Mémoires d'un pirate, troisième acte par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE… vers la philanalyse !
Scène troisième
3.
Pratique barbare
ou acte sacré
pour le plaisir d'un dieu ?
La circoncision…
Pourquoi enfin, se poser la question — et la diffuser sans faire exprès auprès de psychologues « religieux » diplômés de l’État français laïc — comme quoi la circoncision — comme l’excision — serait certainement une mutilation physique à éviter au maximum…
Oui, là, ce sont les enfers assurés pour celui qui ose se mêler de choses qui ne le regarde pas !
Oh, Yves Philippe de FRANCQUEVILLE n'est pas un précurseur dans cette lutte acharnée contre toute mutilation physique ou autre castration intellectuelle…
Depuis la nuit des temps, des humains libres et censés — détachés de toutes croyances en des divinités violentes porteuses de principes de lois réductrices — invitent des bipèdes au potentiel certain à quitter des yeux le mur des ombres. Alors, ils peuvent se détacher des chaînes de leurs certitudes, pour se lever courageusement afin de marcher vers la lumière du soleil, hors de la Caverne.
Oui, merci PLATON.
Oui, notre jeune philanalyste en herbe n'est pas le premier ni le dernier à subir les foudres des sages garants des lois du monde… et à être massacré par la justice.
Sándor FERENCZY par exemple, fait parti des nombreux psychanalystes — juifs de surcroit — contemporains même de l'époque de Sigmund FREUD à entrer en résistance… à ouvrir une controverse sur la circoncision !
Le site de Wikipédia sur la circoncision est souvent pris d'attaque… par les garants de l'Ordre Moral !
Oui, il faudrait peut-être éviter de dire ou d’écrire que le prépuce — cette petite peau qui recouvre le gland du pénis de toute personne mâle, en bonne santé, née sans handicap — n’appartiendrait plus en effet à son corps défendant, mais plutôt à son médecin, à son rabbin ou à son imam qui saura demander à la Caisse d’Assurance Maladie -- généreuse à ses heures politiques — un remboursement pour s’y attaquer, arme à la main…
On ne touche pas à la tradition, aux habitudes… au sacré, ou au rentable, quel qu’il soit !
D'ailleurs certains experts pas du tout "neutres" (mais en existe-t-il ?) trouvent régulièrement utile de sortir quelques études bidonnées et très orientées pour affirmer haut et fort que la circoncision est une bonne chose, tantôt pour l'esthétique ou pour l'hygiène ou même… (là ils font très fort !) pour lutter contre le SIDA ou encore pour éviter l'éjaculation précoce…
La circoncision…
Le remède à tout ?
La circoncision est surtout bien utile pour créer — avec cette matière première de qualité : du tissu humain vivant et à peine sorti de la matrice — des crèmes et autres potions antivieillissement…
Pression des autorités sous couvert de la sagesse du corps médicale… cela fut pendant plus de soixante ans — aux États Unis d'Amérique — une quasi obligation de circoncire tous les enfants à la naissance !
Aujourd'hui, il commence à s'amorcer un nouveau regard libéré, et certains parents osent dire NON à la mutilation systématique de leur enfant pouvant laisser des séquelles se transformant à l'âge adulte en une forme de violence naturelle…
La douleur reste en mémoire… cet acte de mutilation dans la chair d'un enfant laisse des séquelles certaines…
Oui — dans un registre similaire — il y a encore quelques années, il était fortement conseillé que tous les enfants soient opérés préventivement de l'appendicite, ensuite ce sont les amygdales et les végétations qui furent le centre du combat lucratif des médecins, des chirurgiens remplissant ainsi copieusement leurs journées de travail… Aujourd'hui, avec les vaccins à écouler avant que la date de péremption ne soit atteinte (mais parfois les pays d'Afrique sont plus arrangeants), il y a principalement les dents de sagesse à éradiquer parce que l'homme aurait soi-disant muté !
Comme si un Nouvel Ordre Mondial souhaitait nous construire physiquement, nous structurer intellectuellement et nous supprimer toute possibilité affective de manière à être des pions dociles… à manipuler facilement.
Et cependant, le peuple devrait peut-être se poser quelques questions sur les incohérences des lois et dictats de leurs grands prêtres : lorsqu’un dieu trouve son œuvre « parfaite » conçue à son image, doit-on la mutiler ?
Bon, il est vrai que pour le prépuce, ce n’est qu’un petit bout de peau à abandonner… au regard de l’usage commun de sacrifices humains pour la gloire d’un dieu qui est resté d’actualité pendant quelques millénaires.
Isaac ou Ismaël — selon la traduction et au regard des religions qui en découlent — en sont d’ailleurs les rescapés in extremis… Abraham ne mangera plus de chair humaine : vive le bouc émissaire !
Aujourd’hui les hommes sont surtout sacrifiés pour l’honneur… ou la raison d’État.
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La Scène quatrième
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Mémoires d'un pirate, troisième acte par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE… vers la philanalyse !
Auteur : Yves Philippe de Francqueville