Mémoires d'un pirate, troisième acte, par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE… vers la philanalyse !
Scène septième
7.
Il n’y a pas de justice…
Il n’y a pas de justice… tant de poètes l’ont chanté.
Soit !
Cependant, peut-être y a-t-il en chaque être — au moment de sa naissance — une base positive, un potentiel d’amour ?
C’est certainement un peu cela, la philanalyse.
Peut-être faut-il croire en un espace de bonté présent — en devenir — en chacun d'entre nous… comme le pensait presque Jean Jacques ROUSSEAU ?
Oui, si selon lui, "l’homme naît naturellement bon et heureux, c’est la société qui le corrompt"… il est convaincu que les lois de la justice sont vaines parmi les hommes : "elles ne font que le bien du méchant et le mal du juste".
C’est hélas bien l’homme qui crée cependant chaque jour la société…
L’homme peut-il enfin jaillir de l’animal ?
Marguerite YOURCENAR écrivait que "peu de bipèdes depuis Adam ont mérité le nom d'homme"…
Nous en débâterons certainement un peu plus loin.
Une fange journalistique d’une presse locale moribonde, associée à la mémoire gargantuesque de l’Internet, se plait — par le biais de propos légers parfois erronés, voire mensongers de procureurs et gendarmes iniques — à construire quelques légendes urbaines…
Tout doit être orchestré pour massacrer Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, le pirate qui se présente comme philanalyste.
Salissons, racontons les pires insanités ou propos abracadabrantesques… il en restera toujours quelque chose.
Oui, que soit bien mis en exergue le proverbe dramatiquement construit pour massacrer ceux qui dérangent, affirmant "qu’il n’y a pas de fumée sans feu"…
Un homme Libre, un pirate !
Avez vous vu marqué « expert » ou « psychologue » ou « psychiatre » sur cette plaque ?
Un petit journaliste — passionné des brèves de prétoires et des informations révélées dans la Salle des Pas Perdus — a su cependant le certifier dans sa prose !!!
Voir en directe les articles du Midi Libre commis par ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même, en relecture studieuses par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE sur le blog : "Un autre regard sur la sexualité"!
Ce journaliste — il est important de le rappeler — a une sœur dans la profession où notre héros œuvre avec talent… Alors, alors, s'il est possible d'éliminer la concurrence, pour aider la famille… tout est à envisager, même les actes les plus vils : pour que la sœur du journaliste, psychanalyste elle-même, soit plus à même à créer sa clientèle, quoi de plus habile que de démolir un concurrent, en utilisant la presse de caniveau où l'on travaille ?
Il faut massacrer le jeune psy qui monte…
On a dit que… il semblerait que… certains auraient dit que… de plus, il est trop gentil… trop heureux… trop bien entouré… en trop bonne santé… trop beau !
Votre voisin dérange, signalez discrètement à la police ou aux gendarmes qu’il est révolutionnaire ou anti révolutionnaire… juif ou chrétien… sunnite ou chiite… communiste ou collabo… ou même résistant ou fasciste… voire anarchiste !
Ne vous trompez pas d’époque ni de fonctionnaire docile et vous aurez gain de cause : il sera condamné (généralement à mort) et parfois même jugé (à être — comme de bien entendu — condamné à mort) !
Ce n’était pas juste de la parodie, Le Tribunal des Flagrants Délires du grand Pierre DESPROGES, celui qui, comme accusateur public — procureur respectable — annonçait généralement la décision de la cour avant de commencer le procès…
La mort !
Un journaliste comme ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même au Midi Libre a les pleins pouvoirs pour annoncer ce qui lui plaît, que cela soit "vrai" ou "faux", un faux vrai ou vrai faux message… et dénoncer ou protéger ainsi selon son bon vouloir ! Il est de cette fange journalistique nauséeuse qui se plaît à détruire plutôt qu'à construire !
Et combien de guerres ont été déclarées, d’hommes et de femmes massacrés, les causes inventées par quelques bons journalistes à la solde d'un pouvoir… très souvent après les effets ?
Vous pouvez trouver en lien direct un article sur "de l'art d'être journaliste" par notre philanalyste… pirate des mots !
Condamné par les journalistes dont le fameux ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même du Midi Libre, avant même ses différents procès… Et pourtant Yves Philippe de FRANCQUEVILLE n’est pas Julian ASSANGE — homme à abattre, semble-t-il plus dangereux que feu Ben LADEN — créateur de WikiLeaks… celui qui ose révéler par les images et les écrits non censurés comment fonctionne nos nations démocratiques !
Il n’est pas non plus Jean-Edern HALLIER, fondateur et directeur de L’Idiot International… celui que François MITTERRAND et ses amis considéraient comme « ennemi public » pour s’être acharné à révéler — avec humour — l’injustice, le dramatique ou le scandaleux de nos politiques…
Non, notre homme est juste un poète humaniste en devenir ; un chercheur du sens de la vie.
Un pirate des mots, philanalyste en herbe !
Il a fait — adulte — ses classes de la vie sociétale au sein de l’Armée française et dans l’Ordre des Prêcheurs. Pas de quoi déclencher une grande révolution de toutes les révélations qu’il pourrait se plaire à diffuser ! Et pourtant, que de propos plaisants… ou déplaisants pour ceux qui ne veulent pas entendre !
Les histoires viendront certainement en leur temps…
Yves Philippe de FRANCQUEVILLE ne souhaite surtout pas la polémique. Il n'a aucune rancœur contre qui que ce soit, notamment ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même, et — à la lecture de l’histoire du monde à travers les journaux comme le Midi Libre — il sait que dénoncer les crimes ou les massacres, les injustices et les tricheries ou les incohérences entre le dire et le faire, n'a guère de sens ! Le triste constat du "faites ce que je vous dis sans que je dusse moi-même appliquer les règles que je vous impose parce que je suis votre chef" est juste une réalité de ce monde pitoyable accepté par les moutons qui continueront à voter et à aller à la guerre, la fleur au fusil !… Tout cela est vain ?
Non… ce n'est pas parce qu'une action nous semble irréalisable qu'il n'est pas juste de commencer à l'entreprendre !
Le sens de sa vie est dans la quête de l’humain… de l'amour humain. Comme DIOGENE, Notre philanalyste cherche encore et toujours — au milieu d’un monde, parfois décevant — les vivants potentiels : les femmes et les hommes qui osent quitter l’univers des rampants pour se lever, marcher, s’envoler… Devenir !
Il s'aide de ses recherches sur "l'analyse de l'amour humain" : la philanalyse.
L'envol…
Contrairement à Friedrich NIETZSCHE, il est — au-delà de sa part de souffrance : c’est terriblement angoissant que la prise de conscience du néant lorsque l’on est enfant — foncièrement optimiste.
En effet, il a découvert à travers ses rencontres et ses lectures (dont notamment l’œuvre de Friedrich von SCHELLING) que du néant peut jaillir la création… l’art… le beau… le vivant… le plaisir…
L'amour !
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La Scène huitième
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Mémoires d'un pirate, troisième acte, par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE… vers la philanalyse !
Auteur : Yves Philippe de Francqueville