu, l'on protège, l'on cache ou l'on entretien les membres, même les plus dangereux pour le genre humain !
Oui, un titre plutôt accrocheur… et ne montrant aucune neutralité !
Un "charlatan" est un vilain faussaire, dont la définition de Wikipédia est sans appel : "une personne qui pratique l'imposture".
Un "hérétique", toujours pour citer Wikipédia c'est : "celui qui est coupable d'hérésie"…
Et selon le p'tit dico, pour finir c'est celui : "Qui constitue une hérésie ou qui est entaché d'hérésie ; qui professe une hérésie".
Bravo !
Rien qu'avec votre titre :
" Un psychanalyste charlatan ou hérétique ?"
Vous nous annoncez donc que Yves Philippe de FRANCQUEVILLE est bien entendu coupable… de l'un ou l'autre de vos "propres chefs d'accusation" alors que le tribunal, en délibération pour trois mois, n'a pas encore — au soir où vous rédigez votre texte — prononcé son verdict !
Cela promet du solide pour la suite de la lecture !
PROCES
Yves de Francqueville (peut-être aurait-il été plus correct de présenter le prévenu avec considération pour ses prénoms et nom, en harmonie avec votre signature ; écrire donc Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, c'est préférable) était jugé en appel pour abus de faiblesse, corruption de mineur et usurpation de titre. (Non, non… il y a erreur… Cette liste fut bien la dernière décidée "avant" le début du procès… les chefs d'accusation ont tellement été modifiés au cours des quatre années de procédures et de procès qu'il est difficile de savoir exactement au juste à quoi l'on tentait de faire condamner le prévenu… si déjà d'étranges modifications furent encore réalisées entre la relaxe et l'appel, le journaliste passionné de procédures — le journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même, expert en brèves de prétoires au MIDI LIBRE et bien présent cette fois mais seulement au début du procès — Oui, puisqu'il était déjà parti, comment aurait-il pu expliquer la scène ahurissante, au cours de la soirée de procès, lorsque la petite juge en noir et blanc — fraîchement médaillée de rouge — a demandé à l'objet de son défoulement, si notre pirate acceptait simplement de voir encore un nouveau chef d'accusation proposé en remplacement de celui "d'abus de faiblesse", qui semblait ne pas fonctionner avec son plan du jour pour le massacre exigé par la Chancellerie… et d'imposer sans appel, (pourquoi pas, la justice a ses méthodes que le commun des mortels n'a pas à comprendre : il doit juste acquiescer en baissant la tête !) celui "d'escroquerie" qui était semble-t-il plus facilement utilisable… sous les constatations du seul témoin de la scène : l'avocat Montpelliérain, Maître David MENDEL. Cet avocat de qualité — malgré ses propos fort professionnels et ses interventions pertinentes au risque même d'être sanctionné par la grande inquisitrice — fut alors impuissant à restaurer une justice équitable dans ce vrai "Tribunal des Flagrants Délires" où aurait aimé dire le grand Pierre DESPROGES, en superbe accusateur public : "avant de présenter l'accusé, donnons la sentence : la mort !" Oui, "qu'on lui coupe la tête !", vociférait à sa manière cette dame au cœur rouge… de sa belle Légion d'Honneur, vieil hochet napoléonien qu'elle semblait si bien mériter. Seul, tout seul, Maître David MENDEL, dans l'arène avec son client ? Oui, hélas… puisque le journaliste très sérieux, nommé un journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même, bien présent cette fois au tout début du procès, comme "unique (inique) public", dans cette salle vieillotte, sale et triste de la cour d'Appel du Tribunal de Montpellier, n'a même pas tenu deux heures sur les quatre heures d'audience assis sur un banc de bois… Il était donc parti lorsque la petite juge a modifié une dernière fois les chefs d'accusation… S'il était resté jusqu'au bout du procès, le journaliste aurait eu les bonnes informations ! ) La scène est surréaliste. (C'est certainement votre plus joli mot de l'article et le plus approprié.
Bravo !
Nous aurions pu aussi dire "dramatique" et aussi "scandaleuse" car en ces lieux dits de "justice", un homme était en train de se faire lyncher, quatre heures durant, debout à la barre, par trois juges de province en mal de Paris et un désespérant avocat général, accusateur public (bien tristement considéré par ses pairs pour de multiples raisons qu'il laisse transpirer). Tout cela pour la bonne cause de la République et satisfaire les envies d'un petit président de l'époque et d'une de ses éminences grises qui avaient besoin de se venger des jeux de mots d'un pirate. La juge faisait penser à Madame BOVARY, l'héroïne dépressive du roman éponyme de Gustave FLAUBERT, celle "qui voulait mourir et habiter Paris") Dans une salle de la cour d’appel vide de public, (Oui, un journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même, vide de public, vide de public, c'est un fait, mais serait-il possible d'ajouter, afin de rendre votre article enfin utile d'informations contradictoires : une salle de la Cour d'Appel VIDE… de PARTIE CIVILE ?
Incroyable, Non ?
C'est donc un combat pas vraiment très très loyal entre les "représentants" du Parquet (un procureur général tristement réputé, il faut le rappeler, par ses pairs pour sa capacité aussi à bâcler son travail — sachant, nous développerons après, qu'il a préparé son dossier sacré pendant les jugements de l'après-midi) et trois juges de province, face à leur coupable désigné par avance — Yves Philippe de FRANCQUEVILLE — assisté de son avocat Maître David MENDEL) jeudi dernier à la nuit tombée (bien tombée depuis longtemps en ce jour d'hiver. La convocation dans ces tribunaux est pour tous à 14 h 00… et il est maintenant un peu plus de 18 h 00 quand commence le massacre), pendant quatre heures (à peu près exact, nous avons quitté le tribunal vers 22 h 45… mais ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même avait rejoint son domicile bien avant), il est question de psychanalyse. De Freud et Lacan. Mais aussi de sexologie, de soins et de manipulation mentale. (Pas grand chose à ajouter sur cet étalage très journalistique — utile certainement pour un "référencement" sur la toile de l'Internet — si ce n'est que ces propos philosophiques étaient peut-être totalement en décalage avec l'histoire de l'accusé-coupable ! Ah, pour que l'article soit lu… J'aime le "manipulation mentale" qui vous défini à ravir, monsieur le journaliste… Il s'ajoute bien entendu au terme racoleur de "sexologie" qui vous obsède encore et toujours ! Venez en discuter dans le bureau de l'analyste… parlez, libérez vous !)
Sur le banc des prévenus : Yves-Philippe de Francqueville (À la barre, plutôt : Ecce homo ! Voici l'homme ! Ah, j'aime votre présentation qui me compare avec plaisir à SOCRATE ou JESUS ! Quel talent, mais quel talent ! Qui connait Yves Philippe de FRANCQUEVILLE sur Montpellier… très peu de monde, au-delà de la sphère philosophique, théologique et psychanalytique… il est en fait plutôt discret, et bosse sans s'étaler… et ses écrits à l'époque étaient annoncés sous des pseudonymes comme le faisait Boris VIAN à qui il rend hommage maintenant dans tous ses livres en notant "Traduit de l'Américain". Dans son quartier, c'est "le psy" ou "Yves" ou "Philippe"… peu connaissent son nom de famille ! Aujourd'hui, avec votre nuisance qui s'est propagée sur l'Internet, il est nécessaire de travailler au grand jour afin de rétablir les faits. Et pour l'écriture du, des prénoms et du nom, vous étiez déjà informé sans avoir écouté, alors encore une fois, merci d'en corriger la formulation : c'est Yves Philippe de FRANCQUEVILLE. Quelques explications fameuses et même croustillantes, voire passionnantes à se sujet, à lire ou relire sur les sites Mémoires d'un vivant et Mémoires d'un pirate). Yeux clairs, (dans l'article précédent, c'était "Yeux bleus", cela ne se précise pas vraiment, mais c'est certainement fort important pour les lecteurs d'éviter de percevoir le "copié/collé". Ça, c'est du journalisme comme on aime le lire dans les journaux du type "MIDI LIBRE ou VOICI, GALA ou encore ICI PARIS !) costume impeccable, (encore raté monsieur le journaliste d'investigation : regardez mieux la photo… il vous manque aussi, en plus d'un peu d'éducation, d'honnêteté et de talent, quelques notions sur les styles vestimentaires ainsi que sur l'appellation des objets d'usage par leur nom. Ce jour, le prévenu avait endossé de nouveau — pour voir si vous suiviez — une veste légère en fibre de banane, (sic !) bleu nuit, et s'était culotté du même pantalon gris anthracite que lors du premier procès. Et d'une toujours discrète cravate aux armes venues d'Oxford, par contre, sur une chemise grise cette fois. l'important était d'éviter de transpirer dans ce tribunal surchauffé et d'avoir des auréoles disgracieuses comme en avait l'accusateur public… l'avocat général et aussi le journaliste que vous êtes ! Avoir la classe et être le plus à l'aise possible dans cet espace carcéral, c'était mon choix. Donc, soit vous êtes peu doué pour la cause vestimentaire, soit vous ne portez vraisemblablement aucune attention pour celles et ceux que vous allez abattre par vos mots tueurs et mensongers) cheveu sur la langue, (Oh, mais, si feu Georges FRÊCHE avait sorti cette remarque à propos d'un de ses sujets ou rivaux, la presse se serait vite emparée de ces attaques dignes d'un petit enfant "méchant et moqueur" dans la cour de récréation du primaire. Pour un adulte, responsable, ayant une place d'honneur dans un journal tel que le "Midi Libre", c'est pitoyable ! Cela ne vous élève pas de la boue de la basse cour dans laquelle il vous semble aimer patauger avec cette attaque facile sur le handicap de Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, homme libre, pirate… fier d'assumer en raison de la prise de conscience qu'il est contraint de vivre avec (après avoir consulté des médecins phoniatres et des orthophonistes)… car cet handicap posait problème… à certains de ses supérieurs hiérarchiques surtout lorsqu'il était élève officier à l'EFIPN — L'école de Formation Initiale du Personnel Navigant de l'Armée de l'Air Française — dont il avait réussi le concours, et aussi pour le père Michel FROIDURE, ce frère dominicain ayant charge de "responsable" comme maître des Étudiants en philosophie et en théologie du Couvent des dominicains de Lille, de l'Ordre des frères prêcheurs. Michel FROIDURE aura toujours pour son frère dans l'Ordre, un réel mal-être, une gêne étrange. En effet, leur opposition était immense entre l'un qui se fait toujours remarquer par sa tiédeur, sa médiocrité et sa fausse modestie, comme son aversion pour le beau et le talent, en étant spécialiste du mauvais goût cachant certainement une homophilie frustrée (cause commune des moines qui ne pratiquent pas)… et l'autre — le beau jeune frère dominicain étudiant — brillant, entouré, toujours affable et passionné, fort de rayonner l'amour humain. Michel FROIDURE, cet antihéros des "grandes actions" toujours là pour les pauvres, en tant que petit chef — car au royaume des aveugles, les borgnes sont rois — (nous en reparlerons) aura le comportement détestable qu'il a toujours eu face à l'autorité… lorsque les gendarmes viendront le mettre à la question à propos de cet ancien jeune frère de son studentat du couvent des dominicains de Lille : TIÈDE et sans soutien, voire même suspicieux et évasif… tout ce qu'il fallait pour VANDERPOT, surnommé POL POT, le méchant Major chargé de l'enquête, afin de constituer son dossier de doutes ! Attitude classique de la part de Michel FROIDURE, qui sera égale à lui-même, puisque lorsqu'un frère quitte l'Ordre des frères prêcheurs ou une autre association religieuse, politique ou maçonnique, quasi tous les frères bien-aimés oublient les années passées d'amour fraternel ! Pour ceux qui restent, bien entendu, l'on protège, l'on cache ou l'on entretien les membres, même les plus dangereux pour le genre humain !
Alors, oui, Yves Philippe de FRANCQUEVILLE assume depuis fort fort longtemps ses handicaps et pour ce qui est de "ce cheveu sur la langue" il vit en paix avec sa coquetterie lui donnant en fait un grand charme à son langage égalable d'aucun. Même lorsqu'il était jeune Lieutenant des commandos parachutistes, en train de former des soldats à l'instruction… c'était héroïque !
Mais pour toutes les autres personnes souffrant d'un "cheveu sur la langue", votre attitude est méprisante, vile et détestable, voire scandaleuse ! Et vous, le journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même, quels sont donc vos handicaps — que vous n'assumez pas — pour oser vous moquer ainsi, usant vilainement de votre fonction, de l'infirme que vous voulez abattre par tous les moyens ?) ce quadragénaire, (oui, déjà ! Mais, dites-le : fort bien conservé, au regard de la photo et plutôt beau gosse, car sensible à prendre soin de son corps, en harmonie avec son cœur et son esprit : la philanalyse, c'est aussi la quête du plaisir de bien vivre, de faire la fête, en regard de cette photo :
Mais pour toutes les autres personnes souffrant d'un "cheveu sur la langue", votre attitude est méprisante, vile et détestable, voire scandaleuse ! Et vous, le journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même, quels sont donc vos handicaps — que vous n'assumez pas — pour oser vous moquer ainsi, usant vilainement de votre fonction, de l'infirme que vous voulez abattre par tous les moyens ?) ce quadragénaire, (oui, déjà ! Mais, dites-le : fort bien conservé, au regard de la photo et plutôt beau gosse, car sensible à prendre soin de son corps, en harmonie avec son cœur et son esprit : la philanalyse, c'est aussi la quête du plaisir de bien vivre, de faire la fête, en regard de cette photo :
sur la liste des Verts aux dernières
municipales de Montpellier, (dans l'article précédent, vous aviez noté
"celui qui a tâté de la politique (il fut en 49 e position sur la liste
verte aux avant-dernières municipales)" Décidément, même dans le presque "copié"/collé, vous êtes un grand champion de "l'approximatif" et vous n'êtes pas à une contradiction près ! La désinformation est-elle votre règle de conduite journalistique,
ajouté au "voyeurisme", monsieur le journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même ? Oh, c'est plus
fort que vous : ne rien laisser au hasard dans vos attaques… Votre rôle de
petit sous-marin pour votre obédience est encore mise à jour. Vous n'aimez vraiment pas Europe Écologie Les Verts, pour vous plaire à lancer vos Scuds tous rouillés au rabais ! Alors, ce sont les dernières ou les avant dernières élections… et que veut dire "tâter de la politique", pauvre de vous ? Pour ce qui est
de la politique et de la place qu'aime occuper en tant qu'anarchiste humaniste et aimant la nature, Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, comme pirate, la démonstration n'est plus à refaire, voyez donc directement sur ce lien !) est sur le gril (après "tâter", on est sur le "gril"… Wahoo, c'est de la belle métaphore journalistique pour la rubrique des chiens écrasés ! Pas faux, pas faux cependant… Il est presque brûlé sous les
feux des projecteurs de la justice aveugle de cette République Bananière : avant de prononcer son verdict, elle a aussi lancé ses Scuds à l'aveugle)..
En cause : le cabinet de psychanalyse qu’il a ouvert en ville (Oh, un cabinet ouvert… voici plus de quinze ans… Ah, que de beaux souvenirs ou presque, pour toutes ces années de bons et loyaux services auprès des plus fragiles, des audacieux, des blessés du monde… qui se sont relevés pour vivre libres ! Oui, c'est peut-être aussi bien cette problématique du cabinet au 4 avenue Georges Clemenceau, d'un jeune psychanalyste qui est efficace, sympathique et original et qui brille certainement un peu trop pour les vétérans de cette petite ville qui voient même parfois leurs "patients de très longue date", les quitter pour venir "rapidement" terminer leur analyse chez un confrère pas très orthodoxe, qui ne joue pas comme eux) et qui lui vaut des plaintes pour abus de faiblesse et corruption de mineur (ah, ah ah, "des" "plaintes" de qui ? et si plainte il y a, dites nous, informez-nous… il n'y a pas plus de partie civile à ce procès qu'au précédent… pensez à nous le dire, monsieur le journaliste ! Oui, dans votre précédent article, vous avez mentionné en fait, que ce n'était pas des plaintes, mais des témoignages… quelques TÉMOIGNAGES, forcés… repris par le Major surnommé POL POT, cherchant des "victimes" sans en trouver malgré deux ans d'enquête. Et pour ce qui est de cette "corruption de mineur", ah oui, à la lecture des témoignages fameux, surtout ceux venant de Lille, à l'époque où Yves Philippe de FRANCQUEVILLE était encore étudiant au couvent des Dominicains de l'Ordre des Frères Prêcheurs… C'est splendide vos propos et font penser à l'accusation du tribunal envers SOCRATE, car il osait "corrompre la jeunesse" ! Oui, Le pirate des mots ne se ménage pas pour parler aux enfants et aux adolescents, pour leur donner soif de liberté, soif de vivre, d'aimer, de rayonner en se libérant des interdits et obligations sociétales et religieuses afin de ne plus vivre dans les frustrations en ayant des règles du jeu plaisantes, avec notamment cette considération sur la vie : "ne pas s'abîmer, ne pas abîmer l'autre… grandir à la rencontre de l'autre… et tout donner pour que l'autre grandisse à notre rencontre". Vous trouverez de quoi comprendre la colère et la méfiance des gens "bien pensants" à la lecture de son dernier ouvrage éducatif : "Enfance, Amours & Sexualité"). Il a été relaxé en première instance pour ces faits. (Oh, mais vous espérez vraiment que l'Appel du Parquet change la donne… Merci de l'expliquer… donnez davantage de détails, édifiez-nous… car quelques mois plutôt, les juges précédents étaient plutôt gênés de devoir tenter de répondre "justement" aux attaques de furie d'une procureur, qui vociférait en rafales des chefs d'accusation contre le jeune prévenu, alors que le tribunal était vide, et qu'il n'y avait comme preuves "des méfaits" de l'accusé-coupable qu'une suite de suppositions échafaudées sur une sélection drastique de témoignages réalisés de mains de maître par un major proche de la retraite sévissant dans la gendarmerie nationale — petite main ensanglantée — payé par la République, pour éliminer un gêneur) Mais condamné pour usurpation de titre. Parce que, sur des lettres ou des mails, ("des lettres OU des mails", oh, mais ça c'est de l'information fort précise… ça vous gratouille OU ça vous chatouille de nous écrire cela aurait pu dire aussi le bon Docteur KNOCK ?) il s’est prévalu du titre d’ « enquêteur expert pour la chambre des familles du tribunal ». Ce qu’il n’est pas. (Alors là, il y a du progrès ! Bravo ! En fait, Monsieur le journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même, vous m'avez bien écouté, lors de mon passage à votre bureau du Midi Libre, à côté du Bassin Jacques CŒUR, à Montpellier. (tient, en digression plaisante, J'ai parmi mes nombreux ancêtres plus ou moins célèbres par leurs actes héroïques ou détestables, ce Monsieur Jacques CŒUR, Seigneur et Châtelain de Saint-Fargeau, pirate à ses heures de gloire, puis ramené à la raison et réduit au silence, car trop brillant pour l'époque aux yeux de ceux qui se trouvaient trop pâles ! Oui, 4 liens directs de parentés ascendantes passionnantes à signaler aux 16, 17 & 18èmes générations. Lors de notre entretien, devant témoins, le philanalyste vous a dit explicitement que sur "sa plaque de rue", il n'y avait pas marqué… il n'y avait jamais eu marqué : "expert", ce que vous affirmiez pourtant dans l'article précédent, n'ayant pas fait correctement votre travail d'enquêteur avant d'écrire n'importe quoi, parce que "quelqu'un l'a dit". Mais bon, rappelons les faits : il a été condamné le pirate, ça c'est vrai et il ne faut pas encore noter n'importe quoi sur cette bonne nouvelle, car les lecteurs de Midi Libre ne sont pas toujours stupides… surtout ceux qui habitent le quartier Georges Clemenceau, et qui passent devant la plaque du philanalyste plusieurs fois par jour depuis plus de quinze ans et qui n'ont jamais vu inscrit "expert" sur la plaque de l'analyste !… Oui, il faut expliquer la "vraie" raison de la condamnation du vilain tricheur et usurpateur… Oh… que dire donc ? Ah, vous gardez cependant votre style "mitraillette" d'article en article, avec quelques répétitions, ce qui vous donne un genre (pour les rafales) et c'est vraiment étrange lorsque nous constatons que vous ne présentez pas (c'est vraiment une habitude, voire une tradition) deux fois de suite les mêmes conclusions dans les faits juridiques… là où le public lecteur aimerait plutôt de la précision ! Oui, vous écriviez précédemment dans un autre article : "Il a en revanche écopé d'une amende de 5.000 € avec sursis pour avoir inscrit sur sa plaque le titre d'expert auprès des tribunaux. Ce qu'il n'a jamais été...". Oups ! Génial encore… savez-vous la définition du verbe "écoper" ? : Il faut reprendre Wiktionnaire en les remerciant :écoper /e.kɔ.pe/ transitif 1er groupe (conjugaison)
Y'a quoi de "vrai", Monsieur le journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même, dans vos articles ? Bon, cela mérite tout de même une relecture car les abonnés à Midi Libre n'ont pas tous fait dix ans de droit… Alors, oui, venons donc expliquer à beaucoup, dont aux trois juges de la Cour d'Appel, ainsi qu'au fameux avocat général dont nous reparlerons en raison de sa brillante plaidoirie mal préparée hâtivement ( on peut aussi écrire "bâclée") pendant les quatre heures qu'ont duré les 6 ou 7 procès ayant eu lieu dans l'après midi… (Le prévenu pirate est assez attentif pour révéler à ses amis ceux qui aiment le travail bien fait !) : Oui, il y a aussi au sein de la magistrature, des espaces réservés, et des connaissances limitées ou parcellisées comme dans l'univers nébuleux de la médecine ! Un médecin ne sait pas tout (il a oublié ou a fait l'impasse parfois même de bien des sujets non nécessaire au concours ou aux examens) sur le corps humain, comme un juge ne connaît pas tout ce qui se passe et s'apprend, dans les tribunaux qui ne sont pas de son rayon ou de sa responsabilité ! Le grand jeu des juges cependant reste de faire croire au commun des mortels qu'ils sont tout puissants, qu'ils savent tout, et les représentent avec "justice", avec la sainte connaissance, depuis que le peuple hébreu leur a confié pour un temps les chaînes du pouvoir… (d'ailleurs, après avoir trop souffert de juges iniques, le peuple hébreux a demandé — c'est un comble — d'être dirigé par des "rois", semblant beaucoup plus honnêtes). Alors, oui, la Chambre de la Famille est la "petite branche" quelque peu méprisée par certains grands juges des Chambres plus hautes, où les politiques prônent l'indépendance de la justice, à condition que les loges où sont initiés un grand nombre de leurs sujets soient de leur parti ! Et donc, s'il y a des "Experts", ce que Yves Philippe de FRANCQUEVILLE n'est pas du tout, en effet (il n'a jamais prétendu faire parti de cette "secte de ceux qui savent" où trônent notamment tous ceux que l'on nomme "experts" — ces personnes, parfois respectables et même de temps en temps de bonne volonté, qui tentent de donner leur avis "dégoulinant de certitudes" sur telle ou telle situation, contredites aussitôt par une autre secte encore plus experte, mieux payée pour insister davantage ou mieux considérée. Il y a donc dans notre monde deux types de personnes : ceux qui ont l'assurance de "savoir", les binaires ou même monolithiques, et ceux qui, à l'écoute des propos socratiques de PLATON, ont pris conscience qu'ils ne savent pas… qu'ils ont tout à apprendre, simplement ! Les non-aristotéliciens, plutôt aujourd'hui à nommer les pluri-possibles, dans le suivi des travaux de Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, sur les I.H.N. — les Individus Hors Normalités — mieux compris avec l'étude de la philanalyse)… Ni expert, ni maître, ni docteur (sauf s'il termine sa thèse sur "l'idée de l'immortalité de l'âme chez PLATON". Mais le temps pris pour réaliser notamment des relectures d'articles de presse est encore trop important. Si la vie lui donne encore la force, nous verrons bien…mais n'est-il pas notre philanalyste en herbe ? Il était jusqu'à ce jour inscrit sur la liste des enquêteurs sociaux de la Chambre de la Famille, avec la bénédiction de la juge, Président de l'époque… preuves à l'appui sauf si c'est un vrai faux ou un faux vrai ?
Au lecteur de faire son analyse :
En cause : le cabinet de psychanalyse qu’il a ouvert en ville (Oh, un cabinet ouvert… voici plus de quinze ans… Ah, que de beaux souvenirs ou presque, pour toutes ces années de bons et loyaux services auprès des plus fragiles, des audacieux, des blessés du monde… qui se sont relevés pour vivre libres ! Oui, c'est peut-être aussi bien cette problématique du cabinet au 4 avenue Georges Clemenceau, d'un jeune psychanalyste qui est efficace, sympathique et original et qui brille certainement un peu trop pour les vétérans de cette petite ville qui voient même parfois leurs "patients de très longue date", les quitter pour venir "rapidement" terminer leur analyse chez un confrère pas très orthodoxe, qui ne joue pas comme eux) et qui lui vaut des plaintes pour abus de faiblesse et corruption de mineur (ah, ah ah, "des" "plaintes" de qui ? et si plainte il y a, dites nous, informez-nous… il n'y a pas plus de partie civile à ce procès qu'au précédent… pensez à nous le dire, monsieur le journaliste ! Oui, dans votre précédent article, vous avez mentionné en fait, que ce n'était pas des plaintes, mais des témoignages… quelques TÉMOIGNAGES, forcés… repris par le Major surnommé POL POT, cherchant des "victimes" sans en trouver malgré deux ans d'enquête. Et pour ce qui est de cette "corruption de mineur", ah oui, à la lecture des témoignages fameux, surtout ceux venant de Lille, à l'époque où Yves Philippe de FRANCQUEVILLE était encore étudiant au couvent des Dominicains de l'Ordre des Frères Prêcheurs… C'est splendide vos propos et font penser à l'accusation du tribunal envers SOCRATE, car il osait "corrompre la jeunesse" ! Oui, Le pirate des mots ne se ménage pas pour parler aux enfants et aux adolescents, pour leur donner soif de liberté, soif de vivre, d'aimer, de rayonner en se libérant des interdits et obligations sociétales et religieuses afin de ne plus vivre dans les frustrations en ayant des règles du jeu plaisantes, avec notamment cette considération sur la vie : "ne pas s'abîmer, ne pas abîmer l'autre… grandir à la rencontre de l'autre… et tout donner pour que l'autre grandisse à notre rencontre". Vous trouverez de quoi comprendre la colère et la méfiance des gens "bien pensants" à la lecture de son dernier ouvrage éducatif : "Enfance, Amours & Sexualité"). Il a été relaxé en première instance pour ces faits. (Oh, mais vous espérez vraiment que l'Appel du Parquet change la donne… Merci de l'expliquer… donnez davantage de détails, édifiez-nous… car quelques mois plutôt, les juges précédents étaient plutôt gênés de devoir tenter de répondre "justement" aux attaques de furie d'une procureur, qui vociférait en rafales des chefs d'accusation contre le jeune prévenu, alors que le tribunal était vide, et qu'il n'y avait comme preuves "des méfaits" de l'accusé-coupable qu'une suite de suppositions échafaudées sur une sélection drastique de témoignages réalisés de mains de maître par un major proche de la retraite sévissant dans la gendarmerie nationale — petite main ensanglantée — payé par la République, pour éliminer un gêneur) Mais condamné pour usurpation de titre. Parce que, sur des lettres ou des mails, ("des lettres OU des mails", oh, mais ça c'est de l'information fort précise… ça vous gratouille OU ça vous chatouille de nous écrire cela aurait pu dire aussi le bon Docteur KNOCK ?) il s’est prévalu du titre d’ « enquêteur expert pour la chambre des familles du tribunal ». Ce qu’il n’est pas. (Alors là, il y a du progrès ! Bravo ! En fait, Monsieur le journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même, vous m'avez bien écouté, lors de mon passage à votre bureau du Midi Libre, à côté du Bassin Jacques CŒUR, à Montpellier. (tient, en digression plaisante, J'ai parmi mes nombreux ancêtres plus ou moins célèbres par leurs actes héroïques ou détestables, ce Monsieur Jacques CŒUR, Seigneur et Châtelain de Saint-Fargeau, pirate à ses heures de gloire, puis ramené à la raison et réduit au silence, car trop brillant pour l'époque aux yeux de ceux qui se trouvaient trop pâles ! Oui, 4 liens directs de parentés ascendantes passionnantes à signaler aux 16, 17 & 18èmes générations. Lors de notre entretien, devant témoins, le philanalyste vous a dit explicitement que sur "sa plaque de rue", il n'y avait pas marqué… il n'y avait jamais eu marqué : "expert", ce que vous affirmiez pourtant dans l'article précédent, n'ayant pas fait correctement votre travail d'enquêteur avant d'écrire n'importe quoi, parce que "quelqu'un l'a dit". Mais bon, rappelons les faits : il a été condamné le pirate, ça c'est vrai et il ne faut pas encore noter n'importe quoi sur cette bonne nouvelle, car les lecteurs de Midi Libre ne sont pas toujours stupides… surtout ceux qui habitent le quartier Georges Clemenceau, et qui passent devant la plaque du philanalyste plusieurs fois par jour depuis plus de quinze ans et qui n'ont jamais vu inscrit "expert" sur la plaque de l'analyste !… Oui, il faut expliquer la "vraie" raison de la condamnation du vilain tricheur et usurpateur… Oh… que dire donc ? Ah, vous gardez cependant votre style "mitraillette" d'article en article, avec quelques répétitions, ce qui vous donne un genre (pour les rafales) et c'est vraiment étrange lorsque nous constatons que vous ne présentez pas (c'est vraiment une habitude, voire une tradition) deux fois de suite les mêmes conclusions dans les faits juridiques… là où le public lecteur aimerait plutôt de la précision ! Oui, vous écriviez précédemment dans un autre article : "Il a en revanche écopé d'une amende de 5.000 € avec sursis pour avoir inscrit sur sa plaque le titre d'expert auprès des tribunaux. Ce qu'il n'a jamais été...". Oups ! Génial encore… savez-vous la définition du verbe "écoper" ? : Il faut reprendre Wiktionnaire en les remerciant :écoper /e.kɔ.pe/ transitif 1er groupe (conjugaison)
- Vider un bateau avec une écope.
- (Familier) Éprouver un dommage, recevoir une forte réprimande, souvent imméritée.
- D'ailleurs, ce qui est particulier à la politique de l’histoire sainte, c'est que, chaque fois qu'un personnage marquant fait quelque chose de mal, c'est toujours le pauvre peuple qui écope. — (Émile Thirion, La Politique au village, p. 131, Fischbacher, 1896)
- Quand il se trouvait, par hasard, qu’un d’entre eux fût compromis, en classe, dans une affaire de bavardage, discussion ou jeu défendu, il arrivait toujours, prenant un air de sainte-nitouche, à s’en tirer sain et sauf, tandis que les copains, eux, ne manquaient pas d’écoper pour lui. — (Louis Pergaud, Deux Veinards, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921). (Wiktionnaire)
Y'a quoi de "vrai", Monsieur le journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même, dans vos articles ? Bon, cela mérite tout de même une relecture car les abonnés à Midi Libre n'ont pas tous fait dix ans de droit… Alors, oui, venons donc expliquer à beaucoup, dont aux trois juges de la Cour d'Appel, ainsi qu'au fameux avocat général dont nous reparlerons en raison de sa brillante plaidoirie mal préparée hâtivement ( on peut aussi écrire "bâclée") pendant les quatre heures qu'ont duré les 6 ou 7 procès ayant eu lieu dans l'après midi… (Le prévenu pirate est assez attentif pour révéler à ses amis ceux qui aiment le travail bien fait !) : Oui, il y a aussi au sein de la magistrature, des espaces réservés, et des connaissances limitées ou parcellisées comme dans l'univers nébuleux de la médecine ! Un médecin ne sait pas tout (il a oublié ou a fait l'impasse parfois même de bien des sujets non nécessaire au concours ou aux examens) sur le corps humain, comme un juge ne connaît pas tout ce qui se passe et s'apprend, dans les tribunaux qui ne sont pas de son rayon ou de sa responsabilité ! Le grand jeu des juges cependant reste de faire croire au commun des mortels qu'ils sont tout puissants, qu'ils savent tout, et les représentent avec "justice", avec la sainte connaissance, depuis que le peuple hébreu leur a confié pour un temps les chaînes du pouvoir… (d'ailleurs, après avoir trop souffert de juges iniques, le peuple hébreux a demandé — c'est un comble — d'être dirigé par des "rois", semblant beaucoup plus honnêtes). Alors, oui, la Chambre de la Famille est la "petite branche" quelque peu méprisée par certains grands juges des Chambres plus hautes, où les politiques prônent l'indépendance de la justice, à condition que les loges où sont initiés un grand nombre de leurs sujets soient de leur parti ! Et donc, s'il y a des "Experts", ce que Yves Philippe de FRANCQUEVILLE n'est pas du tout, en effet (il n'a jamais prétendu faire parti de cette "secte de ceux qui savent" où trônent notamment tous ceux que l'on nomme "experts" — ces personnes, parfois respectables et même de temps en temps de bonne volonté, qui tentent de donner leur avis "dégoulinant de certitudes" sur telle ou telle situation, contredites aussitôt par une autre secte encore plus experte, mieux payée pour insister davantage ou mieux considérée. Il y a donc dans notre monde deux types de personnes : ceux qui ont l'assurance de "savoir", les binaires ou même monolithiques, et ceux qui, à l'écoute des propos socratiques de PLATON, ont pris conscience qu'ils ne savent pas… qu'ils ont tout à apprendre, simplement ! Les non-aristotéliciens, plutôt aujourd'hui à nommer les pluri-possibles, dans le suivi des travaux de Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, sur les I.H.N. — les Individus Hors Normalités — mieux compris avec l'étude de la philanalyse)… Ni expert, ni maître, ni docteur (sauf s'il termine sa thèse sur "l'idée de l'immortalité de l'âme chez PLATON". Mais le temps pris pour réaliser notamment des relectures d'articles de presse est encore trop important. Si la vie lui donne encore la force, nous verrons bien…mais n'est-il pas notre philanalyste en herbe ? Il était jusqu'à ce jour inscrit sur la liste des enquêteurs sociaux de la Chambre de la Famille, avec la bénédiction de la juge, Président de l'époque… preuves à l'appui sauf si c'est un vrai faux ou un faux vrai ?
Au lecteur de faire son analyse :
(Papier à entête et signature qui parait vraie… de cette dame LECA, Président semble-t-il remarquable et remarquée…) cela ne parait pas être un vrai faux
ou un faux vrai, lorsque cette preuve fut présentée par maître David MENDEL devant la petite juge un
peu gênée, mais préférant oublier la signature de sa supérieure qui aurait mal vécu le fait d'être demandée à témoigner à la barre de son propre tribunal ! On oublie tout cela car la petite juge ne trouvant
pas de "numéro d'expert" pour son accusé coupable… considère cette preuve comme "fausse" et "irrecevable". Évidemment, puisque les "enquêteurs–experts", (inscription formulée sur les papiers d'entête et les enveloppes envoyés pour les missions d'enquêtes, n'ont pas de numéros ou de marque au fer rouge, contrairement aux "Experts près la Cour", (pour les numéros) qui eux, font partie d'une liste très
officielle ! Alors, en effet, oui… Monsieur le Journaliste, il y a eu sur des mails et (ou) même sur une lettre… des mots écrits par des patients qui ne connaissent pas trop les subtilités des titres et des actes… aussi bien qu'un juge d'un tribunal… Oh… l'un d'entre eux a même noté que Yves
Philippe de FRANCQUEVILLE était "expert auprès du tribunal pour la chambre
des familles", ce qu'il n'est pas… C'est bien vrai ! Ah ! Ah ! Cela aurait pu être écrit encore par le journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même, qui n'est pas à une approximation près, pour la bonne raison que la Chambre s'appelle "de la Famille" et non pas "des Familles" C'est donc bien un gag ! L'auteur de notre article de presse a aussi omis de citer un "livre" (vous savez, une suite de pages imprimées et reliées avec une couverture) commis par un candide frère montpelliérain tout innocent aux mains pleines où ce dernier raconte lui aussi les exploits du prévenu en l'annonçant "expert"…
Et c'est principalement ce petit livre, édité à
compte d'auteur par ce notable Montpelliérain et donné pour ses vœux, à ses meilleurs amis, qui va
servir de preuve ultime sur "l'usurpation de titre d'expert auprès des
Tribunaux". L'écrivailleur ayant commis ce livre — personnage plutôt bien en vue sur la place de Montpellier — n'a pas eu
le courage de défendre celui qu'il connaissait cependant assez bien, et n'a pas
su devant les gendarmes et leur major "3G" surnommé POL POT, dédouaner le
philanalyste, sur ce livre truffé de propos emphatiques et souvent erronés… L'amitié à parfois ses limites ! Allons, soyons sérieux… est-ce qu'un "expert près la Cour" s'abaisse à réaliser des enquêtes sociales ? Et que gagnerait notre pirate à être un pion du système ? Et Madame le Juge, vous qui étiez hilare en lisant le titre absurde "d'expert pour la chambre des Familles" ah ah ah… qui n'existe pas puisque c'est "la Chambre de la Famille"… vous avez donc accusé et condamné un homme pour avoir soi-disant usurpé un titre… qui n'existe pas ! Bien entendu, Florian MANTIONE aurait pu facilement dédouaner Yves Philippe de FRANCQUEVILLE auprès des gendarmes enquêteurs et gentiment s'excuser d'avoir bâclé son livre sans avoir donné un droit de regard — demandé cependant — pour rectification, mais cela, hélas, ne fut pas fait ni verbalement, ni par courrier bien
que cela fut exigé avec insistance… Une lettre intéressante tout de même que voici fut écrite :
À lire cette lettre de Florian MANTIONE, il est important de se poser la question évidente : est-ce que dans la petite ville de Montpellier, dans le cercle restreint des "experts", et de la psychiatrie il n'y a pas une personne sensée ? Comment des hommes reconnus et renommés comme l'éminent médecin docteur et professeur DANAN, psychiatre et expert près la Cour d'Appel de Montpellier, ce neuropsychiatre, ce psychologue et d'autres professionnels, sont à la hauteur de leurs titres ? Oui, comment ont-ils pu cautionner pendant 15 ans les agissements d'un charlatan, d'un hérétique… à même l'inviter très régulièrement dans des colloques, lui demander des conférences devant des parterres de gens instruits, lui proposer d'entrer dans des loges plus ou moins illustres… Et sachant l'acte incriminé, que l'ordre des experts ou des médecins n'aient pas porté plainte, qu'ils ne se soient pas portés partie civile ?
Il y a quelque chose qui cloche…
Et si tout cela n'était que du vent ?
C'est le Parquet qui estime qu'il y a eu "usurpation de titre", et non pas les différents ordres pouvant se présenter comme "victimes" ! Le plus comique est que cette condamnation "d'usurpation de titre" trop drôle avait été finalement accueillie par le "coupable", pour ne pas devoir se reprendre une procédure à gérer et supporter le ridicule de la Cour et avec l'accord de son avocat, il n'avait pas fait appel de cette condamnation loufoque, mais c'est bien le Parquet qui estimait la peine de 15.000 € d'amende avec sursis comme inutilisable pour détruire le pirate et pensait pouvoir encore utiliser ces preuves exceptionnelles de mails et de courriers retrouvés par la suite, pour l'attaquer davantage !) De Francqueville (on dit "FRANCQUEVILLE", pour citer un aristocrate; vous devriez le savoir, monsieur le journaliste ! La particule se place avec le titre ou les prénoms lorsque c'est une particule dite "noble". Pour les autres, on la lie au nom, comme pour De GAULLE, nom bourgeois) rechigne (refuse simplement comme au précédent procès, mais à l'époque vous parliez "d'excuses", mais vous n'étiez pas présent) à reconnaître son tort sur ce point-là. Parle d’une « erreur » (erreur d'un autre ou plutôt maladresse liée à l'ignorance ou la confusion… Eh oui… mais si demain quelqu'un écrit dans un livre, un mail ou quelques courriers que ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même est docteur en philosophie, ce qu'il n'est pas ou avec un autre diplôme quelconque qu'il n'a pas acheté, bon cela prêterait juste à sourire… mais si un autre le présente comme médecin psychiatre ou comme avocat (cela se fera peut-être car c'est un titre qui se négocie pour pas trop cher au sein des hautes instances politiques grâce à des "ponts" ou autres "tunnels" entre charges et fonctions…) là les Ordres peuvent lui tomber sur la tête, et même porter plainte — ce qui ne fut pas fait, rappelons-le pour Yves Philippe de FRANCQUEVILLE) et d’un avocat (à bon ? mais qui ? Faux propos insupportables à lire… qui nous rappellent quelques années sombres de l'État Français où l'on envoyait certaines gens dans des camps après dénonciation) qui lui aurait conseillé « d’ajouter ça ». (Il y a surtout très très grand "foutage de gueule" dans cette histoire de "gens qui ont dit que"… mais le seul conseil donné par un avocat sérieux devant une telle machination, c'est celui de "fermer simplement sa gueule" pour un prévenu, propos sévères mais justes de Maître David MENDEL, préférant que son client soit accusé pour ce gag ridicule, inexplicable à ces juges assoiffés de sang… Le combat pour la suite devant s'avérer plus redoutable. Laissons-leur un peu à manger à ces cannibales !)
Pour la corruption de mineurs - il a demandé à un jeune garçon de lui montrer son sexe - il explique qu’il ne s’agissait que d’aborder la problématique de la circoncision avec lui. (Oui, oui, on lance le missile, et l'on laisse les lecteurs sur leur faim et développer eux-mêmes la scène, surtout lorsqu'il s'agit de "sexe". Alors, alors, ô grand journaliste, vous avez encore mélangé avec art deux sujets et rien compris (ou alors le faites-vous exprès ?) quant aux différents chefs d'accusation qui ont été lancés sur le coupable, pardon, sur le prévenu. Oui, c'est si confus… Il y a eu le célèbre "agression sexuelle" que vous aimez tant, relié à l'histoire de sexe à montrer… mais hélas recalé par la juge d'instruction car mensonger. Oh, cela semble vous déranger de savoir que l'accusation ne tient pas la route… mais il faut parler sexe… cela vous démange gravement ! Vous avez tant besoin de parler de "sexe" à tout va ? Il est vraiment temps de consulter… Allez voir un psy, c'est préférable que de devenir un violeur, voire un pédophile ! Donc, le grand débat qui vaut à l'accusé tous ces jeux de mots autour du sexe, se cantonne au fait qu'il ose — au grand dam de beaucoup de fanatiques religieux — prôner la masturbation et surtout dénoncer la circoncision comme acte barbare aussi dramatique que l'excision ou toute autre mutilation comme l'ablation en série des dents de sagesse… bref, tout ce qui peut être associé au final à un lobby. Oui, Yves Philippe de FRANCQUEVILLE — pirate des mots — a repris le flambeau des pionniers de cette lutte comme Sandor FERENCZY, ce psychanalyste juif qui fut massacré par ses pairs — dont Sigmund FREUD — pour avoir été en désaccord sur quelques points précieux de la psychanalyse. Sandor FERENCZY avait démontré notamment que la circoncision était source de trauma terrible chez l'humain et engendrait des réactions de violence à venir, chez ceux qui en était victime. À découvrir vite le livre génial et déjà condamné par les bien-pensants, écrit par votre pirate préféré : Enfance, Amours & Sexualité. Oui, Parler de la circoncision avec un mineur en opposition avec les valeurs de son beau père, salafiste convaincu, c'est bien un acte criminel. Les parents restent des dieux, tant que la société n'a pas pris le relais. Mais finalement, comme le dit ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même, ce sujet autour du sexe, fut très vite abandonné par les juges très gênés de parler dans un établissement laïc, du bien fondé d'une pratique religieuse et sur le droit ou non de critiquer cet art de réduire l'humain à un être mal conçu qu'il faut mutiler, puisque réalisés à l'image de quelques dieux parfaits. Alors l'histoire de savoir si le sexe de cet ado en pleine force vive doit passer ou non sur le billot pour se faire raccourcir… c'est plutôt peu d'actualité ! ce soir là, c'est un aristocrate qui doit être bien descendu de sa superbe : vite "qu'on lui coupe la tête" !) Mais les débats se sont essentiellement portés sur les plaintes d’anciens clients (on dit "patients", c'est plus réaliste dans le travail humaniste du philanalyste qui n'a rien à voir avec les marchands de tapis) voulant se faire rembourser de quelques centaines ou milliers d’euros.
Il y a quelque chose qui cloche…
Et si tout cela n'était que du vent ?
C'est le Parquet qui estime qu'il y a eu "usurpation de titre", et non pas les différents ordres pouvant se présenter comme "victimes" ! Le plus comique est que cette condamnation "d'usurpation de titre" trop drôle avait été finalement accueillie par le "coupable", pour ne pas devoir se reprendre une procédure à gérer et supporter le ridicule de la Cour et avec l'accord de son avocat, il n'avait pas fait appel de cette condamnation loufoque, mais c'est bien le Parquet qui estimait la peine de 15.000 € d'amende avec sursis comme inutilisable pour détruire le pirate et pensait pouvoir encore utiliser ces preuves exceptionnelles de mails et de courriers retrouvés par la suite, pour l'attaquer davantage !) De Francqueville (on dit "FRANCQUEVILLE", pour citer un aristocrate; vous devriez le savoir, monsieur le journaliste ! La particule se place avec le titre ou les prénoms lorsque c'est une particule dite "noble". Pour les autres, on la lie au nom, comme pour De GAULLE, nom bourgeois) rechigne (refuse simplement comme au précédent procès, mais à l'époque vous parliez "d'excuses", mais vous n'étiez pas présent) à reconnaître son tort sur ce point-là. Parle d’une « erreur » (erreur d'un autre ou plutôt maladresse liée à l'ignorance ou la confusion… Eh oui… mais si demain quelqu'un écrit dans un livre, un mail ou quelques courriers que ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même est docteur en philosophie, ce qu'il n'est pas ou avec un autre diplôme quelconque qu'il n'a pas acheté, bon cela prêterait juste à sourire… mais si un autre le présente comme médecin psychiatre ou comme avocat (cela se fera peut-être car c'est un titre qui se négocie pour pas trop cher au sein des hautes instances politiques grâce à des "ponts" ou autres "tunnels" entre charges et fonctions…) là les Ordres peuvent lui tomber sur la tête, et même porter plainte — ce qui ne fut pas fait, rappelons-le pour Yves Philippe de FRANCQUEVILLE) et d’un avocat (à bon ? mais qui ? Faux propos insupportables à lire… qui nous rappellent quelques années sombres de l'État Français où l'on envoyait certaines gens dans des camps après dénonciation) qui lui aurait conseillé « d’ajouter ça ». (Il y a surtout très très grand "foutage de gueule" dans cette histoire de "gens qui ont dit que"… mais le seul conseil donné par un avocat sérieux devant une telle machination, c'est celui de "fermer simplement sa gueule" pour un prévenu, propos sévères mais justes de Maître David MENDEL, préférant que son client soit accusé pour ce gag ridicule, inexplicable à ces juges assoiffés de sang… Le combat pour la suite devant s'avérer plus redoutable. Laissons-leur un peu à manger à ces cannibales !)
Pour la corruption de mineurs - il a demandé à un jeune garçon de lui montrer son sexe - il explique qu’il ne s’agissait que d’aborder la problématique de la circoncision avec lui. (Oui, oui, on lance le missile, et l'on laisse les lecteurs sur leur faim et développer eux-mêmes la scène, surtout lorsqu'il s'agit de "sexe". Alors, alors, ô grand journaliste, vous avez encore mélangé avec art deux sujets et rien compris (ou alors le faites-vous exprès ?) quant aux différents chefs d'accusation qui ont été lancés sur le coupable, pardon, sur le prévenu. Oui, c'est si confus… Il y a eu le célèbre "agression sexuelle" que vous aimez tant, relié à l'histoire de sexe à montrer… mais hélas recalé par la juge d'instruction car mensonger. Oh, cela semble vous déranger de savoir que l'accusation ne tient pas la route… mais il faut parler sexe… cela vous démange gravement ! Vous avez tant besoin de parler de "sexe" à tout va ? Il est vraiment temps de consulter… Allez voir un psy, c'est préférable que de devenir un violeur, voire un pédophile ! Donc, le grand débat qui vaut à l'accusé tous ces jeux de mots autour du sexe, se cantonne au fait qu'il ose — au grand dam de beaucoup de fanatiques religieux — prôner la masturbation et surtout dénoncer la circoncision comme acte barbare aussi dramatique que l'excision ou toute autre mutilation comme l'ablation en série des dents de sagesse… bref, tout ce qui peut être associé au final à un lobby. Oui, Yves Philippe de FRANCQUEVILLE — pirate des mots — a repris le flambeau des pionniers de cette lutte comme Sandor FERENCZY, ce psychanalyste juif qui fut massacré par ses pairs — dont Sigmund FREUD — pour avoir été en désaccord sur quelques points précieux de la psychanalyse. Sandor FERENCZY avait démontré notamment que la circoncision était source de trauma terrible chez l'humain et engendrait des réactions de violence à venir, chez ceux qui en était victime. À découvrir vite le livre génial et déjà condamné par les bien-pensants, écrit par votre pirate préféré : Enfance, Amours & Sexualité. Oui, Parler de la circoncision avec un mineur en opposition avec les valeurs de son beau père, salafiste convaincu, c'est bien un acte criminel. Les parents restent des dieux, tant que la société n'a pas pris le relais. Mais finalement, comme le dit ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même, ce sujet autour du sexe, fut très vite abandonné par les juges très gênés de parler dans un établissement laïc, du bien fondé d'une pratique religieuse et sur le droit ou non de critiquer cet art de réduire l'humain à un être mal conçu qu'il faut mutiler, puisque réalisés à l'image de quelques dieux parfaits. Alors l'histoire de savoir si le sexe de cet ado en pleine force vive doit passer ou non sur le billot pour se faire raccourcir… c'est plutôt peu d'actualité ! ce soir là, c'est un aristocrate qui doit être bien descendu de sa superbe : vite "qu'on lui coupe la tête" !) Mais les débats se sont essentiellement portés sur les plaintes d’anciens clients (on dit "patients", c'est plus réaliste dans le travail humaniste du philanalyste qui n'a rien à voir avec les marchands de tapis) voulant se faire rembourser de quelques centaines ou milliers d’euros.
Alors, monsieur le journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même, ils sont où, ils sont où, les nombreux plaignants, bénéficiaires des escroqueries commises par Yves de FRANCQUEVILLE ?
Mais où sont les plaintes, les avocats des parties civiles, les accusations ?
Où ?
Néant…
Mais où sont les plaintes, les avocats des parties civiles, les accusations ?
Où ?
Néant…
(Bien, nous arrivons donc au vif du sujet et
???? Alors, monsieur le journaliste de la salle des pas perdus — ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même — là, il manque quelques explications… Rien
à ce sujet de votre part ? Non, étrange… Vous parlez de PLAINTES d'anciens patients et de centaines, voire de MILLIERS d'EUROS… hum, que comprendre… Oui, pourquoi donc omettre d'écrire
que PERSONNE n'est présent aux différents procès, ni "plaignants" ni avocats de
"plaignants"… pas de partie civile ! À notre époque où tous se
pressent avec délectation pour récupérer quelques euros si possible faciles à gagner, là… comme
c'est étrange ! PERSONNE au tribunal pour recevoir le gros lot : des MILLIERS D'EUROS en retour… ou se faire même juste rembourser les sommes données au vilain escroc… Vous parlez donc de "débats" avec les textes du rapport du major VANDERPOT… et non pas de personnes présentent lors des procès… puisqu'il n'y avait personne en partie civile !
Trois ans d'enquête acharnée et coûteuse à travers la France pour RIEN ! "Il doit y avoir quelque chose qui cloche", aurait dit Boris VIAN ! Et oui, on aime parler de "sexe", monsieur le journaliste, mais cela serait aussi intéressant d'édifier les lecteurs avec quelques propos vraiment utiles pour expliquer une affaire comme celle-ci qui entache un monsieur qui ne vous a rien fait directement : il a peut-être mis à jour certaines pratiques toxiques de vos amis, c'est tout !) Alors qu’il se dit psychanalyste, une profession pour l’heure peu encadrée. (Oui, c'est bien vrai… absolument et pour l'heure, les journalistes sont toujours libres aussi de dire des conneries… mais c'est une tradition depuis Dick MAY. Lisez pour mieux comprendre le remarquable article réalisé en lien direct avec les actions de ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même sur ce sujet passionnant : "de l'inutilité et de la dangerosité des journalistes")
« Monsieur, vous êtes rattaché à quelle école ? », interroge le conseiller de la cour.
« Je n’ai pas de rattachement direct, (traduisez : je n'ai ni dieux, ni maîtres et j'ai arrêté d'accepter d'être ponctionné financièrement par telle ou telle école psychanalytique qui, les unes comme les autres sont un ensemble de petits chefs en devenir qui se disputent le bout de gras en s'affirmant les vrais successeurs de tel ou tel tyran de la psychanalyse) mais j’ai fait dix ans de psychanalyse dialectique », (Encore un gag de journaliste qui n'y connait rien quant à ce qu'il entend ou à ce qu'il écrit ? On dit "psychanalyse didactique", pauvre de vous ! Encore ridiculisé Monsieur le journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même ! Bouffon ! Travaillez vos articles, apprenez à manier la langue française ! À voir, plus sérieusement, la formation du philanalyste sur le lien, vers son site) se défend le neveu de Gilles de Robien (de ROBIEN) (Oh, voilà un super scoop. Et on en rajoute une couche pour toucher à la famille… On cousine beaucoup, chez-nous… entre aristocrates, monsieur le journaliste… et l'on tente, entre cousins d'agir pour le meilleur :
Trois ans d'enquête acharnée et coûteuse à travers la France pour RIEN ! "Il doit y avoir quelque chose qui cloche", aurait dit Boris VIAN ! Et oui, on aime parler de "sexe", monsieur le journaliste, mais cela serait aussi intéressant d'édifier les lecteurs avec quelques propos vraiment utiles pour expliquer une affaire comme celle-ci qui entache un monsieur qui ne vous a rien fait directement : il a peut-être mis à jour certaines pratiques toxiques de vos amis, c'est tout !) Alors qu’il se dit psychanalyste, une profession pour l’heure peu encadrée. (Oui, c'est bien vrai… absolument et pour l'heure, les journalistes sont toujours libres aussi de dire des conneries… mais c'est une tradition depuis Dick MAY. Lisez pour mieux comprendre le remarquable article réalisé en lien direct avec les actions de ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même sur ce sujet passionnant : "de l'inutilité et de la dangerosité des journalistes")
« Monsieur, vous êtes rattaché à quelle école ? », interroge le conseiller de la cour.
« Je n’ai pas de rattachement direct, (traduisez : je n'ai ni dieux, ni maîtres et j'ai arrêté d'accepter d'être ponctionné financièrement par telle ou telle école psychanalytique qui, les unes comme les autres sont un ensemble de petits chefs en devenir qui se disputent le bout de gras en s'affirmant les vrais successeurs de tel ou tel tyran de la psychanalyse) mais j’ai fait dix ans de psychanalyse dialectique », (Encore un gag de journaliste qui n'y connait rien quant à ce qu'il entend ou à ce qu'il écrit ? On dit "psychanalyse didactique", pauvre de vous ! Encore ridiculisé Monsieur le journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même ! Bouffon ! Travaillez vos articles, apprenez à manier la langue française ! À voir, plus sérieusement, la formation du philanalyste sur le lien, vers son site) se défend le neveu de Gilles de Robien (de ROBIEN) (Oh, voilà un super scoop. Et on en rajoute une couche pour toucher à la famille… On cousine beaucoup, chez-nous… entre aristocrates, monsieur le journaliste… et l'on tente, entre cousins d'agir pour le meilleur :
Yves Philippe de FRANCQUEVILLE est un aristocrate, et il aime cela !
Ah c'est facile d'être le "fils de"… mais il aime aussi devenir, être lui-même !
Vous pouvez apprécier ses actes relatés dans le labyrinthe de ses sites !
Sinon, pour parfaire les propos généalogiques du journaliste…
Notre cher pirate aristocrate est aussi issu :
Pour la classe, à ce jour — d'après la légende, 13.927.980 fois en descendance directe avec l'empereur CHARLEMAGNE… et (oh, surprise), 33 670 fois dans l'ascendance directe aussi, nous trouvons le prophète MAHOMET ! (Ce qui prouve notamment que l'on a pas encore trouvé de lien familial direct entre MAHOMET et CHARLEMAGNE). Mais les légendes sont tenaces, car on n'a pas encore réussi non plus à prouver historiquement l'existence de Mahomet, tout comme celle de Jésus, de Bouddha ou de Moïse et d'Abraham ! (tout ce qui semblait parfois presque historique — surtout pour Jésus — s'avère ce que l'on appelle en jargon religieux de "la fraude pieuse" pour édifier les peuples de croyants. Vous pouvez vérifier cette généalogie fameuse sur la base généalogique PIERFIT) et descendant de Saint-Exupéry. (Alors là, Non, non non… c'est méchamment tout faux ! C'est incroyable de bêtise et de ridicule… Trois secondes sur Wikipédia vous aurait évité d'écrire une connerie de plus… Pour ce cher Antoine de SAINT-EXUPÉRY — ajoutons le prénom, car la famille est assez importante en nombre de vivants à ce jour — il faut que les lecteurs puissent apprécier l'ignorance crasse d'un journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même, avide de scoop dans le but d'attirer le chaland à la criée. Mais de grâce, vérifiez vos sources… le "père" du Petit Prince n'a pas eu de descendance "reconnue" à ce jour ! Soit. Mille excuses maintenant au fait que l'arrière-grand-mère maternelle de Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, née Marguerite de RICHEMONT de RICHARD'SON avait quelques ancêtres commun par les "SAINT-EX" et cousinait donc elle aussi avec Antoine de SAINT-EXUPÉRY… Cela n'est pas une légende, ou exceptionnel… oui, Jean de RICHEMONT de RICHARD'SON, seigneur de Gaîchies et Avocat au Parlement de Toulouse avait pour épouse Marie Anne de SAINT-EXUPÉRY ! Mais si vous souhaitez utiliser encore dans un prochain article, quelques noms célèbres afin de servir de liens sur la toile, pour que votre nom apparaisse dans les moteurs de recherche... Demandez donc aussi la listes des rois de France ou autres tyrans qui sont dans sa généalogie, avec des artistes, des héros et certainement des salauds… des génies et des rampants… Vous pourrez ainsi choisir celui qui touchera le plus un public avide de bons mots ou de personnalités qui marquent, comme Nicolas RÉMY — démonologue — spécialiste dans le jugement des sorcières dont plus de 900 auraient été envoyées au bucher par sa diligence à bien œuvrer pour le salut des âmes).
Surtout, celui qui se déclare conseiller en psychologie et en relation de couple sans avoir de formation particulière (et vous, en "particulier", vous avez obtenu comment votre diplôme et votre place de super journaliste d'investigation à la cafétéria du tribunal, Monsieur le journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même ? Vous pouviez user de vos talents de voyeur pour contrôler sur son site quelques infos à déformer, et aller à la pêche aux sources pour voir son cursus universitaire en théologie :
Une des cartes d'étudiant oubliées par les gendarmes lors de la perquisition…
Ah c'est facile d'être le "fils de"… mais il aime aussi devenir, être lui-même !
Vous pouvez apprécier ses actes relatés dans le labyrinthe de ses sites !
Sinon, pour parfaire les propos généalogiques du journaliste…
Notre cher pirate aristocrate est aussi issu :
Pour la classe, à ce jour — d'après la légende, 13.927.980 fois en descendance directe avec l'empereur CHARLEMAGNE… et (oh, surprise), 33 670 fois dans l'ascendance directe aussi, nous trouvons le prophète MAHOMET ! (Ce qui prouve notamment que l'on a pas encore trouvé de lien familial direct entre MAHOMET et CHARLEMAGNE). Mais les légendes sont tenaces, car on n'a pas encore réussi non plus à prouver historiquement l'existence de Mahomet, tout comme celle de Jésus, de Bouddha ou de Moïse et d'Abraham ! (tout ce qui semblait parfois presque historique — surtout pour Jésus — s'avère ce que l'on appelle en jargon religieux de "la fraude pieuse" pour édifier les peuples de croyants. Vous pouvez vérifier cette généalogie fameuse sur la base généalogique PIERFIT) et descendant de Saint-Exupéry. (Alors là, Non, non non… c'est méchamment tout faux ! C'est incroyable de bêtise et de ridicule… Trois secondes sur Wikipédia vous aurait évité d'écrire une connerie de plus… Pour ce cher Antoine de SAINT-EXUPÉRY — ajoutons le prénom, car la famille est assez importante en nombre de vivants à ce jour — il faut que les lecteurs puissent apprécier l'ignorance crasse d'un journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même, avide de scoop dans le but d'attirer le chaland à la criée. Mais de grâce, vérifiez vos sources… le "père" du Petit Prince n'a pas eu de descendance "reconnue" à ce jour ! Soit. Mille excuses maintenant au fait que l'arrière-grand-mère maternelle de Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, née Marguerite de RICHEMONT de RICHARD'SON avait quelques ancêtres commun par les "SAINT-EX" et cousinait donc elle aussi avec Antoine de SAINT-EXUPÉRY… Cela n'est pas une légende, ou exceptionnel… oui, Jean de RICHEMONT de RICHARD'SON, seigneur de Gaîchies et Avocat au Parlement de Toulouse avait pour épouse Marie Anne de SAINT-EXUPÉRY ! Mais si vous souhaitez utiliser encore dans un prochain article, quelques noms célèbres afin de servir de liens sur la toile, pour que votre nom apparaisse dans les moteurs de recherche... Demandez donc aussi la listes des rois de France ou autres tyrans qui sont dans sa généalogie, avec des artistes, des héros et certainement des salauds… des génies et des rampants… Vous pourrez ainsi choisir celui qui touchera le plus un public avide de bons mots ou de personnalités qui marquent, comme Nicolas RÉMY — démonologue — spécialiste dans le jugement des sorcières dont plus de 900 auraient été envoyées au bucher par sa diligence à bien œuvrer pour le salut des âmes).
Surtout, celui qui se déclare conseiller en psychologie et en relation de couple sans avoir de formation particulière (et vous, en "particulier", vous avez obtenu comment votre diplôme et votre place de super journaliste d'investigation à la cafétéria du tribunal, Monsieur le journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même ? Vous pouviez user de vos talents de voyeur pour contrôler sur son site quelques infos à déformer, et aller à la pêche aux sources pour voir son cursus universitaire en théologie :
Une des cartes d'étudiant oubliées par les gendarmes lors de la perquisition…
Ses études en philosophie, sa formation de conseiller
conjugale et familial, et son analyse didactique… sa formation militaire…
Son initiation… etc. et même il est sympathique alors de rendre hommage au frère Michel Robert BOUS, son professeur de poésie, et son magister dans l'art de comprendre l'amour humain.) défend aussi son concept de
« philanalyse », ce qui lui vaut d’être surveillé par les RG chargés
des sectes (Comme c'est précis… dans l'article précédent
vous notiez, monsieur le journaliste : "Yves Philippe de FRANCQUEVILLE "est
aussi à l'origine d'une théorie controversée, la "philanalyse" ou
analyse de l'amour humain. Ce qui lui a valu d'être suspecté de dérive sectaire
par les associations spécialisées" Oh, c'est mieux… maintenant nous avons les RG qui
surveillent Monsieur ! Oui, il y a une voiture banalisée en bas du 4 avenue Georges Clemenceau qui veille, qui surveille ce qui se trame dans le bureau du philanalyste ! Alors… Secte ou pas secte à lui tout seul ? "Les
associations spécialisées" veillent, nous sommes rassurés et les
journalistes nous informent. Mais que fait la police ? Il exerce toujours et depuis presque 20 ans ! Encore quelques chose qui cloche… Soit les RG sont des bouffons soit ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même a des soucis dans sa tête pour raconter de telles inepties !
"Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles", monsieur PANGLOSS…
pour la petite histoire à raconter, Yves Philippe de FRANCQUEVILLE est un farouche passionné de la lutte contre tout pouvoir à hiérarchie verticale ! Et voici un de ces gurus protégés par les notables et les politiciens, qui fut combattu par notre pirate des mots… Benoit FRAPPE, qui portait tellement bien son nom. il est mort depuis une dizaine d'années à avoir trop consommé semble-t-il de produits issus de ses laboratoires pharmaceutiques, devant développer l'intelligence. De nombreuses tumeurs au cerveau ont eu raison de sa vie ! La famille du guru n'a pas trop aimé les attaques !
Voici la vidéo célébrant les exploits d'une des sectes que le pirate s'est plu à dénoncer : La Méditation Transcendantale ! Il en a même sorti le neveu du grand guru… sans la bénédiction du père !
"Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles", monsieur PANGLOSS…
pour la petite histoire à raconter, Yves Philippe de FRANCQUEVILLE est un farouche passionné de la lutte contre tout pouvoir à hiérarchie verticale ! Et voici un de ces gurus protégés par les notables et les politiciens, qui fut combattu par notre pirate des mots… Benoit FRAPPE, qui portait tellement bien son nom. il est mort depuis une dizaine d'années à avoir trop consommé semble-t-il de produits issus de ses laboratoires pharmaceutiques, devant développer l'intelligence. De nombreuses tumeurs au cerveau ont eu raison de sa vie ! La famille du guru n'a pas trop aimé les attaques !
Voici la vidéo célébrant les exploits d'une des sectes que le pirate s'est plu à dénoncer : La Méditation Transcendantale ! Il en a même sorti le neveu du grand guru… sans la bénédiction du père !
« La philanalyse, c’est que l’être soit
en accord avec lui-même au niveau du cœur, du corps et de l’esprit, détaille le
prévenu. (Oh, mais que cela semble vraiment peu
catholique ! Le prévenu s'exprime généralement dans un français un peu plus
soutenu, mais la traduction approximative du journaliste donne un résultat qui
rapporte des idées vraiment inquiétantes. Oui, préparons le bucher.
Les RG ont du bon pain sur la planche : un
homme qui discute d'harmonie de l'être — corps, cœur, esprit — et qui
s'interroge sur l'amour humain. Attention DANGER. Wahoo… mais où est-il allé chercher tout cela ! Les RG maintenant qui surveilleraient le philanalyste, c'est d'un ridicule !) On est massacré par ses pairs, parfois soutenu, mais j’ai ouvert des portes. » (Bon, c'est du journalisme classique, on
écoute et l'on transforme, on arrange, on complète, on déforme… on fait du
journalisme… C'est bien fatigant. Le pirate n'a pas dit cela, ou comme cela, mais un journaliste interprète comme d'habitude ! Lisez plutôt les articles dans les blogs et
sites du chercheur afin de vous construire une idée personnelle de la
philanalyse…)
« On connaît Freud, Lacan et Dolto... Vous, vous entendez ouvrir quelle porte ? », poursuit le magistrat. (Qui avait fait une fiche écrite à la main et qu'elle consultait, pour jouer son petit jeu de femme cultivée, et qui s'y connaît en psychanalyse… pour avoir effeuillé le dernier "©Psychologie Magasine"… Et hop, avec trois noms, le tour de la psychanalyse était fait… Bravo ! mais très chère Madame le Juge, des psychanalystes "célèbre" il y en a d'autres que Lacan et Freud, qui auraient du croupir en prison de leur vivant, quand on ose faire la moindre petite enquête sur leurs agissements)
« Mais je n’ai que 43 ans, donnez-moi (encore) vingt ans, madame, pour (afin de pouvoir peut-être affirmer) essayer de dire que quelque chose a été découvert », se défend (sic !) Yves de Francqueville. (Yves Philippe de FRANCQUEVILLE. Que dire de plus ?)
Pour le reste, (pour les restes, ce qui était dans les poubelles) soit les accusations d’abus de faiblesse ou d’escroquerie, (pas très français, mais en effet, c'est intéressant de parler du chef d'accusation nouveau, qui est celui d'escroquerie) le prévenu s’en prend aux gendarmes de la brigade de recherche, s’emmêlant à plusieurs reprises (Vous êtes limité intellectuellement ou vous manquez d'humour, Monsieur le journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même ? Vous n'avez pas compris comment le prévenu s'est moqué de ce tribunal et de ses juges iniques, du début à la fin du procès… mais en douceur, et avec art) sur le nom du directeur d’enquête qu’il appelle « Pol-Pot (Pour ce major, presque retraité, désireux de terminer sa piètre carrière sur un bon coup en "cassant un sale petit pédé de noble" (le prévenu en garde à vue a l'oreille fine et vivre 48 heures en vase clos en compagnie de quelques sous-officiers, c'est sympathique et très instructif, pour un officier qui n'a pas oublié son statut…) lui affubler du nom de ce tristement célèbre dictateur sanguinaire (comme tous les dictateurs) était construit avec art, en lien avec le nom d'origine hollandaise fort proche en sonorité pour le final et pour les mœurs du sous-officier assez peu reluisantes ; POL POT… Oui, oui !) ».
« Les gendarmes ont appelé tous mes clients (tous mes patients) en leur disant : ’C’est un escroc, portez plainte contre lui’. (à peu près les justes mots rapportés) Pour eux j’étais un grand méchant loup ! (j'étais LE grand méchant loup) Et en garde à vue, (48 heures à la caserne) c’était pas mal comme torture ! (Surtout avec POL POT… mais le prévenu affirme haut et fort, cher journaliste : "je n'ai pas été sodomisé" par ce vil bipède 3G… (gros, gras & graisseux) ».
Maintenant…
Partie "disparue" dans la plupart des articles retrouvés sur la toile de l'Internet :
« Au nom de quoi vous pensez soigner ? »
(Un analyste n'est pas là pour soigner… ni pour "qui, ni pour "quoi", madame le juge !)
« Au nom de quoi vous pensez pouvoir soigner les gens ? (Pas au nom d'un dieu, ou d'un Ordre quelconque, ni par magie ou maladresse en tous les cas !) Si l’on n’est pas content de vous, à qui on s’adresse ? ». (Au bureau des réclamations ? Non. Et pour la justice française — si l'on trouve que la petite juge au cœur tout rouge n'est pas dans la liste des femmes les plus honnêtes au service de la République, bien qu'elle arbore la récompense suprême, quant à sa manière de procéder — à quels saints se vouer ?) Yves Philippe de FRANCQUEVILLE donne à qui le demande un peu de ce qu'il apprend…
« On connaît Freud, Lacan et Dolto... Vous, vous entendez ouvrir quelle porte ? », poursuit le magistrat. (Qui avait fait une fiche écrite à la main et qu'elle consultait, pour jouer son petit jeu de femme cultivée, et qui s'y connaît en psychanalyse… pour avoir effeuillé le dernier "©Psychologie Magasine"… Et hop, avec trois noms, le tour de la psychanalyse était fait… Bravo ! mais très chère Madame le Juge, des psychanalystes "célèbre" il y en a d'autres que Lacan et Freud, qui auraient du croupir en prison de leur vivant, quand on ose faire la moindre petite enquête sur leurs agissements)
« Mais je n’ai que 43 ans, donnez-moi (encore) vingt ans, madame, pour (afin de pouvoir peut-être affirmer) essayer de dire que quelque chose a été découvert », se défend (sic !) Yves de Francqueville. (Yves Philippe de FRANCQUEVILLE. Que dire de plus ?)
Pour le reste, (pour les restes, ce qui était dans les poubelles) soit les accusations d’abus de faiblesse ou d’escroquerie, (pas très français, mais en effet, c'est intéressant de parler du chef d'accusation nouveau, qui est celui d'escroquerie) le prévenu s’en prend aux gendarmes de la brigade de recherche, s’emmêlant à plusieurs reprises (Vous êtes limité intellectuellement ou vous manquez d'humour, Monsieur le journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même ? Vous n'avez pas compris comment le prévenu s'est moqué de ce tribunal et de ses juges iniques, du début à la fin du procès… mais en douceur, et avec art) sur le nom du directeur d’enquête qu’il appelle « Pol-Pot (Pour ce major, presque retraité, désireux de terminer sa piètre carrière sur un bon coup en "cassant un sale petit pédé de noble" (le prévenu en garde à vue a l'oreille fine et vivre 48 heures en vase clos en compagnie de quelques sous-officiers, c'est sympathique et très instructif, pour un officier qui n'a pas oublié son statut…) lui affubler du nom de ce tristement célèbre dictateur sanguinaire (comme tous les dictateurs) était construit avec art, en lien avec le nom d'origine hollandaise fort proche en sonorité pour le final et pour les mœurs du sous-officier assez peu reluisantes ; POL POT… Oui, oui !) ».
« Les gendarmes ont appelé tous mes clients (tous mes patients) en leur disant : ’C’est un escroc, portez plainte contre lui’. (à peu près les justes mots rapportés) Pour eux j’étais un grand méchant loup ! (j'étais LE grand méchant loup) Et en garde à vue, (48 heures à la caserne) c’était pas mal comme torture ! (Surtout avec POL POT… mais le prévenu affirme haut et fort, cher journaliste : "je n'ai pas été sodomisé" par ce vil bipède 3G… (gros, gras & graisseux) ».
Maintenant…
Partie "disparue" dans la plupart des articles retrouvés sur la toile de l'Internet :
« Au nom de quoi vous pensez soigner ? »
(Un analyste n'est pas là pour soigner… ni pour "qui, ni pour "quoi", madame le juge !)
« Au nom de quoi vous pensez pouvoir soigner les gens ? (Pas au nom d'un dieu, ou d'un Ordre quelconque, ni par magie ou maladresse en tous les cas !) Si l’on n’est pas content de vous, à qui on s’adresse ? ». (Au bureau des réclamations ? Non. Et pour la justice française — si l'on trouve que la petite juge au cœur tout rouge n'est pas dans la liste des femmes les plus honnêtes au service de la République, bien qu'elle arbore la récompense suprême, quant à sa manière de procéder — à quels saints se vouer ?) Yves Philippe de FRANCQUEVILLE donne à qui le demande un peu de ce qu'il apprend…
L’avocat général, (qui a demandé le dossier du prévenu à 14 h
30, et a préparé son attaque pendant que les trois juges faisaient leur travail
pour lequel ils sont payés à savoir, passer les sept ou huit dossiers de moindre
importance dans l'après midi avant d'attaquer celui qui compte… il se donnait
juste trois minutes de récréation à chaque fois pour lire deux lignes de
propositions de condamnation… et replongeait dans le dossier "indexé par
la Chancellerie de la République" pour lequel l'État français lui avait demandé de réclamer
du lourd) représentant du parquet général qui a fait
appel de la relaxe du psychanalyste, (juste le lendemain à l'aube, pour ne laisser
au prévenu qu'une courte nuit de répit) demande six mois de prison avec sursis et 10.000 € contre
Yves de Francqueville. (Hop, c'est bien de Yves Philippe de
FRANCQUEVILLE dont on parle) Pour l’usurpation de titre, (donc un double jugement pour quelle
usurpation ? puisque aucune plainte n'existe, ni de la chambre des Experts, ni de l'Ordre des Médecins… si avides de massacrer des faussaires. Il y a bien la copie d'un mail et ce fameux livre… même pas une plaque de rue ! Mais c'est quoi, ce mauvais gag ?) les escroqueries (Alors, alors, où sont les plaignants qui
veulent des sous, des sous, des sous ??? Alors ces 10.000 € demandés sont pour
qui, pour quoi ? Peut –être pour repeindre la salle de la Cour d'Appel qui en a
grand besoin ?) et la corruption de mineur. (Ah, c'est peut-être là le centre névralgique
de l'histoire… en osant dire à un adolescent qu'il était maître de son propre
corps, Yves Philippe de FRANCQUEVILLE est condamné comme le personnage révélé
par PLATON, un des magisters de ce philanalyste passionné de liberté. Oui,
Socrate fut condamné par des juges iniques à boire la cigüe… pour avoir été
déclaré coupable du pire : "corrompre la jeunesse d'Athènes". C'est
donc un honneur pour le philanalyste de voir la justice française le condamner
de même, lui qui aspire à voir l'humain se libérer des entraves de la morale
étatique et religieuse ! La liberté est à ce prix. "La liberté ou la
mort", une devise de vrais pirates.)
« Il a décidé de gagner sa vie dans l’aide psychologique, il mêle l’éducatif à la psychothérapie, c’est interdit, (Non, ce n'est pas interdit Madame le juge, mais c'est fortement rendu très complexe à l'exercice, voire même impossible, depuis le retour en masse des corporations — abolies lors de la Révolution française grâce à Pierre d'ALLARDE — les libertés sont moindre dans l'art d'exercer un travail de qualité en indépendant…
Ah, quelle douce attaque, quelle magnifique présentation du travail de Yves Philippe de FRANCQUEVILLE) et il confond tout ça, le médecin, le psychiatre, la psychanalyse. (NON, c'est vous qui confondez tout cela ! Pauvre petite juge qui avait lu quelques notions de psychanalyse dans "Valeurs Actuelles".)
« Il a décidé de gagner sa vie dans l’aide psychologique, il mêle l’éducatif à la psychothérapie, c’est interdit, (Non, ce n'est pas interdit Madame le juge, mais c'est fortement rendu très complexe à l'exercice, voire même impossible, depuis le retour en masse des corporations — abolies lors de la Révolution française grâce à Pierre d'ALLARDE — les libertés sont moindre dans l'art d'exercer un travail de qualité en indépendant…
Ah, quelle douce attaque, quelle magnifique présentation du travail de Yves Philippe de FRANCQUEVILLE) et il confond tout ça, le médecin, le psychiatre, la psychanalyse. (NON, c'est vous qui confondez tout cela ! Pauvre petite juge qui avait lu quelques notions de psychanalyse dans "Valeurs Actuelles".)

Lettre d'excuses écrite par la directrice de l'Hôtel Mercure Centre où Yves Philippe de FRANCQUEVILLE donnait trois conférences pour la journée de la femme… parce que l'invitation le présentait comme psychiatre… et il fallait corriger l'erreur involontaire de la part des organisateurs. Le pirate ne pouvait accepter d'être nommé avec un titre qui ne lui appartenait pas !
La
psychanalyse est non réglementée, je vous l’accorde, mais il y a des sociétés
de psychanalystes pour contrôler, (Non, surtout pas pour contrôler puisqu'elles se tirent dans les pattes à tour de rôle afin de manger le plus de gâteau… pour
jouer plutôt le rôle de parrains de mafias — s'entre tuer pour gagner la
responsabilité (la garde ou la surveillance) d'un quartier ou d'une pensée ou
d'un courant — les sociétés de psychanalyse sont de véritables clans qui se
détestent, se rejettent et se combattent sans cesse, persuadées chacune de
détenir la Vérité rapportée par leurs dieux (Sigmund FREUD, Jacques LACAN,
Françoise DOLTO, et tant d'autres… que la petite juge n'a pas encore noté sur
sa fiche) et mettre en esclavage, briser les précurseurs, et les chercheurs…
Sigmund FREUD a beaucoup de cadavres dans ses placards tout comme Jacques
LACAN, deux tyrans, deux gourous dont les adeptes continuent à affirmer la
divinité de leurs "dominus" malgré les découvertes quotidiennes de leurs méfaits
nauséeux) il n’en
fait pas partie. (Et, OUI,
la liberté est à ce prix !) À quoi
reconnaît-on le charlatan du spécialiste ? (Oh,
édifiez nous… une réponse ?) À la
fausse qualité d’expert. » (Qui a
compris ? Bravo, Monsieur le journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même, voilà donc la réponse à votre titre
d'article : on est "charlatan" lorsque l'on n'est pas
"expert" à la solde d'un parti, d'une loge ou d'un ordre. C'est votre
avis…)
Face à ces attaques, Me David Mendel (Maître David MENDEL) a du mal à contenir sa colère. (Il ne la contient pas du tout en fait, et lorsqu'il est en colère, cela s'entend à cent mètres à la ronde. La salle des pas perdus a fortement vibré ce soir-là) « C’est un lynchage ! (OUI, mais à huis clos) On lui fait passer un grand oral ? (Presque, sauf que le grand jury n'y connaît pas grand-chose !) » s’indigne le pénaliste qui constate qu’aucun plaignant n’est venu au procès, (Et oui, mais il n'y a que lui pour le constater, car même le journaliste n'a en effet rien compris, ou n'a rien voulu écrire à ce sujet) que ceux qui dénonçaient une escroquerie ne demandent rien (et ne sont pas là. Là, Monsieur le journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même, soyez tout de même plus précis avec les propos rapportés de l'avocat, sinon les lecteurs vont vraiment croire qu'ils sont pris pour des crétins ! En effet, le chef d'accusation "d'escroquerie" est le petit nouveau de la soirée, alors comment voulez-vous qu'il puisse y avoir, en cette Cour d'Appel de Montpellier, une personne qui demande quoi que ce soit au condamné-coupable-prévenu ?).
« Les témoignages en sa faveur, de personnes qui l’ont consulté et qui sont contents, ils sont nombreux
Face à ces attaques, Me David Mendel (Maître David MENDEL) a du mal à contenir sa colère. (Il ne la contient pas du tout en fait, et lorsqu'il est en colère, cela s'entend à cent mètres à la ronde. La salle des pas perdus a fortement vibré ce soir-là) « C’est un lynchage ! (OUI, mais à huis clos) On lui fait passer un grand oral ? (Presque, sauf que le grand jury n'y connaît pas grand-chose !) » s’indigne le pénaliste qui constate qu’aucun plaignant n’est venu au procès, (Et oui, mais il n'y a que lui pour le constater, car même le journaliste n'a en effet rien compris, ou n'a rien voulu écrire à ce sujet) que ceux qui dénonçaient une escroquerie ne demandent rien (et ne sont pas là. Là, Monsieur le journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même, soyez tout de même plus précis avec les propos rapportés de l'avocat, sinon les lecteurs vont vraiment croire qu'ils sont pris pour des crétins ! En effet, le chef d'accusation "d'escroquerie" est le petit nouveau de la soirée, alors comment voulez-vous qu'il puisse y avoir, en cette Cour d'Appel de Montpellier, une personne qui demande quoi que ce soit au condamné-coupable-prévenu ?).
« Les témoignages en sa faveur, de personnes qui l’ont consulté et qui sont contents, ils sont nombreux
(Le français de l'avocat était bien meilleur,
alors sorti de sa bouche… au regard de ce qui est rapporté sur le journal du Midi Libre, transcrit par les petites notes du
journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même) poursuit Me Mendel. (Maître David MENDEL) Je ne vais pas vous ressortir Outreau mais
quand même ! (Il aurait peut-être pu ?) On se croirait revenu au temps des guerres de
religion. (Absolument, au temps même, où le Chevalier
de La BARRE se faisait écarteler pour ne pas avoir été respectueux d'une
tradition pour laquelle il ne se sentait pas du tout concerné !) Tout le monde s’excommunie là-dedans, les
Freudiens, les Lacaniens ! (Et, vous n'avez pas osé le dire mais vous le
savez bien, Maître David MENDEL : le philanalyste les emmerde tous !)
Et le coach de Carla et Nicolas, si Sarkozy
(SARKOZY) n’est pas réélu, il va lui faire un procès ? (Cette phrase en effet rapportée par l'avocat
était intéressante à conserver, tout à fait dans les idées politiques de ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même… mais l'autocensure existe surtout chez les tièdes. Elle fut donc ôtée des articles déployés sur la toile, et
principalement de la page du MIDI LIBRE sur l'affaire, qui est maintenant
introuvable… En ces périodes d'élections présidentielles, parler du
"guru" d'un président candidat à sa propre réélection, cela n'est pas
sérieux pour un journal en perte de vitesse, probablement au bord de la
faillite. On peut attaquer un philanalyste en herbe, mais au "Chef de l'État, tu
ne toucheras point". Il y aura bien un de ses chers frères ou Bernard TAPIS, ou Edouard de ROTHSCHILD pour racheter
l'affaire).
Fin de la partie "tronquée"…
Et voici le final qui lui est conservé :
.La cour s’est donnée jusqu’au 7 avril pour trancher sur le cas (sur le cou… ah ah Monsieur le Journaliste, quel humour encore pour décider du sort de l'aristocrate oui, la "reine de cœur" va lui trancher la tête) du ’philanalyste’.
Fin de la partie "tronquée"…
Et voici le final qui lui est conservé :
.La cour s’est donnée jusqu’au 7 avril pour trancher sur le cas (sur le cou… ah ah Monsieur le Journaliste, quel humour encore pour décider du sort de l'aristocrate oui, la "reine de cœur" va lui trancher la tête) du ’philanalyste’.
Le journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même LE MIDI LIBRE / lundi 31
janvier 2011. (Bourreau à ses heures perdues !)
Bravo bravo bravo pour cette splendide démonstration de l'indépendance de la presse. Retenons aussi, à la lecture de cet article édifiant, le talent d'un journaliste de province, passionné des brèves de prétoire, et champion des vérités vraies à la Boris VIAN… car il peut presque écrire sans honte, en présentation de son œuvre : "cette histoire est entièrement vraie puisque je l'ai imaginée d'un bout à l'autre"…
Ce préambule de "l'écume des jours" est toujours d'actualité !
Mais attention, Monsieur le journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même, prenez garde en lisant avec attention cette douloureuse maxime bien ancienne — extraite du recueil de poèmes Shahnama — du poète iranien Abud el KASIM, dit FIRDAUSI. Il nous prévient avec délicatesse :
"Ainsi sont les voies du destin en ce monde sévère : aujourd’hui on te met doucement en selle et demain tu auras la selle sur les épaules"…
Un jour viendra pour vous de réparer…
Votre nom, Monsieur le journaliste du Midi Libre, devient indissociable de celui du pirate que vous avez calomnié… Oui, Monsieur le journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même… sur l'internet s'associe à Yves Philippe de FRANCQUEVILLE…
Vous continuez dans la médiocrité…
Pendant ce temps là, sur les mers, sur les océans de la toile de l'Internet, le pirate Yves Philippe de FRANCQUEVILLE continue son aventure en toute noblesse, contre vents et marées !
Wahoo… À l'abordage !
© Yves Philippe de FRANCQUEVILLE.
Les deux œuvres artistiques, Modus operandi et Justice, sont réalisées par Franck PASQUALINI, pour illustrer les poèmes Le Grand Inquisiteur, et l'Audacieux, textes extraits du recueil Solitude étrangère, écrit par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE.
Bravo bravo bravo pour cette splendide démonstration de l'indépendance de la presse. Retenons aussi, à la lecture de cet article édifiant, le talent d'un journaliste de province, passionné des brèves de prétoire, et champion des vérités vraies à la Boris VIAN… car il peut presque écrire sans honte, en présentation de son œuvre : "cette histoire est entièrement vraie puisque je l'ai imaginée d'un bout à l'autre"…
Ce préambule de "l'écume des jours" est toujours d'actualité !
Mais attention, Monsieur le journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même, prenez garde en lisant avec attention cette douloureuse maxime bien ancienne — extraite du recueil de poèmes Shahnama — du poète iranien Abud el KASIM, dit FIRDAUSI. Il nous prévient avec délicatesse :
"Ainsi sont les voies du destin en ce monde sévère : aujourd’hui on te met doucement en selle et demain tu auras la selle sur les épaules"…
Un jour viendra pour vous de réparer…
Votre nom, Monsieur le journaliste du Midi Libre, devient indissociable de celui du pirate que vous avez calomnié… Oui, Monsieur le journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même… sur l'internet s'associe à Yves Philippe de FRANCQUEVILLE…
Vous continuez dans la médiocrité…
Pendant ce temps là, sur les mers, sur les océans de la toile de l'Internet, le pirate Yves Philippe de FRANCQUEVILLE continue son aventure en toute noblesse, contre vents et marées !
Wahoo… À l'abordage !
© Yves Philippe de FRANCQUEVILLE.
Les deux œuvres artistiques, Modus operandi et Justice, sont réalisées par Franck PASQUALINI, pour illustrer les poèmes Le Grand Inquisiteur, et l'Audacieux, textes extraits du recueil Solitude étrangère, écrit par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE.
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Et maintenant, d'un CLIC,
Découvrez un troisième article de ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même,
Réalisé pour achever sa proie !
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Dites-le, cher lecteur :
Yves Philippe de FRANCQUEVILLE est VIVANT !
Comme le disait Friedrich NIETZSCHE, légèrement revisité :
"Ceux qui ne nous tuent pas nous rendent plus forts" !
Ces écrits ne sont pas pour la révolution
Mais ils se déploient sur la toile de l'Internet
Pour l'Évolution !
Vive la liberté !
Yves Philippe de FRANCQUEVILLE est VIVANT !
Comme le disait Friedrich NIETZSCHE, légèrement revisité :
"Ceux qui ne nous tuent pas nous rendent plus forts" !
Ces écrits ne sont pas pour la révolution
Mais ils se déploient sur la toile de l'Internet
Pour l'Évolution !
Vive la liberté !
Un nouvel article écrit par un journaliste du Midi Libre, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même, en relecture et commenté par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, tous droits réservés ©…
Auteur : Yves Philippe de Francqueville