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      • Reflet, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • J'ai aimé ton regard, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Je ne suis pas Rimbaud, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Montagne et solitude, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Solitude et ennui, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
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      • L’amant, un poème de Solitude étrangère, par Yves Philippe de Francqueville
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      • Révolte, un poème de Solitude étrangère, par Yves Philippe de Francqueville
      • L’orage, un poème de Solitude étrangère, par Yves Philippe de Francqueville
      • Vous n'êtes que du vent… un poème de Solitude étrangère, par Yves Philippe de Francqueville
      • Déraison d'un poète malade… un poème de Solitude étrangère, par Yves Philippe de Francqueville
      • Hommage, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Artiste, lève-toi ! Un poème de Solitude étrangère, par Yves Philippe de Francqueville
      • Vivre jour après jour, un poème de Solitude étrangère, par Yves Philippe de Francqueville
      • La Lune, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Quand l'ombre gagne… un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • La fin du jour, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Laisse-moi te donner… un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • L'adieu, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • L'image, un poème de Solitude étrangère, par Yves Philippe de Francqueville
      • L'hérédité de la Genèse, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • L’audacieux, un poème de Solitude étrangère, par Yves Philippe de Francqueville
      • Le grand inquisiteur, un poème de Solitude étrangère, par Yves Philippe de Francqueville
      • Alors, je suis moins seul… un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Si j'écrivais l'Histoire, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Amertume, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Je l’ai vu s’en aller… un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Mon heure aussi viendra, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Mémorial, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Création, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Le Vagabond, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Rappelle-toi ces jours…un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Présence, une chanson de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • La coupe était si belle, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Pourquoi m'as-tu quitté ? Un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Doutes… un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Dilection, un poème de Solitude étrangère, par Yves Philippe de Francqueville
      • Le grand combat des anges, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Encore quatre jours, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • L'envol, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • L'exilé, extrait de Solitude étrangère, poèmes de Yves Philippe de Francqueville
      • Misère, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • J’avais besoin de toi… un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Je retourne au néant, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Liberté, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Solitude, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Innocence, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Mon dieu guérit, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Dieu guérit, acrostiches de Solitude étrangère, par Yves Philippe de Francqueville
      • Paradis, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Petit homme, une chanson de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Impromptu, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Le retour, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Espérance, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Victoire, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Narcisse, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • L’oiseau gris, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
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      • Départ, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
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Yves Philippe de Francqueville, mémoires d'un pirate
© Le cycle de l'Austrel,
tome premier : Souvenir d'un amour,
des écrits de Yves Philippe de Francqueville,
pirate des mots et philanalyste en herbe. 

Suite des notes philosophiques et littéraires attenantes au texte.


​

Notes philosophiques
du premier tome
du Cycle de L'austrel : 

Souvenir d'un amour.
​

Note du prologue :
​
​[i]        Merci à Boris VIAN, pour ses remarques préliminaires dans « L'Écume des Jours » : « Cette histoire est entièrement vraie, puisque je l'ai imaginée d'un bout à l'autre ». La vérité est peut-être davantage présente dans notre esprit plutôt que dans la réalité quotidienne ?    

Notes de la première partie :

[i]            Merci au docteur Sigmund FREUD pour toutes ses idées plus ou moins originales qui ont permis à beaucoup de réfléchir sur le sens de la vie dans la relation humaine, au-delà des totems et des tabous.

[ii]           Merci au docteur Éric VILAIN, pédiatre généticien, pour son ouvrage intitulé « L'inutile Adam ». Ce passionné de « l’identité sexuelle » avant l’heure devrait être un peu plus écouté… Ses travaux sur la fragilité de l’homme comme « reproducteur » et sur les questions fondamentales sur les gènes sexuels sont remarquables.

[iii]           Merci au docteur Jacques LACAN, ce grand chercheur, créateur et fossoyeur d’un regard sur la psychanalyse ; il est l’inventeur d'un langage réservé pour lui-même et ses adeptes…

[iv]           Merci encore à Jacques LACAN, le prince du contrepet.
Pour Jacques LACAN — bien explicité par la démonstration d’Éric VILAIN dans « L’inutile Adam » — la différence fondamentale entre l’homme et la femme, c’est leur relation vis-à-vis de la castration. Oui, « tout le monde possède un phallus » selon le « point de vue de l’enfant mâle » et la formule explicite est formelle :


Pour Jacques LACAN — bien explicité par la démonstration d’Éric VILAIN dans « L’inutile Adam » — la différence fondamentale entre l’homme et la femme, c’est leur relation vis-à-vis de la castration. Oui, « tout le monde possède un phallus » selon le « point de vue de l’enfant mâle » et la formule explicite est formelle :
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Toujours de Jacques LACAN :
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Oups… Faut-il encore aller faire un séminaire ?
Juste une traduction pour « faire simple » : la femme selon LACAN comporte un élément non définissable perturbateur, et comme l’homme se définit par rapport à une exception — la femme qui a subi la castration — on ne peut pas parler de « LA femme » puisqu’elle n’existe pas en tant qu’entité entièrement définissable…
LACAN sait donc que nous ne pouvons parler que « DES femmes »…
Hélas… Quand sortirons-nous de ce drame de l’enfance du jeune Jacques ?
Ce n’est pas la femme qui est une exception… ce serait plutôt l’homme, par son absence de matrice ! Le phallus ne manque pas à LA femme.

[v]           Merci au film « Jurassic Parc » de Steven SPIELBERG, où le crédule savant un peu fou a pensé à tort, qu'en laissant des femelles dinosaures entre elles, il n'y aurait pas de reproduction…

[vi]           Merci à la nature de nous trouver un sens à l’existence de l’homme, après le rapport sexuel ! L’hermaphrodisme est dans la nature de la femelle…

[vii]          Merci à PLATON où dans « Le Banquet », malgré les traductions et les copies orientées à la dérision, nous pouvons saisir l'origine hermaphrodite de l'humain.

[viii]          Merci à Jésus dit le Nazaréen, celui dont on nous explique qu’il a été envoyé par son père pour nous sauver… et nous libérer du « mal », en souffrant sur la croix par amour !
Et le père, ce dieu d’amour, il faisait quoi pendant ce temps-là ? Certains iraient même jusqu’à l’accuser : n'aurait-il pas pu venir lui-même, plutôt que de laisser son fils se faire massacrer ? Pour davantage d’explications voici un extrait du troisième volume sur « La vie de Jésus », du pape Benoît XVI :
« Dieu est amour. Mais l'amour peut être haï quand il exige que l'on sorte de soi-même pour aller au-delà de soi. L'amour n'est pas une sensation romantique de bien-être. La rédemption n'est pas wellness, un bain d'auto-complaisance, mais une libération de l'être compressé dans son propre moi. Cette libération a pour prix la souffrance de la Croix.»
Non, Joseph RATZINGER, pape d’un temps, la haine de l’amour est aussi désespérante que la souffrance par amour… pour espérer être sauvé… et de quoi, et de qui ?
La liberté ne se construit pas dans le sang des autres ou du sien par amour pour l’autre, mais elle se gagne dans l’intérêt et si possible le plaisir par amour pour soi, et peut rayonner jusqu’à l’autre… « La rédemption » est un grand leurre politicien et religieux qui endort le faible !
On n’achète pas sa liberté (Haïti en paye toujours la dette) et le travail ne rend pas libre non plus (Souvenons-nous de la tristement célèbre devise d’un des camps de la mort). La liberté se conquiert par la lutte personnelle, et l’arme la plus sublime est la recherche de la connaissance — dégagée des morales totalitaires, religieuses ou politiques — qui exige de l’audace, et un autre regard sur soi-même.
Nous ne sommes pas coupables des « fautes » de nos pères…

[ix]           Merci à Marguerite YOURCENAR. Cette grande dame a cherché toute sa vie des humains, parmi les bipèdes qui se succèdent depuis Adam… Son livre « L’Œuvre au noir » nous offre la « formule » qui permettrait peut-être d’accéder à l’humain !

[x]           Merci à l’évêque d'Hippone dit Saint-Augustin. Ce grand manichéen, converti à SA religion issue d'une idée du christianisme, expliquait dans « La Cité de Dieu », que par sa nature angélique, « au Paradis, l'homme serait libre car il ne pourra plus pécher ».

[xi]           Merci à Friedrich NIETZSCHE, qui souhaitait sincèrement réformer la philosophie et l'académie…
Ce grand sensible, ce « génie du cœur », a cherché des amis capables d'avancer avec lui vers les grandes questions que les autres philosophes avaient laissées — selon lui — non résolues malgré leurs certitudes.

[xii]          Merci à Aldous HUXLEY, et à son « Meilleur des Mondes », où les naissances sont gérées à la perfection.

​


Suite des notes philosophiques de la première partie :


[i]            Merci à SOCRATE pour avoir osé demander à la cour de justice d'Athènes de le loger et de le nourrir en remerciement des services rendus à la Nation.

[ii]           Merci à William Seward BURROUGHS, celui qui ose le trash et le hard avec une certaine poésie pour gagner sa liberté sur les morales du monde, notamment dans « Les Garçons Sauvages » ou « Le Festin nu ».

[iii]           Merci à PANGLOSS, cet homme tout en parole, et rendons hommage à son maître Gottefried Wilhelm LEIBNIZ, expert en Monadologie…

Pour ne pas tomber dans le binaire, ils ont trouvé une solution efficace : être monolithique.
​

Suite des notes philosophiques de la première partie :



[i]            Merci au « Livre de la Genèse ». Oui, si le père divinisé n'avait pas préféré l'offrande sanglante d'Abel, le brave Caïn — cueilleur et laboureur — n'aurait pas été jaloux.
C’est dramatique d’en arriver à un fratricide !

[ii]           Merci à Vincent CESPEDES, philosophe audacieux qui tente de faire entrer dans le dictionnaire quelques mots fort utiles pour "senser" nos idées.

[iii]           Merci au Dalaï Lama, ce tyran au sourire béat… pour ses propos sirupeux de bonté, ses actions pour la paix dans le monde et ses temples dorés à l’or fin pendant que son peuple meurt de faim…
Oui, car la béatitude n'entraîne pas nécessairement le bonheur…
Lorsque l’on est pauvre paysan, pour espérer le meilleur pour l'après, il faut donner sa récolte aux bons moines qui prient sans avoir faim…

[iv]           Merci à Antoine de SAINT-EXUPÉRY et à son allumeur de réverbères que j'ai retrouvé dans un des écrits d'Anatole FRANCE.
(…)« Ce que j’attendais que l’abbé M. nous apprenne ce soir, c’est s’il y a un allumeur de réverbères, là-haut, si quelqu’un se promène dans le fantastique décor céleste, allumant et éteignant les étoiles »(…) des « Dernières conversations avec Anatole France », par Nicolas SÉGUR.

[v]           Merci à Anatole France… en souvenir du « petit chien de Monsieur Bergeret qui ne regardait jamais le bleu du ciel incomestible », référence incontournable des lycéens s’entraînant pour le baccalauréat, dans leurs dissertations de français…

[vi]           Merci à Aldous HUXLEY… toujours bien vivant par-delà la Soma !

[vii]          Merci encore à Aldous HUXLEY… toujours excellent dans la critique des Alpha +, ingérables avec les Alpha, les Beta et les autres…

[viii]
          Merci à Blaise PASCAL de MONS, être passionnant et déluré… avant sa maladie et sa "pseudo conversion plutôt forcée" par sa sœur, sous la menace des Enfers.

Suite des notes philosophiques de la première partie :


[xxv]           Merci à l’église Cathare qui ne doit pas être considérée autrement qu'une secte manichéenne.
Oui, bien des fidèles et des parfaits ont été massacrés pour des raisons économiques et politiques au nom d'une autre religion pas plus épanouissante mais plus puissante.
Cela ne doit pas pour autant en faire des gens « biens »…

[xxvi]           Merci au film « Bienvenue à Gattaca », réalisé par Andrew NICCOL, où la science s'affirme comme toute puissante pour prédire l'avenir de l'homme.
​


Suite des notes philosophiques de la première partie :


[i]            Merci à mon ancêtre Nicolas RÉMY, grand démonolâtre, qui a été anobli pour son expertise de qualité dans la chasse aux sorcières. Il revendique personnellement à son actif, quelque 900 bûchers salvateurs.

[ii]           Merci à Christian GODARD et à Julio RIBERA, habiles dessinateur et scénariste de cette bande dessinée érotique où les hommes viennent à manquer dans un monde gouverné par une papesse.

[iii]           Merci à l’opéra CARMEN pour nous avoir révélé l’incroyable caractère de sa chère héroïne gitane, délicieusement provocatrice.
Elle nous clame l’amour, comme enfant de Bohème, dans la célèbre habanera récupérée du « petit arrangement » composé par Sébastian IRADIER et transformé avec talent par Georges BIZET.

[iv]           Merci encore à Marguerite YOURCENAR, femme audacieuse qui aimait les livres et les femmes qui aiment les livres.

[v]           Merci à Georg Wilhelm HEGEL. Il assure, avec sa dialectique du maître et de l'esclave… reprise à l’œuvre de « La République » de PLATON alors que les copistes l’ont souvent transformée en système politique.

[vi]           Merci à Léon TOLSTOÏ, qui était convaincu que pour être heureux, il fallait croire au bonheur… mais avec sa chère épouse, y croyait-il ?

[vii]          Merci encore à Vincent CESPEDES pour ce mot utile afin de mieux « senser » nos propos.

[viii]
          Merci aux 12 tribus d’Israël… et surtout aux deux survivantes pour cette mémoire du passé qui leur donne une grande volonté de réussite !

Suite des notes philosophiques de la première partie (fin)


[xxxv]           Merci à ARISTOTE qui était peut-être d'accord avec HEGEL… Que savons-nous de la véracité des textes rapportés par des copistes et traducteurs au service d’un pouvoir ou d’une religion ?

[xxxvi]           Merci à Nicolas SARKOZY de NAGGY-BOSCA, sans commentaires supplémentaires.


Notes philosophiques de la deuxième partie :


[i]            Merci à Cyril ARNAUD pour son excellent livre sur l’Axiologie. Ce pirate philosophe nous aide à trouver des portes de vie libérées de la morale, et fortes de valeurs…

[ii]           Merci à Roger PEYREFITTE, pour ses explications délicieusement historiques dans son roman « La nature du Prince ».

[iii]           Genèse, 2. 24.
En jouant avec art des voyelles à placer entre les consonnes, d’autres mots peuvent naître et l’idée diffère.

[iv]           Merci au docteur Alfred Charles KINSEY, riche en rencontres humaines.

[v]           Merci à la série télévisée : « La quatrième dimension » et plus particulièrement pour un de ses épisodes savoureux sur "la différence" et la notion bien spécifique du « monstre »…

[vi]           Merci au film « La Guerre du Feu » de Jean Jacques ANNAUD où dans la dernière scène, le « bipède » ne prend plus la femelle « par derrière » mais la rencontre « de face »… L’homme devient alors ?
Est-ce l’apparition de l’Amour Humain ?

[vii]          Merci au divin Marquis de SADE, philosophe éclairé peut-être trop léger à en devenir très lourd ?

[viii]              Merci encore au docteur Eric VILAIN pour son étude très sérieuse sur notamment « le dualisme sexuel » dans son livre « L’inutile Adam ». L’on y découvre combien l’homme est pluripossible dans son identité sexuelle.

[ix]           Psaume 49 (48) Versets 12 à 14.

[x]           Merci à « L’Ecclésiaste »… Encore un extrait de la Bible… un livre fondateur édifiant, lorsque l'on souhaite parler de liberté et d'amour !

[xi]           Merci à Marcel Proust, où dans « Le Temps Retrouvé », la recherche du temps perdu s'achève avec une myriade de propos, de réflexions et de pensées philosophiques exemplaires. En voici l’extrait qui est à la source de la remarque soulevée :
« "Je ne sais si le bras levé de Saint-Firmin est aujourd'hui brisé. Dans ce cas la plus haute affirmation de la foi et de l'énergie a disparu de ce monde".
"Son symbole, Monsieur, lui répondis-je. Et j'adore autant que vous certains symboles. Mais il serait absurde de sacrifier au symbole la réalité qu'il symbolise. Les cathédrales doivent être adorées jusqu'au jour où pour les préserver il faudrait renier les vérités qu'elles enseignent. Le bras levé de Saint-Firmin dans un geste de commandement presque militaire, disait : que nous soyons brisés si l'honneur l'exige. Ne sacrifiez pas des hommes à des pierres dont la beauté vient justement d'avoir un moment fixé des vérités humaines." ».

[xii]          Merci à Charles DARWIN qui, pensant que la ruse est le propre de l'animal pourrait croire que l'intelligence serait le propre de l'homme ?




Note philosophiques
 de la troisième partie :


[i]          Merci à Laurent FABIUS, porte-parole de la politique décomplexée…


Notes philosophiques
 de la quatrième partie :


[i]            Merci à Louis XVI, dit CAPET, petit roi malgré lui…
Son talent se révélait davantage dans l'art de la serrurerie que dans la gestion des intrigues politiques de sa cour rapprochée.

[ii]           Merci à Pierre GRIPARI. À travers toute son œuvre riche en remises en questions des certitudes du monde, il est notable de rappeler « Frère Gaucher ou le voyage en Chine ».
C'est la révélation du bien-fondé d'une révolution culturelle : révolution après révolution, à force de nettoyage des traîtres et des opposants aux bonnes idées du tyran, il finit par se retrouver seul.



Note philosophique de la neuvième partie :


[i]           Merci aux enfers des bibliothèques monastiques.
Le seul acte d'abîmer un livre pouvait entraîner des sentences terribles pour le novice.
Des trésors sont encore à découvrir.

Suites des notes philosophiques neuvième partie :

[i]            Merci à Amadou HAMPÂTÉ BÂ, noble peul, écrivain et gardien de ma mémoire africaine. Sa mort n'a pas entraîné le feu des archives… mais nous avons perdu semble-t-il un personnage humaniste précieux pour la culture.

[ii]           Merci à Jean CASSIEN. Dans les dialogues avec Abba Antoine, de belles histoires et des réflexions sur l’importance d’harmoniser le corps à l’esprit et au cœur.

[iii]           Merci à Friedrich NIETZSCHE, grand voyageur à travers l'histoire des frustrations des hommes, soucieux d'en découvrir la source, et révélateur de la morale. Son livre « La généalogie de la Morale » est une clé précieuse pour ouvrir les premières portes menant à la liberté.


Suite notes philosophiques neuvième partie :



[i]            Merci à Vincent CESPEDES pour son « Jeu du Phénix », un tarot philosophique plutôt réussi. Il permet d’ouvrir à la question nos pensées et nos actes du quotidien, à travers les ondes de choc et les ondes de charme.

[ii]           Merci à Napoléon BONAPARTE qui a choisi la religion catholique après de grandes réflexions pas forcément spirituelles…
Oui, l'islam le tentait bien alors que le judaïsme ne voulait pas trop de lui… mais les catholiques sont les plus à même — selon ses dires — de bien obéir et surtout de supporter la misère sans se révolter, à partir du moment où le paradis leur est assuré. Il a su aussi sans complexe, emprisonner le pape Pie VII afin de se sacrer lui-même empereur selon son choix, à Paris, devant un chef de l'Église, soumis et consentant.
Le tyran Napoléon BONAPARTE est un des plus célèbres et des plus admirés criminels de l'histoire — connus à ce jour — de notre humanité.

[iii]           Merci à René DESCARTES, cet homme plein de contradictions…
Oui, il faisait tourner les tables pour savoir si son idée du moment était la bonne… à nous donner la nausée, aurait écrit Jean Paul SARTRE.
Mais tout cela fut oublié pour que notre société soit cartésienne… dans la partie purement binaire de son créateur ?

[iv]           Merci à Jorge Luis BORGES, cet habile fossoyeur du roman fleuve !
Ah, quelle classe, en une vingtaine de pages, de nous pondre un chef d'œuvre, alors que Dan BROWN (et son équipe) et toutes les autres agences d'écriture (comme ces groupes de nègres qui écrivent des sagas de type « Harry POTTER ») s'obligent à plaire aux imprimeurs en rédigeant des pavés de sept-cents pages minimum.


Notes philosophiques de la dixième partie :


[i]            Merci à Jean de La FONTAINE pour son analyse subtile du loup maigre face au chien bien portant.

[ii]           Merci à PLATON pour son Apologie de la Caverne toujours d'actualité.

[iii]           Merci à Diogène de SINOPE, dit le Cynique… pour avoir osé se promener en pleine journée dans les rues d’Athènes, nu, une lanterne allumée à la main, s’écriant à qui voulait l’entendre :
« Je cherche un homme ».
Oui, merci à DIOGÈNE, qui avait plaisir à jouir sans honte du regard de l'autre concupiscent… et qui désespérait souvent de ne pas rencontrer des humains libres comme lui.

[iv]           Merci au Comte Alfred Abdank KORZYBSKI, révélateur de la Sémantique Générale…
Il est celui qui ose rappeler que « le mot n'est pas l'idée » et que :
« une carte n'est pas le territoire ».

[v]           Merci à Albert Elton van VOGT — élève de KORZYBSKI — pour son idée remarquable, mais erronée, de vouloir envoyer les non-A sur Vénus !
Dans « La fin des non-A » il reconnaît s’être trompé.

[vi]           Merci à Hermann HESSE, écrivain homophile pour adolescents éveillés…
Une mention spéciale à « Narcisse et Goldmund », un beau roman où deux chercheurs de l'amour humain partent à sa rencontre par des chemins de vie différents.

Suite des notes philosophiques dixième partie :


[i]            Merci à Richard BACH — pilote d'avion et écrivain philosophe — qui a associé l'art du vol chez l'oiseau et la quête du sens de la vie chez l'homme, à travers toute son œuvre et plus particulièrement « Jonathan Livingston le Goéland ».

[ii]           Merci à Xavier de MAISTRE qui a su en quelques toiles et une poignée de nouvelles fraîches et sensibles nous magnifier l'art de la littérature et de la peinture, pendant que son auguste frère étalait ses certitudes morales dans des ouvrages pompeux…
Quoi de plus original qu’un « Voyage autour de ma chambre » ?

[iii]           Genèse, 1. 5. Fascinante proposition biblique toujours d'actualité dans les religions actuelles, de présenter la journée comme commençant au coucher du soleil…
« Il y eut un soir, il y eut un matin… premier jour ! ».



Notes philosophiques de la onzième partie :


[i]            Merci à Mary SHELLEY, celle qui nous a présenté le médecin dans toute sa splendeur : celui qui veut égaler son dieu… devenir dieu… être le créateur de la vie. Il y a la créature hideuse…
Mais le monstre est bien le docteur FRANKENSTEIN !

[ii]           Merci à Bruno CADORÉ, ce docteur, professeur d'Éthique à ses heures disponibles, qui aimerait sincèrement œuvrer pour que le monde aille mieux…
Est-ce possible d’être bon acteur, tout en étant dans l'acceptation obéissante de mener la meute de chiens d'un dieu ?
Ces frères prêcheurs sont plus ou moins fidèles mais assez fous pour embraser le monde… d'une connaissance pas nécessairement libérée des vérités religieuses ?

[iii]           Merci à la règle de l’Ordre des frères Prêcheurs, « les chiens d'un dieu ».
Ils sont depuis leur fondation — il y a quelques siècles — sous les ordres de maîtres parfois exemplaires (et souvent maladroits) dans le désir de voir le monde des bipèdes évoluer vers l'humain.



Suite notes philosophiques onzième partie :


[i]            Merci à Michel de MONTAIGNE dont voici le texte aujourd'hui effacé qui fut écrit sur le mur de sa bibliothèque, dans sa tour d'écriture, en Dordogne.
Cette bibliothèque fut réalisée pour faire mémoire de l'amour qui unissait les deux amis, Michel et Étienne.
Les livres ont disparu, mais la tour est toujours visitable pour s'imprégner de l'énergie formidable de l'écrivain (le texte est donc celui qui rend hommage à son grand amour Étienne de La BOÉTIE, né en 1530 et décédé au château de Castéra en 1563).
« Michel de MONTAIGNE, privé de l'ami le plus tendre, le plus cher et le plus intime, du compagnon le meilleur, le plus savant, le plus agréable et le plus parfait qu'ait vu notre siècle, voulant consacrer le souvenir du mutuel amour qui les unissait l'un à l'autre par un témoignage de la reconnaissance et ne pouvant le faire d'une manière plus expressive, a voué à cette mémoire tout ce savant appareil d'étude, qui fait ses délices ».
Après la mort d'Étienne de La BOÉTIE, Michel de MONTAIGNE a écrit aussi (deux extraits des Essais en mémoire de cet amour) :
« Depuis le jour que je le perdis, je ne fais que traîner languissant ; et les plaisirs qui s'offrent à moi, au lieu de me consoler, me redoublent le regret de sa perte.
Nous étions à moitié de tout ; il me semble que je lui dérobe sa part »…
« Je sens que cela ne se peut exprimer qu'en répondant :
Parce que c'était lui, parce que c'était moi ».

[ii]           Apocalypse, 22. 18.
Encore faudrait-il en briser les sceaux tout en brisant certainement quelques sots !

[iii]           Merci à Antoine de SAINT-EXUPÉRY avec qui je ne suis absolument pas d'accord, à mon grand regret… sur l'idée qu'il affirme en vérité : "que l'on se console toujours"…

Oui, comme j'aimerais parfois me consoler !



Notes philosophiques de la treizième partie :




[i]            Merci à Louis Antoine de Saint-Just, qui aurait pu être un formidable éducateur s'il n'avait pas pris un pouvoir qu'il savait injuste.
26 ans, c'est tôt pour mourir… il avait des idées remarquables, qui n'ont pu nous parvenir que dans leurs germes, hélas.

[ii]           Merci à François MAURIAC pour cette belle citation qui ouvre à la question : « Nous méritons toutes nos rencontres. Elles sont attachées à notre destinée et ont une signification qu'il nous appartient de déchiffrer ».

[iii]           Merci à Ponce PILATE. Ah, qu'il est facile de se laver les mains pour ne pas se sentir coupable ou responsable… Ponce PILATE est le saint vénéré des politiciens dans la lignée de Laurent FABIUS et de ses collègues !

[iv]           Merci à PLATON qui nous présente SOCRATE — son professeur peut-être imaginaire… projection de lui-même — comme le corrupteur de la jeunesse athénienne. PLATON a-t-il été revisité par les moines copistes autant qu’ARISTOTE, pour que les contradictions philosophiques soient aussi grandes entre ses écrits ?

[v]           Merci à Albert Einstein, cet être éveillé qui su dire que « pour faire partie d’un troupeau de moutons, il faut nécessairement être un mouton ».
 
 

 

Et

Merci encore à toutes celles et ceux qui m'ont édifié ou déçu dans la rencontre…

Un merci du cœur, de l'esprit et du corps,

 tout particulièrement adressé :

à Olam,

Jean-Philippe,



Cyril,

Nicole,

Raphaël,

Yvane

et Jules…

pour leur précieuse aide à la relecture…

Tous droits réservés :

Yves Philippe de FRANCQUEVILLE ©

achevé à Montpellier, 2012.
​Version mars 2016.




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© Le cycle de l'Austrel, tome premier : Souvenir d'un amour, des écrits de Yves Philippe de Francqueville, pirate des mots et philanalyste en herbe.
Suite des notes philosophiques et littéraires attenantes au texte.
Auteur : Yves Philippe de Francqueville
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