Yves Philippe de Francqueville, pirate des mots et philanalyste présente :
Dieu guérit
Rappelle-toi ces jours où tu pleurais, si sombre,
Aveuglé par la peur, élevé sous la loi :
Prisonnier de l’enfer, chaque nuit chaque rêve
Hantait le diable nu que ton corps animait.
Ai-je alors dû sans crainte imposer une trêve
Et libérer l’esprit ? Amour de bon aloi,
Le choix semble fécond pour l’art jaillit de l’ombre.
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Poème de Yves Philippe de Francqueville, pirate des mots et philanalyste.
Ce poème n'était pas dans les éditions précédentes de Solitude étrangère.
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