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      Yves Philippe de Francqueville
Pirate des mots et philanalyste en herbe
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Enfance, amours & sexualité
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            Comprendre la sexualité
            « Sous un autre regard »



Sixième chapitre…
​


En conclusion, 
Pour le quotidien…

Comme je l’ai déjà expliqué, afin de donner naissance à un enfant, il faut normalement l’ovule d’une femme et le spermatozoïde d’un homme.
L’acte sexuel n’est plus indispensable, grâce aux « progrès de la médecine ».
Lorsqu’un enfant né, la société dans laquelle il va grandir, s’organise pour en faire un citoyen, ou un sujet.
Il est un élément du peuple.
Notre mode de vie actuelle privilégie étrangement pour l’éducation de cet enfant « le père géniteur et la mère génitrice », c’est-à-dire ceux qui l’ont fabriqué. Cela n’a pas été le cas dans toutes les époques et les civilisations qui précèdent la nôtre.
Il y a encore peu d’années, c’était souvent l’oncle ou la tante, la grande sœur, les grands parents, un tuteur, une gouvernante… ou le cadre d’une pension, voire d’un orphelinat, qui s’occupaient de l’enfant. La plus part des parents travaillaient, mouraient jeunes à cause du travail (ou à la guerre) pour les hommes, en accouchant aussi, pour les femmes…
Certains autres parents, appartenant à l’élite sociale, avaient d’autres préoccupations, le plus souvent politiques, financières, artistiques ou religieuses, ne leur permettant pas de s’occuper de leurs ouailles.
La notion de « père » et de « mère » avait un sens purement administratif, et parfois même, dans certaines familles, il était naturel de « donner » un de ses enfants à une autre qui n’en avait pas…
« L’enfant » avait pour raison d’être, de travailler un jour (ou de faire la guerre) afin de permettre à la société de fonctionner au mieux. Il était de la foule que l’on utilise, comme pour les abeilles dans une ruche, ou des fourmis, ou des termites, au service de la reine.
Chez l’élite dirigeante, certains « échanges d’enfants », ou autres adoptions, étaient souhaités aussi pour relever un nom ou reprendre un héritage politique ou financier.
Aujourd’hui, avec un divorce facilité, on retrouve les traditions ancestrales : beaucoup d’enfants vivent seuls avec la mère ou plus rarement, seuls avec le père ; souvent c’est avec des parents — père ou mère — d’adoption, généralement forcés (les beaux-pères, les belles-mères).
Il n’y a en fait, pas beaucoup d’enfants qui ont à la maison, les entourant, les aimant, un « papa » et une « maman »…
C’est d’ailleurs deux jolis petits mots qui ne sont que trop rarement utilisés dans notre monde !
Dire « Maman »…
Dire « Papa »…
Au quotidien, c’est un grand privilège que beaucoup d’enfants n’ont pas dans leur existence !
Ce sont des « mots d’amour » !
Un papa, une maman… ce n’est pas comme un père ou une mère !
Aujourd’hui comme hier (même si cela n’était pas formalisé par des lois), c’est aussi possible qu’un enfant ait au quotidien deux « pères » ou deux « mères » pour son éducation ! Ils sont même parfois des mamans, des papas !
C’est peut-être plus facile à vivre au quotidien, qu’avec un parent tout seul, finalement ?
Un enfant ou plusieurs, avec un parent seul, c’est destructeur pour tout le monde. Il n’est pas possible d’aimer un enfant — sans s’abîmer — en l’ayant seul à charge, sans aide.
Les notions « de sacrifice », « de dévouement », « de compromis », voire « de concession » ou encore « d’abnégation » et souvent « de résignation », n’apportent pas de bonnes solutions : tôt ou tard, il y aura des reproches, du regret et de la colère, qui se transformeront en rejet, voire en vengeance !
Deux personnes présentes pour l’éducation d’un enfant peuvent permettre, à chacun, des temps de repos et de solitude, et de se donner respectivement un regard critique indispensable et constructif.
S’ils sont de « vrais papas » ou de « vraies mamans »… s’il y a de l’amour à donner et à recevoir… c’est si rare !
Quelle joie !
Nous ne pouvons que nous réjouir !
Oui, il y a des « super mamans » et des « super papas », qui cependant ne sont pas des « mères génitrices » ou des « pères géniteurs » !
Ah… quand il y a de l’amour !
Aussi… la vie amoureuse de nos « parents » comme celle de nos enfants, leur appartient et ne nous regarde pas.
Ne jouons pas à celui ou celle qui divise, pour avoir l’impression de mieux régner ou d’être préféré par l’un ou par l’autre.
L’enfant aussi ne doit pas fragiliser le couple qui peut l’aimer, et qui devrait l’éduquer de son mieux.
Si l’on a la chance de vivre dans une famille, un jour, l’enfant que je suis ou que j’ai pu être, deviendra adulte et s’en ira… et que restera-t-il du couple ?
Un couple ?
Parfois, certaines personnes à la recherche de soi ou de l’autre, veulent « se caser », se trouvant trop seules, et « s’encouplent » : elles se mettent dans « une boîte », comme dans un « cercueil »…
Vivre avec quelqu’un ce n’est pas être « enfermé », ou « s’obliger », mais c’est former une île, un espace plaisant pour se sentir en sécurité, aimer, se ressourcer, et retrouver des êtres qui nous sont chers.
L’enfant est normalement heureux, aussi, d’être sur cette île dont il n’est que l’usufruitier, et qu’il partage avec les parents, en étant attentif à l’indépendance de chacun.
Sur l’île, il faut avoir ses espaces de solitude et considérer ceux des autres !
Comme pour ma propre vie, la vie des parents et celle des enfants, doit être respectée, dans leur personnalité, l’individualité et aussi dans le couple.
C’est très fragile un couple, et lorsqu’il y a des enfants, il est primordial que le plaisir de vivre ensemble soit réel, en accueillant avec honnêteté toutes les difficultés.
On se lie d’un amour à vingt ans… et qu’en reste-t-il vingt ans après ?
C’est pour cela qu’il faut un lieu agréable où l’on est tous heureux de se retrouver après le temps de l’aventure : c’est ce que j’appelle le principe de « l’île ».
L’île est un endroit où l’on apporte les nouveaux trésors découverts de nos expériences, où l’on reprend des forces vives, où l’on se soigne si besoin des blessures du monde, où l’on a plaisir à conter les belles histoires de nos vies, riches en rencontres.
« L’île », c’est un foyer de vie qui doit être merveilleux, qui doit permettre à des êtres qui s’aiment et qui se considèrent, de se valoriser, de se restaurer.
 
« Enfin notre île », et repartir !
 
Parfois, il arrive que certains êtres fort éveillés parviennent à posséder plusieurs îles à travers l’univers de leur vie… des espaces de paix, de joies, d’amours où l’on jette l’ancre avec plaisir, avant de reprendre le chemin de l’aventure !
 
Il y a la vie amoureuse de chacun… il y a aussi celle de nos parents, de nos enfants, avec leurs désirs, leurs attentes, leur vécu !
Pour ce qui est de la vie sexuelle de nos parents comme de nos enfants si nous en avons, c’est encore plus à respecter dans la discrétion… tout comme ils doivent eux aussi éviter absolument toute intrusion destructrice dans notre quête de plaisir.
Un couple à la maison, « sur l’île », cela a du sens pour l’éducation des enfants. Cependant, est-ce suffisant dans une vie si l’on est chaque instant en fusion avec l’autre, pour l’autre, pour les autres ?
Antoine de SAINT-EXUPERY écrivait aussi que « s’aimer, ce n’est pas se regarder l’un l’autre, c’est regarder ensemble dans la même direction ». Il annonçait alors une première étape.
Ce poète a compris aussi — par sa propre expérience, à en souffrir de frustrations puis de séparations et de déceptions — que dans un couple, il peut y avoir la nécessité de regarder dans d’autres directions, en toute intelligence, considération et respect : en effet, aller voir « ailleurs » pour l’esprit, pour le cœur ou parfois même pour le corps, ce n’est pas toujours une tromperie, ou une trahison… c’est aussi à envisager comme une action pouvant être complémentaire, belle et heureuse, qui pourrait aider à senser le couple, à le fortifier…
Avoir de bons amis, avoir de bonnes amies, vivre de très belles aventures amoureuses, qu’elles soient intellectuelles, affectives ou physiques, devraient être des chances à se donner pour éviter que des manques ne se fassent sentir, et fragilisent l’intérêt d’être ensemble !
Serais-je heureux ou heureuse de ne vivre, de ne parler qu’à la personne avec qui je te sens bien aujourd’hui ?
Non, sincèrement.
La routine, les habitudes comme les rituels, détruisent petit à petit le sens d’une vie à deux.
Quoi qu’il se passe à la maison, que notre curiosité ne soit pas déformée. Nous ne sommes pas juge et nous n’avons pas la connaissance de la vérité de l’autre !
Personne ne détiens « LA vérité », puisque nous avons chacun la nôtre.
L’essentiel est d’être tous en quête d’un bonheur, d’une joie de vivre.
Il faut prendre, pour grandir, le meilleur de chacun, en considérant le droit à la différence, en offrant le meilleur de soi-même.
Il est nécessaire donc d’aimer, de donner et de recevoir, sans être jaloux, jalouse…
Mes parents comme ma compagne ou mon compagnon ne m’appartiennent pas, comme mes enfants… et ne sont pas emprisonnés l’un de l’autre, des autres, de moi !
Personne ne trompe l’autre, mais trop souvent nous nous mentons à nous-même et nous nous trompons nous-même.
D’autres bras, d’autres regards, d’autres écoutes sont parfois extraordinaires.
Les frustrer, les nier pour soi, ou les jalouser de l’autre… quel gâchis !
Quel gâchis !
J’ai aussi le droit d’être déçu… car les parents les meilleurs n’ont pas nécessairement toutes les clefs pour m’ouvrir à la vie que j’espère… et les enfants que nous avons ne sont pas toujours avec les aspirations et les réussites qui furent celles des parents alors.
C’est à nous de nous trouver des « pères et des mères de substitution », et même des papas, des mamans, des frères et sœurs « de cœur », des enfants aussi parfois, qui seront des aides, des compléments merveilleux, voire des chances supplémentaires pour nous permettre de grandir, de vivre et d’être heureux.
Il y a toujours des femmes et des hommes que nous saurons rencontrer, à l’écoute, et capables d’être attentifs à nous, de manière honnête et sincère.
 
Aussi…
 
Lorsque deux enfants du même sexe « s’aiment », les adultes trouvent cela mignon, beau et disent que c’est « pur », c’est-à-dire selon eux, « sans sexe »…
Ce raisonnement de frustrés est une grossière erreur :
Il y a une sexualité chez les enfants, comme il y a de l’amour.
Même si ce n’est pas exactement comme dans le monde des adultes, il y a cependant des désirs identiques avec parfois des pratiques physiques initiatiques et amoureuses.
Bien entendu, nous savons maintenant que l’hétérophilie comme l’homophilie des enfants peut donc être sexuelle, même si elle est davantage vécue à travers le rêve, des aventures autour du jeu, ou des compétitions sportives.
Les plus belles amitiés féminines ou masculines de l’enfance sont des amours particulières merveilleuses… si l’adulte ne les brise pas.
 
Dans la sexualité de l’enfant, la curiosité est très grande.
Rappelons-nous qu’il n’y a pas de question indiscrète : c’est la réponse qui peut l’être !
J’ai osé vous offrir, enfants et adultes, ce texte écrit avec sincérité.
J’espère qu’il vous sera utile.
Nous sommes des êtres nés avec plein de rêves et de projets.
N’éteignons pas la flamme de vie qui brûle en nous.
Soyons attentifs à ce que les autres nous respectent dans nos sentiments.
Considérons aussi les désirs de celles et ceux qui nous entourent.
Nous serons alors plus vrai(e)s et plus heureux (heureuses) dans notre vie d’enfant éveillé(e) ; d’adolescent(e) dynamique, puis dans la vie d’adulte épanoui(e),  et de vieillard(e) rayonnant(e).
 
Quel autre souhait à tous et chacun ?
De mourir heureux, heureuse, d’avoir vécu !
 
« Aimer, c’est ce qu’il y a de plus beau », nous rappelle la chanson.
Chacun est libre d’aimer comme son cœur, son esprit, et bien entendu son corps, le lui demandent…
Nous sommes tous des êtres narcissiques, homophiles et hétérophiles…
Des êtres pluripossibles.
Voilà pourquoi selon mon étude sérieuse et libre de toutes les pressions sociétales, religieuses et économiques, je peux affirmer que l’homosexualité, la bisexualité ou l’hétérosexualité n’existent pas en tant que des « espèces sociales » ou des modes commerciales…
Il n’y a surtout pas à cataloguer l’humain selon des genres, des orientations, ou une identité sexuelle sélective.
Nous sommes uniques et avec un potentiel exceptionnel…
 
Devenons le meilleur de nous-même.

Après, il y a les goûts et les couleurs !
Tous nos amours, comme toutes nos pratiques sexuelles sont à protéger dans notre jardin secret : propriété privée d’usage !
L’amour est une chance pour l’humain.
C’est bien ce qui le différencie de l’animalité.
L’interdit nous pousse à l’erreur, l’obligation nous donne l’envie de désobéir…
Je pense qu’il y a quelques règles du jeu à suivre pour être heureux sur cette Terre, à tous les âges de la vie.
En voici une qui me tiens à cœur : 


Ne pas s’abîmer,
Ne pas abîmer l’autre…
Grandir à la rencontre de l’autre…
Et tout faire pour que l’autre
grandisse à notre rencontre !





FIN de la première partie.



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