Yves Philippe de Francqueville
Pirate des mots et philanalyste en herbe
Présente :
Enfance, amours et sexualité
Comment apprendre et même
Comprendre la sexualité
« Sous un autre regard »
Troisième chapitre…
Pirate des mots et philanalyste en herbe
Présente :
Enfance, amours et sexualité
Comment apprendre et même
Comprendre la sexualité
« Sous un autre regard »
Troisième chapitre…
L’humain et son besoin de rencontres ?
Je pense que l’être humain fonctionne dans sa vie relationnelle en cycles évolutifs, qui se construisent à chaque moment de sa vie.
Nous sommes encore des êtres humains en devenir !
Il faut aborder notre réflexion en prenant bien conscience que l’on ne peut pas honnêtement séparer les besoins et les désirs de notre corps, avec ceux de notre cœur et ceux de notre esprit.
Ces cycles se renouvellent continuellement et sauraient se vivre merveilleusement, s’ils sont bien compris. Nous allons essayer de les expliquer étape par étape.
Ce sont des rencontres avec « soi-même », avec l’autre « qui nous ressemble », et avec l’autre « qui est différent ».
Trois rencontres de chaque instant !
Première rencontre :
« Avec moi-même »
Je la nomme « phase narcissique ».
C’est lorsque je découvre seul(e) mon corps, que j’apprends à le connaître et à l’aimer : mon visage, mes yeux, mes bras, comme mes jambes, mon ventre, mes seins, comme mon sexe…
Voilà un temps très important à consacrer au quotidien. Ce corps en entier c’est moi, et il est à moi. Chaque jour de ma vie, il est primordial de le réapprendre, parce qu’il change toujours, tous les jours.
Ce corps, personne ne devrait avoir le droit de me l’abîmer, de me forcer à l’abîmer.
Il ne faut surtout pas le mutiler, même au nom d’une religion ou d’une mode — avec notamment la circoncision ou l’excision — ou en raison des vérités et des certitudes… parfois financières et politiques, de dangereux médecins ou de dentistes, menteurs comme des arracheurs de dents !
Mon corps est mon univers personnel.
J’apprends donc aussi à dire « NON », et même « NON, merci », et à toujours réfléchir sur ce qui peut être conseillé, imposé, forcé… par la peur ou la ruse, et qui me serait néfaste.
Personne ne doit m'infliger une violence sur ce corps qui m’appartient — force de l’esprit et du cœur — indispensable pour rencontrer, communiquer, et aimer !
Je dois donc m’apprendre… en sachant régulièrement me regarder nu — entièrement — devant la glace.
Il est très important d’avoir de grands miroirs à la maison… dans la salle de bain, mais aussi dans ma chambre, pour moi.
Dans cette phase primordiale, j’utilise le prénom de « Narcisse », en souvenir d’un héros très beau de la mythologie grecque.
J’ai revisité cette histoire, sous forme d’un petit conte, bientôt édité.
Oui, Narcisse n’avait pas de honte et s’aimait sincèrement ; alors des dieux jaloux ont voulu le punir — hélas — en lui jouant un vilain piège !
Il se serait noyé en souhaitant aller aimer son reflet dans l’eau. Narcisse se découvrait lui-même, et les dieux avaient peur qu’il puisse comprendre sa beauté. Se savoir beau, c’est prendre sa liberté pour saisir parfois la laideur du corps, du cœur et de l’esprit de celles et ceux qui veulent nous imposer une autorité.
Fier d’être lui-même, conscient d’être beau, Narcisse n’aurait plus eu de crainte des jugements tyranniques des dieux.
Savoir qui nous sommes, rend libre.
Il n’y a donc pas d’angoisse de punition ou de châtiment, avec ce livre sans interdits… il est écrit par un pirate des mots.
Un pirate — être libre et audacieux — c’est celui qui propose de rendre en intelligence, à la femme ou à l’homme, ce qui lui a été volé par la force ou la ruse.
Il n’y a pas de piège dans le miroir narcissique, si je comprends aussi qu’il « inverse mon image ».
J’apprends donc à jouer avec deux miroirs pour tenter de voir mon reflet dans le reflet… c’est alors comme une photo — comme les autres me voient — plus près de ma réalité.
Je grandis.
Fille et garçon.
Je prends petit à petit conscience que mon corps ne vit pas tout seul : il est parfois en lutte avec ma raison et celle des autres, lorsque je l’oblige à s’abîmer en mangeant ou en buvant n’importe quoi, comme toutes ces boissons et autres alimentations beaucoup trop sucrées, trop salées, trop lactées, trop grasses, mais aussi trop énergétiques, trop cuites… plutôt chimiques et polluées, dont je vois les publicités partout.
La publicité sur les aliments n’est pas créée pour mon bien-être, mais pour m’inciter à consommer toujours plus. C’est voulu, afin d’enrichir des industriels qui se moquent de ma santé. Ils sont parfois aussi les propriétaires des usines fabriquant les médicaments qui vont être achetés par nous encore, pour « soigner » nos maladies dont ils sont responsables.
Mon estomac doit se reposer pendant de vraies périodes, dans la journée… Je ne le fatigue pas continuellement par des bonbons, des chewing-gums et autres sodas, glaces et biscuits… véritables drogues !
J’oublie les goûters et grignotages imposés par la société de consommation, qui épuisent encore mon estomac.
Je me libère des faux sucres, faux goûts, faux parfums, et autres arômes chimiques…
Ils sont étudiés afin de créer un manque, et développent un mal-être.
Ce sont de terribles poisons qui me détruisent petit à petit le corps, mais aussi l’esprit, et j’en suis convaincu : le cœur.
J’apprends donc à me faire plaisir, sans tomber dans l’excès, qui deviendrait alors jouissance. J’évite d’être manipulé, de me faire rouler par le système. Ce système m'encourage, et même me force à consommer toujours plus, et n’importe quoi.
Souvent, des personnes annoncées comme des « experts », des « spécialistes » nous annoncent de grandes vérités. Ces gens sont formés, formatés et payés par des multinationales ou des partis politiques. Ils font alors des campagnes de « sensibilisation » afin de nous persuader de consommer ce qu’ils affirment être « certifié » bon pour l’humain.
Avant de tout « gober », j’écoute mon corps, et j’ose dire NON…
Je dois apprendre à dire NON… sinon, je serai hélas toujours plus fragile et davantage sensible à beaucoup de maladies dites « auto-immunes » ; c’est-à-dire qu’elles sont fabriquées par mon corps lui-même, qui crie d’avoir mal…
Il y a aussi ce que les médecins aiment nommer les « allergies », et que la presse relaye avec force, comme si c’était une maladie du siècle.
Les « allergies » : des réactions naturelles et révélatrices de saturation.
Mon corps parle, et me dit qu’il y a trop de pollens (souvent en raison du bétonnage et de la mauvaise gestion de la flore en ville, ou à la campagne utilisée toujours davantage pour l’agriculture intensive). Mon corps réagit parce qu’il ne supporte plus tel ou tel produit chimique étalé sur la peau ou ingéré dans le corps.
Alors… je ne tente pas systématiquement de me désensibiliser, car cela voudrait dire que je laisse mon corps supporter ce qui n’est pas bon pour lui, sans réagir, sans lutter.
Face à ce qui est toxique, nuisible, et destructeur, l’esquive est préférable à tout combat. Si j’éternue ou si j’ai une réaction épidermique, c’est que je suis fragile à un environnement dangereux. Il est préférable de partir, ou si j’en ai les moyens, d’assainir les lieux.
Je dois savoir refuser de manger et boire ce que mon corps juge mauvais pour lui, même si cela semble bon pour d’autres.
Combattre est déjà une défaite.
J’évite surtout de tomber dans l’obésité : cela entraîne de réelles souffrances physiques, et des douleurs affectives, par les moqueries des autres.
Ces souffrances risquent de me rendre très malheureux.
Il n’y a pas d’animaux obèses, en liberté, dans la nature !
Enfin, je prends conscience que mon corps s’abîme aussi lorsque je refuse de le laisser se reposer, quand il est fatigué…
Dormir et se réveiller doivent être des plaisirs. Je veille à ne pas me lever trop tôt, et à ne pas me coucher trop tard.
Pourquoi tricher avec mon corps en lui donnant des produits « énergétiques », généralement toxiques ?
Encore des poisons en vente libre, au nom de la soi-disant « liberté du commerce ».
Je n’écoute pas les bonimenteurs…
J’écoute mon corps.
Eh oui, mon corps me parle très souvent et je ne l’écoute peut-être pas assez ?
Je ne me force pas, je ne m’oblige pas, je ne m’impose rien. Je ne supporte rien.
Je refuse le moindre effort, qui en toute logique m’abîme ; je m’oppose à tout sacrifice, que ce soit pour un idéal politique, religieux ou économique, car le sacrifice me détruit, afin que les puissants règnent.
Je veux vivre libre, alors j’apprends à être volontaire, courageux, ambitieux, audacieux, sans être téméraire.
Les activités physiques et sportives doivent être vécues comme des moyens intéressants pour me développer sainement, en profitant de la nature… rencontrer l’autre, en évitant dès que possible le béton et la pollution…
J’apprends à aimer la vie au grand air, sans m’abîmer surtout !
Je n’écoute pas le chant des sirènes…
Des exploits, des victoires qui m’usent et qui me blessent physiquement, réjouissent les supporters et enrichissent les « sponsors », mais me prépareraient à des handicaps futurs !
Je recherche le plaisir avec intelligence, sans faire souffrir mon corps.
Oui, je veux être fier, courageux… volontaire et audacieux !
Je peux aussi aspirer à mieux encore : être ambitieux, vaillant…
Ardent, même…
Devenir le meilleur… de moi-même.
Cependant, j’évite surtout d’être téméraire, prétentieux et orgueilleux : je risquerais d’être déçu, de m’abîmer et d’abîmer l’autre.
J’apprends à m’aimer…
Je prends petit à petit conscience que mon corps ne vit pas tout seul : il est parfois en lutte avec ma raison et celle des autres, lorsque je l’oblige à s’abîmer en mangeant ou en buvant n’importe quoi, comme toutes ces boissons et autres alimentations beaucoup trop sucrées, trop salées, trop lactées, trop grasses, mais aussi trop énergétiques, trop cuites… plutôt chimiques et polluées, dont je vois les publicités partout.
La publicité sur les aliments n’est pas créée pour mon bien-être, mais pour m’inciter à consommer toujours plus. C’est voulu, afin d’enrichir des industriels qui se moquent de ma santé. Ils sont parfois aussi les propriétaires des usines fabriquant les médicaments qui vont être achetés par nous encore, pour « soigner » nos maladies dont ils sont responsables.
Mon estomac doit se reposer pendant de vraies périodes, dans la journée… Je ne le fatigue pas continuellement par des bonbons, des chewing-gums et autres sodas, glaces et biscuits… véritables drogues !
J’oublie les goûters et grignotages imposés par la société de consommation, qui épuisent encore mon estomac.
Je me libère des faux sucres, faux goûts, faux parfums, et autres arômes chimiques…
Ils sont étudiés afin de créer un manque, et développent un mal-être.
Ce sont de terribles poisons qui me détruisent petit à petit le corps, mais aussi l’esprit, et j’en suis convaincu : le cœur.
J’apprends donc à me faire plaisir, sans tomber dans l’excès, qui deviendrait alors jouissance. J’évite d’être manipulé, de me faire rouler par le système. Ce système m'encourage, et même me force à consommer toujours plus, et n’importe quoi.
Souvent, des personnes annoncées comme des « experts », des « spécialistes » nous annoncent de grandes vérités. Ces gens sont formés, formatés et payés par des multinationales ou des partis politiques. Ils font alors des campagnes de « sensibilisation » afin de nous persuader de consommer ce qu’ils affirment être « certifié » bon pour l’humain.
Avant de tout « gober », j’écoute mon corps, et j’ose dire NON…
Je dois apprendre à dire NON… sinon, je serai hélas toujours plus fragile et davantage sensible à beaucoup de maladies dites « auto-immunes » ; c’est-à-dire qu’elles sont fabriquées par mon corps lui-même, qui crie d’avoir mal…
Il y a aussi ce que les médecins aiment nommer les « allergies », et que la presse relaye avec force, comme si c’était une maladie du siècle.
Les « allergies » : des réactions naturelles et révélatrices de saturation.
Mon corps parle, et me dit qu’il y a trop de pollens (souvent en raison du bétonnage et de la mauvaise gestion de la flore en ville, ou à la campagne utilisée toujours davantage pour l’agriculture intensive). Mon corps réagit parce qu’il ne supporte plus tel ou tel produit chimique étalé sur la peau ou ingéré dans le corps.
Alors… je ne tente pas systématiquement de me désensibiliser, car cela voudrait dire que je laisse mon corps supporter ce qui n’est pas bon pour lui, sans réagir, sans lutter.
Face à ce qui est toxique, nuisible, et destructeur, l’esquive est préférable à tout combat. Si j’éternue ou si j’ai une réaction épidermique, c’est que je suis fragile à un environnement dangereux. Il est préférable de partir, ou si j’en ai les moyens, d’assainir les lieux.
Je dois savoir refuser de manger et boire ce que mon corps juge mauvais pour lui, même si cela semble bon pour d’autres.
Combattre est déjà une défaite.
J’évite surtout de tomber dans l’obésité : cela entraîne de réelles souffrances physiques, et des douleurs affectives, par les moqueries des autres.
Ces souffrances risquent de me rendre très malheureux.
Il n’y a pas d’animaux obèses, en liberté, dans la nature !
Enfin, je prends conscience que mon corps s’abîme aussi lorsque je refuse de le laisser se reposer, quand il est fatigué…
Dormir et se réveiller doivent être des plaisirs. Je veille à ne pas me lever trop tôt, et à ne pas me coucher trop tard.
Pourquoi tricher avec mon corps en lui donnant des produits « énergétiques », généralement toxiques ?
Encore des poisons en vente libre, au nom de la soi-disant « liberté du commerce ».
Je n’écoute pas les bonimenteurs…
J’écoute mon corps.
Eh oui, mon corps me parle très souvent et je ne l’écoute peut-être pas assez ?
Je ne me force pas, je ne m’oblige pas, je ne m’impose rien. Je ne supporte rien.
Je refuse le moindre effort, qui en toute logique m’abîme ; je m’oppose à tout sacrifice, que ce soit pour un idéal politique, religieux ou économique, car le sacrifice me détruit, afin que les puissants règnent.
Je veux vivre libre, alors j’apprends à être volontaire, courageux, ambitieux, audacieux, sans être téméraire.
Les activités physiques et sportives doivent être vécues comme des moyens intéressants pour me développer sainement, en profitant de la nature… rencontrer l’autre, en évitant dès que possible le béton et la pollution…
J’apprends à aimer la vie au grand air, sans m’abîmer surtout !
Je n’écoute pas le chant des sirènes…
Des exploits, des victoires qui m’usent et qui me blessent physiquement, réjouissent les supporters et enrichissent les « sponsors », mais me prépareraient à des handicaps futurs !
Je recherche le plaisir avec intelligence, sans faire souffrir mon corps.
Oui, je veux être fier, courageux… volontaire et audacieux !
Je peux aussi aspirer à mieux encore : être ambitieux, vaillant…
Ardent, même…
Devenir le meilleur… de moi-même.
Cependant, j’évite surtout d’être téméraire, prétentieux et orgueilleux : je risquerais d’être déçu, de m’abîmer et d’abîmer l’autre.
J’apprends à m’aimer…
Je m’aime !
Mon corps… mon sexe ?
Lorsqu’il y a la découverte, puis la recherche du plaisir avec mon sexe, cela se nomme la masturbation (plaisir avec la main) mais d’autres rencontres sont aussi heureuses en se frottant dans les draps, avec l’eau de la douche, avec la bouche (réservé pour les plus souples), le grimpé de corde (d’usage chez les plus agiles)…
Mille et cent jeux charmants d’initiations peuvent s’offrirent à moi.
Tout mon corps peut-être source de plaisir, et c’est à moi de le découvrir.
Je prends donc soin de ce corps en évolution. Je l’écoute, le considère, le respecte.
Maintenant que je comprends mieux le corps… alors je vais parler davantage de mon cœur.
Oui, j’ai aussi un cœur…
Lorsqu’il y a la découverte, puis la recherche du plaisir avec mon sexe, cela se nomme la masturbation (plaisir avec la main) mais d’autres rencontres sont aussi heureuses en se frottant dans les draps, avec l’eau de la douche, avec la bouche (réservé pour les plus souples), le grimpé de corde (d’usage chez les plus agiles)…
Mille et cent jeux charmants d’initiations peuvent s’offrirent à moi.
Tout mon corps peut-être source de plaisir, et c’est à moi de le découvrir.
Je prends donc soin de ce corps en évolution. Je l’écoute, le considère, le respecte.
Maintenant que je comprends mieux le corps… alors je vais parler davantage de mon cœur.
Oui, j’ai aussi un cœur…
Il y a également le cœur qui me parle.
En lisant « Le Petit Prince » écrit par Antoine de SAINT-EXUPÉRY, je comprends qu’il ne faut surtout pas oublier cette partie de moi-même.
C’est le cœur qui me fait décider d’être heureux, ou de perdre espoir…
Ce pilote d’avion — poète et aventurier — écrivait que « l’on voit bien surtout avec le cœur », et que « l’essentiel est peu visible avec les yeux ».
J’apprends donc à utiliser aussi mon cœur afin de m’aimer en totalité, en mouvement : je découvre ainsi comment me réconcilier avec moi, quand je suis un être blessé, inquiet ou perdu… et me relever pour vivre.
Mon corps aspire à être en paix, en harmonie avec mon cœur, et mon esprit.
Je m’aime « moi-même » et je prends conscience que c’est très important pour être heureux
Alors je découvre que je peux aussi aimer quelqu’un d’autre que moi… que je ne suis pas la seule personne au monde à être géniale…
C’est la deuxième phase qui s’annonce.
C’est le cœur qui me fait décider d’être heureux, ou de perdre espoir…
Ce pilote d’avion — poète et aventurier — écrivait que « l’on voit bien surtout avec le cœur », et que « l’essentiel est peu visible avec les yeux ».
J’apprends donc à utiliser aussi mon cœur afin de m’aimer en totalité, en mouvement : je découvre ainsi comment me réconcilier avec moi, quand je suis un être blessé, inquiet ou perdu… et me relever pour vivre.
Mon corps aspire à être en paix, en harmonie avec mon cœur, et mon esprit.
Je m’aime « moi-même » et je prends conscience que c’est très important pour être heureux
Alors je découvre que je peux aussi aimer quelqu’un d’autre que moi… que je ne suis pas la seule personne au monde à être géniale…
C’est la deuxième phase qui s’annonce.
Deuxième rencontre :
Avec celle ou celui
« Qui me ressemble physiquement »
Je la nomme « phase homophile ».
Filles, garçons, nous sommes proches, tout en présentant de multiples différences.
Il y a tout d’abord les corps qui ne sont pas semblables en apparence.
C’est beaucoup plus flagrant à l’intérieur, et au sein même de chacune de nos cellules : l’homme a un petit morceau de chromosome en moins par rapport à la femme, transformant un “X” en “Y”.
Aussi, je ne dois pas oublier que la manière de penser, d’aimer, de vivre, des hommes et des femmes, n’est pas du tout identique.
Les femmes et les hommes n’ont pas les mêmes besoins, les mêmes désirs !
Parler « d’égalité entre les femmes et les hommes », est une très grosse bêtise des « binaires » que sont nos politiciens.
Il serait plutôt préférable de se considérer les uns les autres, dans l’accueil des différences : le fait de tout mettre en œuvre pour que chacun soit respecté et apprécié, dans son intégrité.
Il y a tout d’abord les corps qui ne sont pas semblables en apparence.
C’est beaucoup plus flagrant à l’intérieur, et au sein même de chacune de nos cellules : l’homme a un petit morceau de chromosome en moins par rapport à la femme, transformant un “X” en “Y”.
Aussi, je ne dois pas oublier que la manière de penser, d’aimer, de vivre, des hommes et des femmes, n’est pas du tout identique.
Les femmes et les hommes n’ont pas les mêmes besoins, les mêmes désirs !
Parler « d’égalité entre les femmes et les hommes », est une très grosse bêtise des « binaires » que sont nos politiciens.
Il serait plutôt préférable de se considérer les uns les autres, dans l’accueil des différences : le fait de tout mettre en œuvre pour que chacun soit respecté et apprécié, dans son intégrité.
Une femme n’est pas un homme.
Un homme n’est pas une femme.
Un homme n’est pas une femme.
J’aime dire cependant que l’homme est « presque une femme » ; il lui manque cependant la « matrice », c’est-à-dire la possibilité de porter en son sein, un enfant.
Alors, avant d’aller à la rencontre de la personne de l’autre sexe — naturellement — je vais me diriger vers celle ou celui qui me ressemble.
C’est pour cela que cette étape s’appelle « homophile » :
« Qui aime le même ».
C’est très important de vivre de tout son être, et je vois que très souvent, comme enfant, adolescent, puis en tant qu’adulte, j’éprouve naturellement le besoin de rencontrer celle ou celui qui me « ressemble », afin de me rassurer et mieux me comprendre sur la fille ou le garçon que je suis, la femme ou l’homme que je deviens, ou que je suis devenu.
Dans cette phase dite « homophile », je partages mes jeux, mes activités, mes histoires, mes sentiments, mes aventures, et parfois le corps prend aussi une réelle dimension de rencontre.
Lorsque cela se situe par exemple au niveau de la compétition sportive, il ne dérange pas trop l’esprit ou le cœur ; cependant, mon corps ne doit pas nier la réalité de mon sexe, qui peut me « parler » !
C’est rassurant.
Filles… garçons… « nos organes sexuels » sont vraiment différents.
Naturellement, après avoir découvert ma sexualité narcissique, j’ai besoin de me rendre compte par l’image, de me comparer et de me comprendre avec des êtres comme moi, qui grandissent et évoluent comme moi !
La femme et l’homme, lorsqu’ils sont devenus adultes, gardent toujours dans leur vie ce réel besoin de poursuivre cette confrontation avec le même, afin d’être rassurés, fiers et plus vrais.
Vivre, bien vivre la rencontre avec celles et ceux qui nous ressemblent est indispensable si nous voulons être en harmonie avec « l’autre différent ».
Nous sommes alors plus heureux, dans la troisième phase que je vais expliquer maintenant.
Alors, avant d’aller à la rencontre de la personne de l’autre sexe — naturellement — je vais me diriger vers celle ou celui qui me ressemble.
C’est pour cela que cette étape s’appelle « homophile » :
« Qui aime le même ».
C’est très important de vivre de tout son être, et je vois que très souvent, comme enfant, adolescent, puis en tant qu’adulte, j’éprouve naturellement le besoin de rencontrer celle ou celui qui me « ressemble », afin de me rassurer et mieux me comprendre sur la fille ou le garçon que je suis, la femme ou l’homme que je deviens, ou que je suis devenu.
Dans cette phase dite « homophile », je partages mes jeux, mes activités, mes histoires, mes sentiments, mes aventures, et parfois le corps prend aussi une réelle dimension de rencontre.
Lorsque cela se situe par exemple au niveau de la compétition sportive, il ne dérange pas trop l’esprit ou le cœur ; cependant, mon corps ne doit pas nier la réalité de mon sexe, qui peut me « parler » !
C’est rassurant.
Filles… garçons… « nos organes sexuels » sont vraiment différents.
Naturellement, après avoir découvert ma sexualité narcissique, j’ai besoin de me rendre compte par l’image, de me comparer et de me comprendre avec des êtres comme moi, qui grandissent et évoluent comme moi !
La femme et l’homme, lorsqu’ils sont devenus adultes, gardent toujours dans leur vie ce réel besoin de poursuivre cette confrontation avec le même, afin d’être rassurés, fiers et plus vrais.
Vivre, bien vivre la rencontre avec celles et ceux qui nous ressemblent est indispensable si nous voulons être en harmonie avec « l’autre différent ».
Nous sommes alors plus heureux, dans la troisième phase que je vais expliquer maintenant.
Troisième rencontre :
Avec celle ou celui
« Qui est différent de moi »
Je la nomme « phase hétérophile ».
C’est aimer le « différent ».
Cette situation peut et devrait se vivre dans de bonnes conditions, sans esprit de domination ou de soumission, sans complexe d’infériorité ou de supériorité… sans jalouser ou craindre…
C’est réalisable lorsque les deux phases précédentes sont bien comprises et bien vécues, mais cette rencontre de l’autre différent, reste certainement la plus complexe.
Peut-être la plus extraordinaire aussi ?
Lorsque je suis bien dans mon corps, dans mon esprit, dans mon cœur et que je m’aimes ; lorsque je sais que ceux qui me ressemblent m’aiment et que je les aimes ; alors je suis libre d’aller à la rencontre de celui ou de celle qui n’est pas comme moi.
L’autre — le différent — peut l’être par le sexe, ce qui est le thème de notre ouvrage… mais il englobe aussi la diversité de culture, de nature, d’origine, de monde, d’éducation…
L’autre alors est une richesse de connaissances, de savoirs, qui devrait me permettre de grandir davantage ; c’est à moi de même, de donner tout ce que j’ai appris et reçu afin de permettre à l’autre de grandir aussi.
Bien entendu, je ne peux pas parler de religion pour une réelle rencontre humaine, car là, c’est une barrière impossible à franchir sans guerre, sans soumissions ou obligations.
Les religions ne sont pas solvables dans l’amour. Les religions divisent, séparent et forcent aux conflits.
C’est étrange car certains pourraient dire que « religion » est un mot qui vient du latin et qui signifie « relier ». Il faut savoir aussi que le mot « catholique » veut dire « universel ».
Une religion veut relier en effet les peuples entre eux, mais dans la soumission à une idéologie unique, qui rejette toute liberté individuelle.
L’idée d’un dieu s’impose toujours sur le ou les dieux des autres, sans possibles dialogues réels, car un religieux qui annonce la bonne nouvelle de son dieu, possède « la vérité ».
Les autres sont nécessairement dans l’erreur.
Si je suis soumis à une religion, vis-à-vis de l’autre différent, l’amour n’est pas possible. Les politiciens parle alors de « tolérance », c’est-à-dire que le bon croyant « sait » que l’autre a « faux », qu’il « se trompe » et qu’il vit dans « l’erreur », mais qu’il est à épargner (pour un temps).
Quand un religieux s’exprime, c’est pour convertir l’autre ou pour le punir de son incrédulité.
Dans notre recherche, ce qui nous importe est de s’aimer sans contrainte, sans préjugé, sans peur d’une superstition quelconque, pour pouvoir aimer l’autre.
C’est très laborieux d’aimer l’autre, lorsque l’on ne s’aime pas.
S’aimer soi-même, cela s’apprend… nous en avons commencé l’étude !
C’est difficile de comprendre quelqu’un qui n’est pas comme nous : corps, cœur et esprit ; surtout parce que nous ne nous connaissons pas encore totalement, puisque nous changeons chaque jour.
Aussi cette étape dite « hétérophile » (qui aime le différent), peut être très mal vécue. C’est lorsque ceux qui nous ressemblent ne nous ont pas donné la certitude que nous allons bien, que nous sommes à la fois dissemblables et uniques…
Il faut aussi essayer de comprendre, qu’en tant que « humains », d’ici ou d’ailleurs, bien entendu… nous sommes « comme tout le monde » !
Nous serions donc des humains… en devenir ?
Si j’ose apprendre à vivre en harmonie lors de la découverte avec moi-même et celle avec le même, alors la troisième — la plus délicate certainement — s’offre à moi.
Je ne crois pas celles ou ceux qui me disent qu’il est facile d’aimer quelqu’un de différent — de l’autre sexe notamment — soi-disant parce que nos corps sexués sont « construits parfaitement » pour une rencontre physique.
Le ressenti animal n’est pas un acte d’amour… c’est un instinct reproductif nécessaire à la survie d’une espèce.
Les animaux entre eux se retrouvent sexuellement, afin que la femelle soit fécondée par le mâle.
Les animaux — même les plus charmants — peuvent se battre à mort, pour réussir le meilleur accouplement.
La rencontre amoureuse avec quelqu’un de l’autre sexe, devrait être vécue bien au-delà d’une simple nécessité physique animale.
Nous sommes des êtres humains…
Vraiment ?
Il y a aussi chez nous le désir intellectuel — la force de l’esprit — et surtout l’affect — les sentiments — que j’aime situer au niveau du cœur.
La sexualité animale existe naturellement chez les humains, mais nous avons en nous peut-être quelque chose de plus, quelque chose d’extraordinaire : l’amour !
L’amour…
L’amour est un trésor à oser chercher.
L’amour est une aventure.
L’amour est pluriel, multiple et infini…
Quel bonheur que de le découvrir différent chaque instant, chaque jour, nouveau, plus grand, plus beau, plus heureux.
Ce sont des trésors qui s’offrent et qui se reçoivent !
Enfants, adolescents, adultes, vieillards, la vie heureuse se construit donc avec cette recherche de « l’amour humain », dans l’harmonie des rencontres.
Cette situation peut et devrait se vivre dans de bonnes conditions, sans esprit de domination ou de soumission, sans complexe d’infériorité ou de supériorité… sans jalouser ou craindre…
C’est réalisable lorsque les deux phases précédentes sont bien comprises et bien vécues, mais cette rencontre de l’autre différent, reste certainement la plus complexe.
Peut-être la plus extraordinaire aussi ?
Lorsque je suis bien dans mon corps, dans mon esprit, dans mon cœur et que je m’aimes ; lorsque je sais que ceux qui me ressemblent m’aiment et que je les aimes ; alors je suis libre d’aller à la rencontre de celui ou de celle qui n’est pas comme moi.
L’autre — le différent — peut l’être par le sexe, ce qui est le thème de notre ouvrage… mais il englobe aussi la diversité de culture, de nature, d’origine, de monde, d’éducation…
L’autre alors est une richesse de connaissances, de savoirs, qui devrait me permettre de grandir davantage ; c’est à moi de même, de donner tout ce que j’ai appris et reçu afin de permettre à l’autre de grandir aussi.
Bien entendu, je ne peux pas parler de religion pour une réelle rencontre humaine, car là, c’est une barrière impossible à franchir sans guerre, sans soumissions ou obligations.
Les religions ne sont pas solvables dans l’amour. Les religions divisent, séparent et forcent aux conflits.
C’est étrange car certains pourraient dire que « religion » est un mot qui vient du latin et qui signifie « relier ». Il faut savoir aussi que le mot « catholique » veut dire « universel ».
Une religion veut relier en effet les peuples entre eux, mais dans la soumission à une idéologie unique, qui rejette toute liberté individuelle.
L’idée d’un dieu s’impose toujours sur le ou les dieux des autres, sans possibles dialogues réels, car un religieux qui annonce la bonne nouvelle de son dieu, possède « la vérité ».
Les autres sont nécessairement dans l’erreur.
Si je suis soumis à une religion, vis-à-vis de l’autre différent, l’amour n’est pas possible. Les politiciens parle alors de « tolérance », c’est-à-dire que le bon croyant « sait » que l’autre a « faux », qu’il « se trompe » et qu’il vit dans « l’erreur », mais qu’il est à épargner (pour un temps).
Quand un religieux s’exprime, c’est pour convertir l’autre ou pour le punir de son incrédulité.
Dans notre recherche, ce qui nous importe est de s’aimer sans contrainte, sans préjugé, sans peur d’une superstition quelconque, pour pouvoir aimer l’autre.
C’est très laborieux d’aimer l’autre, lorsque l’on ne s’aime pas.
S’aimer soi-même, cela s’apprend… nous en avons commencé l’étude !
C’est difficile de comprendre quelqu’un qui n’est pas comme nous : corps, cœur et esprit ; surtout parce que nous ne nous connaissons pas encore totalement, puisque nous changeons chaque jour.
Aussi cette étape dite « hétérophile » (qui aime le différent), peut être très mal vécue. C’est lorsque ceux qui nous ressemblent ne nous ont pas donné la certitude que nous allons bien, que nous sommes à la fois dissemblables et uniques…
Il faut aussi essayer de comprendre, qu’en tant que « humains », d’ici ou d’ailleurs, bien entendu… nous sommes « comme tout le monde » !
Nous serions donc des humains… en devenir ?
Si j’ose apprendre à vivre en harmonie lors de la découverte avec moi-même et celle avec le même, alors la troisième — la plus délicate certainement — s’offre à moi.
Je ne crois pas celles ou ceux qui me disent qu’il est facile d’aimer quelqu’un de différent — de l’autre sexe notamment — soi-disant parce que nos corps sexués sont « construits parfaitement » pour une rencontre physique.
Le ressenti animal n’est pas un acte d’amour… c’est un instinct reproductif nécessaire à la survie d’une espèce.
Les animaux entre eux se retrouvent sexuellement, afin que la femelle soit fécondée par le mâle.
Les animaux — même les plus charmants — peuvent se battre à mort, pour réussir le meilleur accouplement.
La rencontre amoureuse avec quelqu’un de l’autre sexe, devrait être vécue bien au-delà d’une simple nécessité physique animale.
Nous sommes des êtres humains…
Vraiment ?
Il y a aussi chez nous le désir intellectuel — la force de l’esprit — et surtout l’affect — les sentiments — que j’aime situer au niveau du cœur.
La sexualité animale existe naturellement chez les humains, mais nous avons en nous peut-être quelque chose de plus, quelque chose d’extraordinaire : l’amour !
L’amour…
L’amour est un trésor à oser chercher.
L’amour est une aventure.
L’amour est pluriel, multiple et infini…
Quel bonheur que de le découvrir différent chaque instant, chaque jour, nouveau, plus grand, plus beau, plus heureux.
Ce sont des trésors qui s’offrent et qui se reçoivent !
Enfants, adolescents, adultes, vieillards, la vie heureuse se construit donc avec cette recherche de « l’amour humain », dans l’harmonie des rencontres.
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Le quatrième chapitre :
On développe un peu…
Femmes, hommes…
Qui sommes-nous ?
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Réalisation Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, pirate des mots et philanalyste en herbe. Tous droits réservés ©.
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Auteur : Yves Philippe de Francqueville