Yves Philippe de Francqueville
Pirate des mots et philanalyste en herbe
Présente :
Enfance, amours et sexualité
Comment apprendre et même
Comprendre la sexualité
« Sous un autre regard »
Cinquième chapitre…
Pirate des mots et philanalyste en herbe
Présente :
Enfance, amours et sexualité
Comment apprendre et même
Comprendre la sexualité
« Sous un autre regard »
Cinquième chapitre…
Plaisirs et dangers…
J’espère que les autres vivent tout autant que j’apprends à vivre, et qu’ils vivront tous les jours de leur vie, librement leurs amours et — s’ils le souhaitent — avec la sexualité qui s’y accorde.
Nous devons savoir cependant que les lois de notre société interdisent notamment d’être vu lorsque l’on vit l’amour… ou de regarder les autres, sans leur accord !
Donc ne nous mêlons pas de ce qui se passe de l’autre côté de la porte de la chambre à coucher des parents, des amis, des enfants ou du voisin.
…Ou de la mienne !
La sexualité de chacun de nous est établie suivant notre vécu, à travers notre cycle de rencontres. C’est pour cela qu’il est destructeur et réducteur de classer les personnes dans une catégorie sexuelle précise, qui est finalement mensongère car inexistante.
Il faut laisser à l’autre le droit d’aimer en liberté.
Aujourd’hui je peux préférer quelqu’un du même sexe, et plus tard, avoir d’autres besoins… et l’inverse est aussi naturel.
Oui, n’oublions pas que demain est un autre jour… avec d’autres désirs, d’autres rêves !
L’amour — sous toutes ses formes — peut être et devrait être une aventure merveilleuse. Cependant, il ne faut pas confondre une personne qui aime quelqu’un et une personne qui dit l’aimer mais qui l’abîme : qui lui fait mal, qui la fait souffrir.
Attention à celle ou celui qui propose à quelqu’un une aventure destructrice, tout en lui assurant que c’est par amour… (Nous avons déjà parlé du sadomasochisme).
Attention, lorsque cette personne est un adolescent ou un adulte — féminin ou masculin — et qu’elle voudrait abuser (c’est-à-dire abîmer) un enfant ou même, un autre adolescent ou adulte.
L’amour est merveilleux dans la liberté et la considération de chacun.
La sexualité exige, nécessairement, de respecter l’évolution physiologique et psychologique de chacun.
Même des personnes mariées, ou vivant ensemble par d’autres accords tacites, ne devraient pas avoir le droit d’exiger de l’une ou de l’autre une relation sexuelle, si celle-ci n’est pas désirée par les deux. (Il y a encore hélas, dans le monde, des lois religieuses ou politiques obligeant la femme à se soumettre sexuellement à l’homme).
S’il n’y a pas le respect de l’autre, s’il y a violence, usage de la force, de l’intimidation ou de la ruse, même dans un couple dit « légal », c’est un viol.
Si ce viol est entre un adulte ou un adolescent (pubère) et un enfant (impubère), le violeur doit être appelé un « pédosexuel », et l’enfant : une victime.
L’usage du mot « pédophile », pour parler d’un agresseur sexuel est bien trompeur. Il dévoie son sens premier, qui devrait signifier que les humains ont de l’amour et de la bienveillance pour les enfants et non qu’ils les abusent avec des violences sexuelles.
Si l’adulte ou l’adolescent(e) est de la famille de l’enfant (père, mère, oncle, tante, grand-père, grand-mère, frère, sœur, cousin, cousine), c’est le mot « inceste » qui est à employer pour ce type de viol à caractère pédosexuel.
Dans tous ces cas, il n’y a pas à vouloir reconnaître ici de relation amoureuse sincère entre femme et femme, femme et homme ou homme et homme, quoi qu’il se dise, mais bien abus de faiblesse et violences psychologiques et/ou sexuelles sur adultes, voire sur enfants.
L’enfant n’est pas encore « femme » ou « homme ».
Il a son univers qui lui est propre avec les êtres de son monde, en devenir comme lui…
Au-delà, l’aventure doit se construire en son temps, sans tricher !
La « pédosexualité » est normalement condamnable dans la plupart des pays (sauf ceux qui l’acceptent pour des raisons religieuses). Les violeurs passent par la prison et subissent même parfois la castration chimique. Bien entendu, lorsque les coupables ne sont pas protégés des juges, parce qu’ils ont du pouvoir, des relations et de l’argent.
La « pédosexualité » est toujours destructrice, même si certaines religions osent encore lui donner parfois une légitimité.
Oui, la personne impubère violée — même si elle n’en a pas forcément conscience — est bien une victime… même si parfois à l’origine de la relation, il pouvait y avoir des jeux amoureux qui semblaient innocents.
Beaucoup de personnes « abusées » se sentent coupables parce qu’il y avait de la curiosité, de la tendresse ou l’amour à l’origine de la relation. Les victimes pensent trop souvent qu’elles sont responsables de ce drame.
Non !
L’illusion est liée au fait que, même lors d’une relation physique non désirée, il peut y avoir « jouissance ».
En effet, nous avons une capacité à la « jouissance du corps », même lorsque le cœur ou l’esprit ne souhaitent pas avoir de plaisir.
La peur, la honte, la douleur, produisent des sources d’adrénaline, qui créent l’illusion d’un bien-être, avant de subir de nouveau les ondes de choc :
La douleur, le mal-être, la culpabilité.
L’amour, en source de plaisir, c’est lorsque le corps est en harmonie avec l’esprit et le cœur !
Le violeur, même avec toutes ses bonnes excuses, son semblant de compassion ou ses odieuses accusations… reste un violeur.
Il n’y a pas d’amour dans un viol.
Très peu de personnes arrivent à se restaurer après avoir subit un viol.
L’enfant peut aimer un adulte, un adulte peut aimer un enfant, mais il est nécessaire que chacun respecte les règles du jeu de la vie : le respect du corps, du cœur et de l’esprit de l’autre.
L’évolution physique doit être prise en considération dans « la rencontre humaine ».
L’être qui n’est pas nubile — ou pubère — doit être protégé de lui-même et des autres, par celui ou celle qui l’est.
Ne pas considérer cela, c’est comme si dans une épreuve sportive, un enfant de huit ans, même très fort pour son âge, faisait un vrai combat de judo avec un adulte de quarante ans ayant la même ceinture.
Si l’enfant insiste, il faut lui expliquer.
Accepter le combat entre l’enfant et l’adulte n’est pas honnête. C’est dangereux… c’est vraiment minable… c’est destructeur !
Pour « vivre l’amour » avec l’autre, il faut aussi être en « accord » entre les corps…
Il faut donc que nous apprenions tous à savoir dire « NON », si cela s’avère destructeur pour nous-même ou pour l’autre.
C’est important de considérer notre évolution physique, en regard de celle de l’autre.
C’est souvent la trop grande curiosité de l’enfant — ou son ignorance du danger — qui le fait tomber dans le piège de la pédosexualité ou de l’inceste.
Lorsque je dis « NON », l’autre doit me respecter… comme moi, je dois respecter l’autre qui me dit « NON ».
Un pédosexuel est une personne qui ne va pas bien dans son corps, dans son cœur et dans son esprit. C’est un malade qui ne s’aime pas et donc qui ne peut pas aimer les autres. Par ses actes, c’est un criminel.
Il a peur bien souvent de ses pensées et de ses rêves. Plein de hontes et de complexes, de frustrations, il vit très mal sa sexualité, et il punit son corps en lui faisant mal.
Au lieu d’en parler afin d’espérer aller mieux, il se donne souvent des interdits. Alors, le jour où il va encore plus mal, il peut commettre l’irréparable : la très grande faute d’abîmer un enfant. C’est dramatique, car au final, tout le monde est généralement très malheureux.
Même si la justice parfois tente de faire de son mieux pour permettre une restauration, une violence vécue ne se répare pas vraiment dans le corps, encore moins dans le cœur… même si parfois l’esprit s’apaise.
La vie de l’humain est plus vraie avec des règles du jeu.
Sans interdits et sans obligation, l’humain est davantage honnête avec lui-même et donc avec les autres. Il apprend ainsi à être fier, volontaire, courageux et respectueux de l’autre.
Sans morale, le jeu de la vie se construit autour de valeurs que nous pouvons découvrir en apprenant chaque jour davantage qui nous sommes.
Apprendre, apprendre, apprendre en recherchant la substantifique moelle si chère à François RABELAIS, un philosophe qui recherchait l’utopie du bonheur : « faire ce que l’on veut, mais bien le faire, et faire le mieux ».
J’ose quitter chaque jour les autoroutes de « l’Histoire officielle » et des « vérités » imposées pour prendre les petites routes plus complexes et plus belles de l’histoire non officielle : les autres vérités d’un instant qui se vivent au quotidien.
J’y découvre — « sous un autre regard » — la beauté, le plaisir de la rencontre avec la nature, avec le monde des vivants.
Nous nous éloignons alors réellement des morales imposées trop souvent par une société qui ne s’intéresse pas à notre bonheur, mais à notre docilité, dans un système où les puissants règnent sur les peuples asservis.
Étienne de LA BOÉTIE, un philosophe qui semble avoir été assassiné lui aussi parce qu’il osait aimer en liberté, écrivait voici plus de quatre-cent-cinquante ans, à l’âge de dix-huit ans, un discours à propos « de la servitude volontaire ».
Il était désolé de constater que beaucoup d’humains préféraient être sous les ordres d’un maîtres, pour ne pas avoir à décider par eux-mêmes.
Il rappelait aussi que « si les tyrans nous semblent grands, c’est peut-être parce que nous sommes à genoux devant eux ».
Apprendre, écouter, découvrir, étudier pour décider par soi-même, pour soi-même, et ne pas avoir besoin d’un « berger » pour me guider… parce que je ne suis pas un mouton dans un troupeau…
Avec le choix précis de mes rencontres et une connaissance réelle sur moi-même, je sais où je peux aller pour trouver le bonheur, en évitant les bêtises et les maladresses qui détruisent des vies !
Nous devons savoir cependant que les lois de notre société interdisent notamment d’être vu lorsque l’on vit l’amour… ou de regarder les autres, sans leur accord !
Donc ne nous mêlons pas de ce qui se passe de l’autre côté de la porte de la chambre à coucher des parents, des amis, des enfants ou du voisin.
…Ou de la mienne !
La sexualité de chacun de nous est établie suivant notre vécu, à travers notre cycle de rencontres. C’est pour cela qu’il est destructeur et réducteur de classer les personnes dans une catégorie sexuelle précise, qui est finalement mensongère car inexistante.
Il faut laisser à l’autre le droit d’aimer en liberté.
Aujourd’hui je peux préférer quelqu’un du même sexe, et plus tard, avoir d’autres besoins… et l’inverse est aussi naturel.
Oui, n’oublions pas que demain est un autre jour… avec d’autres désirs, d’autres rêves !
L’amour — sous toutes ses formes — peut être et devrait être une aventure merveilleuse. Cependant, il ne faut pas confondre une personne qui aime quelqu’un et une personne qui dit l’aimer mais qui l’abîme : qui lui fait mal, qui la fait souffrir.
Attention à celle ou celui qui propose à quelqu’un une aventure destructrice, tout en lui assurant que c’est par amour… (Nous avons déjà parlé du sadomasochisme).
Attention, lorsque cette personne est un adolescent ou un adulte — féminin ou masculin — et qu’elle voudrait abuser (c’est-à-dire abîmer) un enfant ou même, un autre adolescent ou adulte.
L’amour est merveilleux dans la liberté et la considération de chacun.
La sexualité exige, nécessairement, de respecter l’évolution physiologique et psychologique de chacun.
Même des personnes mariées, ou vivant ensemble par d’autres accords tacites, ne devraient pas avoir le droit d’exiger de l’une ou de l’autre une relation sexuelle, si celle-ci n’est pas désirée par les deux. (Il y a encore hélas, dans le monde, des lois religieuses ou politiques obligeant la femme à se soumettre sexuellement à l’homme).
S’il n’y a pas le respect de l’autre, s’il y a violence, usage de la force, de l’intimidation ou de la ruse, même dans un couple dit « légal », c’est un viol.
Si ce viol est entre un adulte ou un adolescent (pubère) et un enfant (impubère), le violeur doit être appelé un « pédosexuel », et l’enfant : une victime.
L’usage du mot « pédophile », pour parler d’un agresseur sexuel est bien trompeur. Il dévoie son sens premier, qui devrait signifier que les humains ont de l’amour et de la bienveillance pour les enfants et non qu’ils les abusent avec des violences sexuelles.
Si l’adulte ou l’adolescent(e) est de la famille de l’enfant (père, mère, oncle, tante, grand-père, grand-mère, frère, sœur, cousin, cousine), c’est le mot « inceste » qui est à employer pour ce type de viol à caractère pédosexuel.
Dans tous ces cas, il n’y a pas à vouloir reconnaître ici de relation amoureuse sincère entre femme et femme, femme et homme ou homme et homme, quoi qu’il se dise, mais bien abus de faiblesse et violences psychologiques et/ou sexuelles sur adultes, voire sur enfants.
L’enfant n’est pas encore « femme » ou « homme ».
Il a son univers qui lui est propre avec les êtres de son monde, en devenir comme lui…
Au-delà, l’aventure doit se construire en son temps, sans tricher !
La « pédosexualité » est normalement condamnable dans la plupart des pays (sauf ceux qui l’acceptent pour des raisons religieuses). Les violeurs passent par la prison et subissent même parfois la castration chimique. Bien entendu, lorsque les coupables ne sont pas protégés des juges, parce qu’ils ont du pouvoir, des relations et de l’argent.
La « pédosexualité » est toujours destructrice, même si certaines religions osent encore lui donner parfois une légitimité.
Oui, la personne impubère violée — même si elle n’en a pas forcément conscience — est bien une victime… même si parfois à l’origine de la relation, il pouvait y avoir des jeux amoureux qui semblaient innocents.
Beaucoup de personnes « abusées » se sentent coupables parce qu’il y avait de la curiosité, de la tendresse ou l’amour à l’origine de la relation. Les victimes pensent trop souvent qu’elles sont responsables de ce drame.
Non !
L’illusion est liée au fait que, même lors d’une relation physique non désirée, il peut y avoir « jouissance ».
En effet, nous avons une capacité à la « jouissance du corps », même lorsque le cœur ou l’esprit ne souhaitent pas avoir de plaisir.
La peur, la honte, la douleur, produisent des sources d’adrénaline, qui créent l’illusion d’un bien-être, avant de subir de nouveau les ondes de choc :
La douleur, le mal-être, la culpabilité.
L’amour, en source de plaisir, c’est lorsque le corps est en harmonie avec l’esprit et le cœur !
Le violeur, même avec toutes ses bonnes excuses, son semblant de compassion ou ses odieuses accusations… reste un violeur.
Il n’y a pas d’amour dans un viol.
Très peu de personnes arrivent à se restaurer après avoir subit un viol.
L’enfant peut aimer un adulte, un adulte peut aimer un enfant, mais il est nécessaire que chacun respecte les règles du jeu de la vie : le respect du corps, du cœur et de l’esprit de l’autre.
L’évolution physique doit être prise en considération dans « la rencontre humaine ».
L’être qui n’est pas nubile — ou pubère — doit être protégé de lui-même et des autres, par celui ou celle qui l’est.
Ne pas considérer cela, c’est comme si dans une épreuve sportive, un enfant de huit ans, même très fort pour son âge, faisait un vrai combat de judo avec un adulte de quarante ans ayant la même ceinture.
Si l’enfant insiste, il faut lui expliquer.
Accepter le combat entre l’enfant et l’adulte n’est pas honnête. C’est dangereux… c’est vraiment minable… c’est destructeur !
Pour « vivre l’amour » avec l’autre, il faut aussi être en « accord » entre les corps…
Il faut donc que nous apprenions tous à savoir dire « NON », si cela s’avère destructeur pour nous-même ou pour l’autre.
C’est important de considérer notre évolution physique, en regard de celle de l’autre.
C’est souvent la trop grande curiosité de l’enfant — ou son ignorance du danger — qui le fait tomber dans le piège de la pédosexualité ou de l’inceste.
Lorsque je dis « NON », l’autre doit me respecter… comme moi, je dois respecter l’autre qui me dit « NON ».
Un pédosexuel est une personne qui ne va pas bien dans son corps, dans son cœur et dans son esprit. C’est un malade qui ne s’aime pas et donc qui ne peut pas aimer les autres. Par ses actes, c’est un criminel.
Il a peur bien souvent de ses pensées et de ses rêves. Plein de hontes et de complexes, de frustrations, il vit très mal sa sexualité, et il punit son corps en lui faisant mal.
Au lieu d’en parler afin d’espérer aller mieux, il se donne souvent des interdits. Alors, le jour où il va encore plus mal, il peut commettre l’irréparable : la très grande faute d’abîmer un enfant. C’est dramatique, car au final, tout le monde est généralement très malheureux.
Même si la justice parfois tente de faire de son mieux pour permettre une restauration, une violence vécue ne se répare pas vraiment dans le corps, encore moins dans le cœur… même si parfois l’esprit s’apaise.
La vie de l’humain est plus vraie avec des règles du jeu.
Sans interdits et sans obligation, l’humain est davantage honnête avec lui-même et donc avec les autres. Il apprend ainsi à être fier, volontaire, courageux et respectueux de l’autre.
Sans morale, le jeu de la vie se construit autour de valeurs que nous pouvons découvrir en apprenant chaque jour davantage qui nous sommes.
Apprendre, apprendre, apprendre en recherchant la substantifique moelle si chère à François RABELAIS, un philosophe qui recherchait l’utopie du bonheur : « faire ce que l’on veut, mais bien le faire, et faire le mieux ».
J’ose quitter chaque jour les autoroutes de « l’Histoire officielle » et des « vérités » imposées pour prendre les petites routes plus complexes et plus belles de l’histoire non officielle : les autres vérités d’un instant qui se vivent au quotidien.
J’y découvre — « sous un autre regard » — la beauté, le plaisir de la rencontre avec la nature, avec le monde des vivants.
Nous nous éloignons alors réellement des morales imposées trop souvent par une société qui ne s’intéresse pas à notre bonheur, mais à notre docilité, dans un système où les puissants règnent sur les peuples asservis.
Étienne de LA BOÉTIE, un philosophe qui semble avoir été assassiné lui aussi parce qu’il osait aimer en liberté, écrivait voici plus de quatre-cent-cinquante ans, à l’âge de dix-huit ans, un discours à propos « de la servitude volontaire ».
Il était désolé de constater que beaucoup d’humains préféraient être sous les ordres d’un maîtres, pour ne pas avoir à décider par eux-mêmes.
Il rappelait aussi que « si les tyrans nous semblent grands, c’est peut-être parce que nous sommes à genoux devant eux ».
Apprendre, écouter, découvrir, étudier pour décider par soi-même, pour soi-même, et ne pas avoir besoin d’un « berger » pour me guider… parce que je ne suis pas un mouton dans un troupeau…
Avec le choix précis de mes rencontres et une connaissance réelle sur moi-même, je sais où je peux aller pour trouver le bonheur, en évitant les bêtises et les maladresses qui détruisent des vies !
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En conclusion,
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Réalisation Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, pirate des mots et philanalyste en herbe. Tous droits réservés ©.
Auteur : Yves Philippe de Francqueville