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      • Je l’ai vu s’en aller… un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
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Yves Philippe de Francqueville, mémoires d'un pirate
     Yves Philippe de Francqueville
Pirate des mots et philanalyste en herbe
Présente : 
Enfance, amours & sexualité
      Comment apprendre et même 
          Comprendre la sexualité
           « Sous un autre regard »



Deuxième chapitre…


Dis papa, dis maman…
C’est quoi un pédé ?

En voilà une question !
Avant d’entendre parler d’amour et de considération vis-à-vis de son corps, de son sexe, l’enfant est souvent confronté à ce qui dérange, qui fait peur… ce qui semble interdit, mal, dangereux.
Pour réfléchir ensemble sur l’amour et la sexualité, il serait nécessaire d’avoir tout d’abord, un autre regard sur la problématique liée à la médiatisation outrancière de ce que l’on nomme « l’homosexualité ».
Je pense que l’on ne peut pas correctement et librement expliquer ce que veut dire être « homosexuel(le) » à une fille ou à un garçon.
C’est parce que ce mot est destructeur, de par son origine même.
Ce mot se centralise autour d’une pratique sexuelle, sans s’intéresser à l’amour.
Il a été inventé pour désigner une « anormalité » et pour poser un jugement critique, à la fin du dix-neuvième siècle de notre ère.
C’est il y a un peu plus de cent vingt ans.
Les dirigeants voulaient nier l’amour, et ils le nient toujours par ce mot — en France notamment.
Le mot « Homosexuel(le)s » désignerait les hommes qui ont des actes sexuels avec d’autres hommes, ainsi que les femmes qui osent aussi avoir des relations sexuelles avec d’autres femmes.
Dans l’esprit de l’époque, au regard des autorités religieuses et politiques intimement liées, ils font nécessairement quelque chose de très mal, d’interdit, de grave et de pervers, de maladif.
Aujourd’hui, si la sexualité est plutôt tolérée dans toutes ses formes, voire incitée parfois dans le « n’importe quoi », notamment dans les médias (les mauvais journalistes sont friands de scoops graveleux), quasiment jamais le mot « amour » n’est mis en lien.
 
Aimer. Aimer quelqu’un du même sexe ?
Il y a fort longtemps, à d’autres époques et dans d’autres cultures, c’était naturel et même plutôt observé par les philosophes, comme une sagesse supérieure…
 
Les civilisations se construisent par la rencontre des peuples, la mise en commun des connaissances, afin d’évoluer toujours davantage vers un bien être.
Hélas, il y a les conquêtes guerrières — ces soi-disant découvertes de nouveaux mondes ou de recherches de terres promises — qui sont en fait des invasions.
Au nom d’une supériorité économique et militaire, en raison de l’idée d’une race supérieure qui devrait naturellement s’imposer sur les autres peuples, ou parce qu’un dieu l’aurait décidé, des tyrans usent de la peur, de la violence, et généralement de la politique du pillage, du massacre et de la terre brûlée pour s’imposer en des lieux où vivaient des êtres en harmonie. Ils imposent alors leurs us et coutumes à des peuples qui n’aspiraient qu’à rester libres.
 
Par l’étude des rares documents subsistants, bien transmis par les générations d’une manière honnête, il semble que depuis plus de deux mille cinq cents ans environ, l’amour, et surtout l’amour pour quelqu’un du même sexe, est généralement très mal considéré.
Aujourd’hui encore, un garçon qui en fréquente un autre après l’âge de la puberté, pour vivre l’aventure, partager une soirée autour d’un feu, se baigner nus, peindre, écrire, peut être classé, « mis en boîte », simplement parce que son occupation et sa compagnie ne vont pas directement de paire avec des envies pulsionnelles pour la gente féminine.
Aux yeux de beaucoup, c’est certainement un « homosexuel ».
Aussi, le jeune homme « sensible », qui préfère favoriser les arts et l’amour, à la guerre, ne doit pas être vraiment « normal ».
Il en est de même pour les filles à forte personnalité, aimant la compagnie d’amies aventurières. Cela peut être tendancieux de préférer plutôt la création artistique, à « l’entraînement réglementaire » pour être une bonne future « maman », ou une vraie « épouse modèle » !
Pourtant, ne pas jouer à la poupée et à la dînette, n’est pas nécessairement le signe d’une « perversion » à venir.
Même si l’on entend beaucoup de nos jours le mot « tolérance », et plus récemment l’expression : « mariage pour tous », être vu comme homosexuel(le) est actuellement toujours considéré par la plupart des gens comme une espèce de déviance, de folie, de maladie, ou d’une vie malhonnête.
Dans une classe — que ce soit en collège ou en lycée — si l’on demande les « préférences sexuelles » des élèves, ce sera quasi 100% d’hétérosexuels sur les réponses données, même si certaines et certains pensent autrement, vivent ou souhaiteraient vivre autrement leurs désirs, ou leurs rencontres amoureuses.
 
Une personne dite « homosexuelle » est souvent rejetée, moquée, jugée…
Les religieux et les politiciens n’aiment pas la liberté d’aimer… chez les autres.
Les gouvernants méprisent ou condamnent toujours les individus considérés comme des « homosexuel(le)s » à des amendes, la prison, l’hôpital, et même au fouet ou à la mort, dans de nombreux pays à travers le monde.
 
Des femmes qui s’aiment ?
Des hommes qui s’aiment ?
Si Adolf HITLER les exterminait, si Benito MUSSOLINI les exilait, parce que selon sa formule : « En Italie, il n’y a que des vrais hommes », d’autres dirigeants préfèrent aujourd’hui les enfermer en hôpitaux psychiatriques ou les mutiler, ou endormir leurs désirs et leurs pulsions, avec des médicaments.
Dans beaucoup d’États à travers le monde, les homosexuel(le)s sont interdits de certains travaux ou métiers, et sont mis à l’écart de la vie publique.
L’attirance affective, voire sexuelle « non officielle », crée une discrimination réelle.
La discrimination est une tragique réalité dans quasi tous les pays du monde, où l’accès à certaines professions ou à certains droits pour les êtres différents de la normalité régnante, est inpossible.
Oui, selon la couleur de la peau, l’âge, le sexe, les origines religieuses ou ethniques, la nationalité, le handicap… ou l’orientation du désir et de la pratique sexuelle, l’humain n’a pas la liberté de vivre pleinement sa vie. C’est ainsi lorsque l’on n’est pas dans une des normalités réglementaires, conformément aux lois politiques et religieuses en vigueur dans un grand nombre de pays.
Celle ou celui qui dérange, qui gêne, parce qu’il ou elle n’est pas ou ne vit pas « comme tout le monde », doit disparaître, se cacher… faire semblant, se forcer, ou mourir.
Une minorité est souvent en danger dans un monde dirigés par des tyrans qui veulent tout uniformiser, normaliser et médiocriser.
 
À d’autres époques, on utilisait d’autres mots ou l’on n’en parlait pas, des homosexuel(le)s…
Oui, à d’autres époques, ces femmes ou ces hommes étaient parfois des gens de la terre, des princes ou des princesses, des artistes ou des philosophes, des généraux ou des soldats, des gens du peuple ou des notables… souhaitant être libres d’aimer et désireux de vivre libres.
Ils venaient de partout, ils étaient libres de vivre partout, sans que cela soit un souci pour quiconque.
 
Pour répondre à la question « qu’est-ce qu’un pédé ? », nous allons d’abord nous en poser d’autres plus pertinentes, et apprendre ensemble quelques fonctionnements de l’amour humain :


AIMER ?
​AIMER…


C’est peut-être de l’acte d’aimer qu’il me semblerait plus intéressant de réfléchir, et nous donner ainsi :
 
Un autre regard libéré
sur les amours humaines,
sur la sexualité humaine…
 
L’enfant que je suis… se souvient-il ?
 
J’aime manger du chocolat, j’aime ma maman, mon papa… j’aime faire de la balançoire, j’aime mon copain, j’aime ma « meilleure amie », j’aime regarder la télévision, j’aime mon chien ou mon chat… ou j’aime ce livre, ce film qui me fait rêver !
La déclinaison du mot aimer est très diverse et ne veut pas toujours dire la même chose…
Si, en fait : je ressens en moi quelque chose d’agréable, de fort.
C’est tout mon être qui parle : esprit, cœur et corps !
Par amour, je peux décider d’être plus sage à la maison, pour avoir plus de libertés d’action : je donne alors de l’importance à ma raison…
Lorsque j’aime quelqu’un, j’irais peut-être au bout du monde pour lui rendre service : là, c’est mon cœur qui parle, ne laissant pas la rigueur de l’esprit me contrôler.
 
Quand j’ai froid, j’ai des frissons, ou la chair de poule…
Quand j’aime, le corps s’exprime aussi.
Parfois c’est au niveau du sexe que la communication semble la plus forte et rayonne sur tout le corps.
Et sur mon cœur aussi ?
Comme c’est formidable d’oser écouter battre son cœur… et comprendre que c’est nous qui en sommes le régulateur.
C’est notre cœur ; c’est nous-même qui lui donnons l’énergie de battre.
La vie m’appartient, corps, cœur et esprit.
Je ne suis pas la propriété d’un autre : ni de mes parents, ni d’un maître, ni d’un président ou d’un roi, d’un pays, voire d’un dieu.
 
Si je ne suis pas déjà enfermé par les idées désolantes de l’adulte en souffrance, qui me dit que le corps est sale — surtout le sexe — j’apprends alors que les parties sexuelles, dites « sacrées » chez les êtres libres, sont annoncées comme « honteuses », chez les individus soumis à des lois morales…
Si je pense avoir le droit d’être heureux sur cette petite planète que l’on nomme La Terre… j’écoute la voix des humains qui m’invitent à la liberté :
« Deviens ce que tu es, quand tu l’aura appris », en liberté, disait PINDARE, un philosophe vivant en Grèce voici plus de deux mille cinq-cents ans.
Si j’ose donc me poser la question de savoir si ce que l’on nomme « le sexe » n’est pas forcément mal, sale, dangereux… ou péché… alors je sais bien que le plaisir de la vie passe par mon corps, par mon sexe aussi.
Le plaisir déclenche chez l’humain des endorphines, molécules apportant un bien-être. Le plaisir n’est pas lié à la violence, contrairement à la jouissance, qui permet au corps de sécréter de l’adrénaline.
Il faut prendre conscience que la jouissance est généralement destructrice, avec ses ondes de choc, alors que plaisir construit notre être par les ondes de charme.
L’amour enfin, ouvre les portes du bonheur.
Jouissance, plaisir et amour peuvent se vivre à travers l’esprit, le cœur et le corps, à tous les âges de la vie.
Ni moi ni personne, ne peut nier mon corps — donc ma sexualité — depuis ma naissance, jusque ma mort.
Mon corps sexué, aujourd’hui, est « adulte » ou en attente, ou en cours d’évolution pubertaire : il est entré ou entrera dans le cycle de la puberté (entre dix et douze ans généralement pour les filles, un peu après, le plus souvent pour les garçons, en sachant que l’âge du déclenchement de la puberté est très très variable. Ici nous œuvrons à partir d’une moyenne estimée, européenne).
Il y a des enfants pubères très tôt… d’autres fort tardivement. Les deux situations sont complexes à vivre.
Qui ose en parler simplement ?
À qui s’adresser, si l’enfant se trouve dans cette problématique ?
Le corps sexué deviendra progressivement adulte (entre vingt-trois et vingt-huit ans pour les femmes ; entre vingt-huit et trente-cinq ans pour les hommes). Cependant — fille ou garçon — le sexe a sa réalité, dès notre naissance !
Même dans le ventre de la mère, nous sommes capables de réagir aux plaisirs, que ce soit ceux du cœur, de l’esprit ou du corps.
Cette étude n’est pas écrite pour tout dire sur la sexualité ; il y a en effet suffisamment d’ouvrages descriptifs plus ou moins de qualité, et certains sont même emplis d’images anatomiques sur ce sujet.
Ici, notre texte est présenté pour comprendre ce qui se passe dans notre esprit, dans notre cœur, et dans notre corps.
C’est une proposition réalisée aussi afin de mieux appréhender le mot homosexualité et saisir le grand danger qu’il représente vis-à-vis de la liberté de tous et chacun.
 
Voici maintenant quelques explications aidant à réfléchir sur des désirs amoureux.
Nous allons proposer une toute autre analyse sur l’amour, et expliquer le fait que les « pédés », les « goudous », les « gouines », et autres termes associés à l’homosexualité, cela ne devrait pas exister !
 
Par cette étude — sous un autre regard — je vous invite à réfléchir sur le fait que même si beaucoup veulent nous le faire croire, on ne naît pas homosexuel(le).
Plus fort encore : l’on ne devient pas un jour comme cela, soudainement ou par habitude, homosexuel(le) !
Il n’y a pas de prédisposition ou de contagion… qui orienterait telle ou telle personne, dans la « déviance homosexuelle ».
Il n’y a pas non plus de risque de contamination physique, intellectuelle, psychologique ou affective…


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Le troisième chapitre :
L’humain et son besoin de rencontre ?

Si la version papier vous tente, par quelques clics, ce joli livre fort utile est chez vous en moins d'une semaine !




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