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      • MAMAN, acrostiche extrait de Solitude étrangère, poèmes de Yves Philippe de Francqueville
      • Pardon, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • C'était Hier, un poème de Solitude étrangère, par Yves Philippe de Francqueville
      • Je suis seul à rêver, un poème de Solitude étrangère, par Yves Philippe de Francqueville
      • Lumière, un poème de Solitude étrangère, par Yves Philippe de Francqueville
      • Tempête de nuit, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Sourire, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
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      • Puisque tu m'aimes, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Regret, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
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      • Reflet, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • J'ai aimé ton regard, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Je ne suis pas Rimbaud, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Montagne et solitude, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Solitude et ennui, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Souvenirs, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • L’ange, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • L’amant, un poème de Solitude étrangère, par Yves Philippe de Francqueville
      • Folie, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Révolte, un poème de Solitude étrangère, par Yves Philippe de Francqueville
      • L’orage, un poème de Solitude étrangère, par Yves Philippe de Francqueville
      • Vous n'êtes que du vent… un poème de Solitude étrangère, par Yves Philippe de Francqueville
      • Déraison d'un poète malade… un poème de Solitude étrangère, par Yves Philippe de Francqueville
      • Hommage, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Artiste, lève-toi ! Un poème de Solitude étrangère, par Yves Philippe de Francqueville
      • Vivre jour après jour, un poème de Solitude étrangère, par Yves Philippe de Francqueville
      • La Lune, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Quand l'ombre gagne… un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • La fin du jour, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Laisse-moi te donner… un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • L'adieu, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • L'image, un poème de Solitude étrangère, par Yves Philippe de Francqueville
      • L'hérédité de la Genèse, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • L’audacieux, un poème de Solitude étrangère, par Yves Philippe de Francqueville
      • Le grand inquisiteur, un poème de Solitude étrangère, par Yves Philippe de Francqueville
      • Alors, je suis moins seul… un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Si j'écrivais l'Histoire, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Amertume, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Je l’ai vu s’en aller… un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Mon heure aussi viendra, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Mémorial, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Création, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Le Vagabond, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Rappelle-toi ces jours…un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Présence, une chanson de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • La coupe était si belle, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Pourquoi m'as-tu quitté ? Un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Doutes… un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Dilection, un poème de Solitude étrangère, par Yves Philippe de Francqueville
      • Le grand combat des anges, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Encore quatre jours, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • L'envol, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • L'exilé, extrait de Solitude étrangère, poèmes de Yves Philippe de Francqueville
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      • J’avais besoin de toi… un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
      • Je retourne au néant, un poème de Solitude étrangère par Yves Philippe de Francqueville
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    • On développe un peu… Femmes, hommes… Qui sommes-nous ?
    • Plaisirs et dangers…
    • En conclusion, pour le quotidien…
    • PETIT LEXIQUE original et libéré, sur la vie et la sexualité !
  • Troisième acte
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    • scène quatrième
    • scène cinquième
    • Scène sixième
    • scène septième
    • scène huitième
    • scène neuvième
    • scène dixième
  • Quatrième acte
    • Lettre ouverte aux vivants, par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE
    • Un Article d'un journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même en relecture par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE
    • Un second Article d'un journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même, du Midi libre en relecture par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE
    • Troisième article d'un journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même vs Yves Philippe de FRANCQUEVILLE
  • Sites et blogs…
Yves Philippe de Francqueville, mémoires d'un pirate

Yves Philippe de Francqueville
Pirate des mots et philanalyste en herbe
Présente : 
"Enfance, amours & sexualité"
Comment apprendre et même 
Comprendre la sexualité
« Sous un autre regard »



PETIT LEXIQUE 
originale et libéré.
​

Un autre regard sur le sens de la vie,
nos amours
et la sexualité!


Un autre regard libre, toujours sans gravité.
Ce petit dictionnaire n’est pas prisonnier des « vérités » imposées par les politiques et les religieux, les lobbies de la consommation, les journalistes kapos de leurs maîtres, et surtout par les grands « spécialistes » du monde médical…
Oui, libérons-nous de ces nombreux bonimenteurs persuadés d’être des experts. Ils s’affirment les porteurs d’informations authentiques qu’ils ont parfois reçues de maîtres, de gourous, détenteurs d’une « manipulation d’un jour » ou annoncées dans des livres « de propagande »…
Ils n’ont généralement pas pratiqué sur eux ce qu’ils conseillent… ou plus grave, ils imposent des idées par la peur, en pleine conscience de la destruction apportée par leurs certitudes.
Avoir confiance en ce que nous apprend l’autre, est plutôt naturel… jusqu’à ce que l’on découvre que l’autre n’est pas un « dieu », porteur de « la vérité »…
La recherche personnelle peut nous affirmer le contraire de ce qui nous est enseigné !
Les médecins, depuis HIPPOCRATE, sont porteurs tantôt de la vie… ce qui est formidable, tantôt de la mort… ce qui est dramatique, mais souvent plus rentable.
Aussi, pour qualifier les politiciens, Louis Antoine de SAINT-JUST était radical : « Tous les arts ont produit des merveilles, excepté l’art de gouverner qui n’a produit que des monstres ».
C’est donc pour cela que dans le « Serment d’Hippocrate », il est très bien expliqué que l’on ne peut pas être en même temps « médecin » et « politicien »… Il est impossible de soigner honnêtement tout en ayant un pouvoir quelconque sur le malade.
 
Les explications qui vont suivre sont à réfléchir, et à contredire…
C’est un lexique qui n’est pas écrit pour donner des « vérités vraies », car il est proposé pour inviter le lecteur à se poser des questions, afin de lui donner les moyens d’apprendre à penser par lui-même !
 
Anatole FRANCE disait qu’une « vérité scientifique dépasse rarement les quatre-vingts ans »…
Ces définitions qui suivent sont donc à reconsidérer d’instant en instant.
Il faut s’en nourrir pour les adapter et les faire évoluer, pour le bien-être de tous et de chacun !




 
AXIOLOGIE :
Considération philosophique ayant pour objet l’étude des valeurs qui se distinguent de la morale…
C'est une recherche sage et libérée, du sens des valeurs humaines, détachées du principe binaire de l’idée de « bien et de mal ».
 
BOIRE ET MANGER :
Attention, attention ! Méfions-nous vraiment, protégeons-nous des matraquages publicitaires vantant ce qui serait « bon ou mauvais pour notre santé ».
La publicité est omniprésente dans notre quotidien, pour nous inciter à acheter, et non dans le but d’œuvrer à notre bien-être.
Ne pas avoir quelque chose qui est vanté, crée l’envie et non le plaisir !
Il n’y a pas de publicité à la télévision ou dans la rue pour nous inviter à consommer les produits vraiment sains… vraiment naturels ! Les industriels ont pour projet de gagner de l’argent en vendant toujours plus de cochonneries qui ont parfois très bon goût, mais qui sont fabriquées avec trop de sel, de sucre, de graisses, avec des matières premières très bas de gamme, ou d’autres produits chimiques toxiques…
Ceux qui achètent modérément et qui consomment de bons produits pour la santé, ne regardent pas les publicités sur « TF1 » ou sur les autres chaînes de télévision, où l’argent est roi.
Les nombreux « nutritionnistes experts » et autres « enquêteurs experts » souvent en blouses blanches — parfois même des médecins diplômés — sont toujours à la solde (payés pour faire les rapports et l’éloge) des marchands d’une nourriture toujours plus mauvaise pour la santé des humains, et encore plus pour les enfants et les adolescents en pleine croissance.
Les animaux domestiques ont maintenant les mêmes maladies que les humains, et beaucoup sont obèses !
Il n’y a pas d’animaux obèses dans la nature. Et lorsqu’ils ne trouvent plus la nourriture qu’il leur faut, c’est que l’homme a détruit leur environnement pour faire de l’agriculture intensive ou pour puiser encore davantage des ressources de la Terre !
N’oublions pas que sur notre planète, si des hommes ont faim, beaucoup d’autres mangent trop. Il y a bien assez de nourriture pour que nous puissions permettre à tout le monde de vivre correctement ; cependant les revenus du commerce des très riches, et donc des très puissants, en souffrirait !
Selon le rapport de plusieurs instituts qui semblent plutôt indépendants (et qui n’ont pas d’intérêt politique), on gaspille chaque année dix fois ce qui pourrait nourrir tous les habitants de la planète sur une année ! En sachant que les particuliers en gaspillent 30 à 35%, le reste est jeté par les industriels de l’agroalimentaire eux-mêmes.
Il faut être attentifs aujourd’hui à notre alimentation en évitant les produits transformés dont la matière première est dite « raffinés » : méfions-nous donc plus particulièrement du « sel blanc », du « sucre blanc » (parfois colorés pour donner l’illusion), des « farines blanches » (dont on a explosé les molécules pour les rendre plus grandes, mais qui surélèvent dramatiquement la teneur en gluten).
Fuyons aussi les édulcorants, les colorants et autres exhausteurs de goût… tous ces ersatz qui remplacent le sucre et qui nous préparent à « la maladie d’Alzheimer » (j’ai commencé une très sérieuse étude sur ce sujet, en lien avec les produits de substitution en usage pendant la seconde guerre mondiale, auprès d’une population et les maladies développées) ; évitons les produits laitiers, généralement issus de la production « intensive », surtout ceux à base de « probiotiques » qui servent normalement à engraisser les cochons.
Attention de ne pas céder au chant des sirènes : évitons de croire ces drôles de « scientifiques ». Ils sont payés par les grands groupes alimentaires qui osent utiliser la presse et les médias kapos du système, pour certifier que beaucoup de leurs produits, de qualités douteuses, sont « bon pour la santé ».
Comme tous les journaux vivent de la publicité, ils ne vont pas dénoncer ceux qui les nourrissent… même mal !
Ceux qui osent dire NON aujourd’hui à la « malbouffe », seront les vivants de demain.
 
BONHEUR
Le bonheur ?
Une quête qui est accessible.
Ce n’est pas une utopie ou une attente illusoire pour un autre monde, un paradis promis, après des années de galères sur Terre.
Être en plein bonheur, c’est lorsque l’humain se trouve en harmonie avec lui-même.
C’est le temps des amours.
La sexualité a tout son sens, dans l’amour.
C’est le temps de la sagesse où notre esprit est en paix réelle avec le cœur et le corps. Lorsque l’on à autant de plaisir à recevoir qu’à donner.
Le bonheur est un état où l’humain savoure en gourmet son existence, dans l’accueil réciproque et la considération mutuelle.
La sensation extraordinaire d’être heureux, avec ses joies et ses peines, parce que l’on développe des ondes d’amour.
 
CERTITUDES :
Quelqu’un qui vit avec des certitudes n’est plus capable de s’écouter, d’écouter l’autre. C’est un moyen très dangereux pour combattre ses peurs, car une certitude a une durée de vie limitée.
Combattre est déjà une défaite.
La solution pour apaiser ses peurs est d’être ouvert à la question. Chercher, apprendre, sans nécessairement comprendre.
Quitter ses certitudes, c’est être attentif à la phrase attribuée à SOCRATE par PLATON — un homme libre — un philosophe de la Grèce ancienne, à l’époque où elle était porteuse de messages forts, pour permettre à l’humain d’évoluer :
« La seule chose que je sais,
C’est que je ne sais rien ».
Oui, tout change tout le temps :
Aujourd’hui l’arbre est en fleurs…
Demain sera-t-il en fruits ?
 
CHEMINS DE TRAVERSE :
Des routes pas si belles que ça… malgré tout ce qui nous est raconté.
Les raccourcis de la vie nous obligent généralement à tricher. Cela laisse souvent un mauvais goût dans la bouche ou des blessures parfois graves.
Utiliser des drogues illégales ou légales (et même parfois remboursées par la caisse d’assurance maladie), entraîne à nous mentir à nous-même, en nous oubliant par l’excès…
Devenir addictif à quelque chose peut nous protéger en apparence, des peurs de nos peurs… mais cela nous empêche de vivre.
Les chemins de traverse fabriquent des sous-vivants, des vivants-morts !
 
CIRCONCISION et EXCISION :
Peut-être un jour, certaines personnes qui commencent à évoluer — pourtant même encore attachées à quelques traditions religieuses — opteront pour une démonstration symbolique de l’acte d’alliance entre un dieu et son peuple : être à cœur ouvert, à corps ouvert, à esprit ouvert à la bonne parole…
Oui, peut-être alors s’arrêtera cet acte barbare d’un autre âge, encore pratiqué au même titre que l’excision.
L’excision est enfin considérée comme un acte criminel dans la plus part des pays, donc, cette mutilation abominable pour les femmes ne sera pas traitée davantage dans ce petit lexique, si ce n’est d’inviter tous et chacun à poursuivre la lutte. Il est nécessaire d’aider les femmes à apprendre leur corps, et de leur permettre de le préserver de toutes violences.
Pour la circoncision, la lutte est à peine à son prologue !
En raison de conceptions religieuses, vaguement couvertes par des arguments hygiénistes (85% des américains étaient circoncis dans les années 1970, mais à ce jour c’est en perte de vitesse : 35 % environ maintenant), on mutile les enfants en leur ôtant le prépuce (qui sera parfois utilisé pour réaliser des crèmes, et d’autres pilules antivieillissement, par nos riches laboratoires pharmaceutiques). La circoncision est souvent une opération réalisée sous couvert médical, et elle enrichit le chirurgien comme l’hôpital. En France, le « malade » est remboursé par la caisse d’assurance maladie, donc c’est aux frais des cons-tribuables.
Le prépuce, cette peau qui recouvre le gland — partie peut-être la plus sensible du corps masculin, et fondement même de sa source de plaisir — a toute son importance. Ce n’est pas une peau supplémentaire ou inutile, mais bien une membrane double, intégrée au pénis ; lorsqu’elle coulisse afin de dégager le gland, elle s’intègre en sa totalité à la peau de la verge. L’ablation de cette peau détruit toute une zone de vie. La cicatrice entraîne une déformation de la verge en érection, le gland s’assèche, il devient moins sensible et se fragilise, pour se kératiner, car non protégé.
 Les enfants comme les adultes circoncis ont de nombreux soucis urinaires et urologiques, et peuvent moins facilement se masturber. C’est en raison de la perte de sensibilité, mais aussi de la douleur, qui peut être permanente. C’est pratiqué parfois juste avant la puberté. (commun dans l’Islam, et dans certaines communautés chrétiennes alors que cela n’est pas imposé dans le Coran ou la Bible). En diminuant la tentation de la masturbation, on évite donc à l’adolescent une faute plus ou moins grave selon les religions, que ce soit chez les juifs, les chrétiens ou les musulmans.
Cependant, pour le mâle adulte circoncis, cela peut lui donner parfois l’illusion d’un peu plus de temps… lors du rapport sexuel.
Les femmes — qui osent en parler — avouent prendre moins plaisir dans l’acte sexuel, avec un homme circoncis.
Il y a alors davantage une recherche de jouissance.
La circoncision rend les hommes plus durs, plus violents… plus guerriers.
Les partisans de la circoncision sont généralement eux-mêmes circoncis, ou sont des adeptes des interdits sexuels. Ils ne peuvent donc pas comprendre le merveilleux que d’avoir un prépuce !
Pour d’autres « spécialistes » et « experts » du monde médicale, au service des systèmes politiques et religieux, il y a le lobbies autour du SIDA. La circoncision permettrait étrangement de faire reculer la maladie, en rendant le gland moins perméable à la prolifération du virus ?
Pourquoi une mutilation serait salvatrice ?
Le SIDA se propage généralement par des pratiques sexuelles violentes, et non protégées ; aussi par une hygiène déplorable, liée à la misère, ou aux hontes construites autour du sexe.
Un pénis fragilisé est plus vulnérable.
Étrange, très étrange, cette idée de croire l’homme créé à l’image d’un dieu parfait, et d’en vouloir ôter une « petite partie », qui serait « imparfaite » ?
 
CYCLE MENSTRUEL :
Rythme de la vie d’un être féminin. C’est un cycle de vingt-huit jours, comme le cycle de la Lune, que l’on peut aussi nommer ainsi… où se construit, se libère et s’achève, la possibilité de créer un enfant.
Jusqu’à la puberté, le cycle existe déjà dans la nature de l’enfant, sans être effectif. Après la ménopause, il subsiste en mémoire.
 
DENTISTE & ORTHODONTISTE :
Avoir « la bouche de tout le monde » est une mode bien coûteuse à la caisse d’assurance maladie, et cela provoque chez les enfants et les adolescents des traumatismes parfois irréparables, qu’ils subissent dans leur vie d’adulte. Le port d’appareils dentaires n’est peut-être pas toujours la bonne solution, surtout lorsque c’est davantage « esthétique » que « réparateur ».
La douleur continuelle (jour et nuit), liée au déplacement des racines dans la bouche d’un enfant ou d’un adolescent, peut le perturber gravement dans sa croissance et son parcours scolaire, comme dans ses relations familiales et amicales.
Que penser de l’arrachage systématique des « dents de sagesse », avant même parfois leur poussée, sous prétexte que la mâchoire serait trop petite à l’âge adulte ?
Toutes les dents ont leur importance !
« Refaire » la bouche d’un enfant, avant que sa croissance ne soit achevée… c’est logiquement une catastrophe qui s’annonce, lorsque d’autres dents pousseront en leur temps… mais la ruse est géniale : l’État, par le biais de la caisse d’assurance maladie rembourse les frais d’orthodontie pour tous les adolescents, et non pour les adultes… C’est donc la peur du regard des autres et la crainte de l’argent à dépenser, qui fait prendre une décision n’étant pas forcément la meilleure !
C’est alors autant un drame physique pour l’humain qu’une manne financière pour les chirurgiens-dentistes, toujours aux frais des cons-tribuables…
Autrefois, pour mieux gagner leur vie, les chirurgiens étaient aussi barbiers !
Il y a peut-être de « vraies » questions à se poser parfois, sur cette pratique de mutilations forcées.
Après la seconde guerre mondiale, comme les chirurgiens manquaient de travail, ayant trop peu de malades, de blessés au combat, l’on ôtait « préventivement » l’appendice à tous les enfants, puis ce fut l’ablation des végétations et aussi des amygdales en France… ou toujours le prépuce aux États-Unis d’Amérique.
Toutes ces mutilations « préventives » sont à rappeler à leurs bons fondements, avant de procéder à des actes aussi graves qui touchent à l’intégrité du corps humain.
Enfin, la présence de corps morts (dents dévitalisées notamment) développe un grand nombre de toxines qui fragilisent le corps humain. Le plomb n’est peut-être pas non plus le meilleur des éléments du tableau périodique de Dmitri Mendeleïev, à avoir dans la bouche !
« Votre dentiste est un médecin… demandez-lui conseil » dit la publicité !
Ne lui faites peut-être pas trop confiance, et voyez la concurrence.
Il y a aussi un vieux proverbe douloureux à se remémorer :
« Menteur comme un arracheur de dents » !
Enfin, il ne faut jamais oublier le « gentil dentiste » de Fantine, immortalisé par Victor HUGO dans « Les Misérables »…
Comme pour la demande d’un autre devis concurrent, lorsque la voiture est à réparer, il faut nécessairement oser consulter plusieurs dentistes, avant de prendre une décision grave sur les dents.
Il y a aussi des dentistes honnêtes et humanistes. Heureusement.
 
DÉSIR et envie :
Le désir est une force extraordinaire de l’être libéré de toute contrainte. C’est un état de bien-être qui nous prépare à aller vers l’autre espéré, où découvrir le temps voulu, l’objet rêvé.
Le désir ouvre à l’amour.
Le mot « désir », par sa prononciation même, apporte le plaisir. C'est ce qui le diffère du mot « envie », principe destructeur de l'homme. L'envie entraîne la jalousie, la colère, le manque, tant que l'être ou l'objet convoité n'est pas possédé… et il ne donne bien souvent à l'issue, aucun réel plaisir mais le temps de l’absence et du manque peut procurer une certaine jouissance. Le mot envie entraîne aussi à la grimace, lorsqu'il est prononcé.
« Je désire être désiré par l'être que je désire » !
ÉGALITÉ :
C’est parce que nous sommes tous différents, qu’il est très important de respecter les goûts et les couleurs de chacun d’entre nous.
Il n’est pas supportable d’imposer à l’autre ce qui semble bon pour nous aujourd’hui… Ce qui serait peut-être tout autre demain.
Nos différences nous enrichissent si nous ne sommes pas dans la domination ou la soumission.
Il n’y a pas d’égalité possible entre femme et homme… il n’y a pas d’égalité entre les femmes et les hommes des peuples de notre Terre.
L’équité, par le respect et surtout la considération de tous et chacun dans leur unicité et leur spécificité, est par contre indispensable pour vivre en paix, tous ensemble, sans pour autant devoir être uniformiser.
Il faut veiller sur les us et coutumes, quand ils sont dans la valorisation de l’être humain.
Pour la vie sexuelle, les femmes et les hommes n’ont pas les mêmes besoins, les mêmes désirs !
 
ENVIE : voir « désir »
 
ESPRIT (ou âme, ou raison) :
Un espace insaisissable de l’humain qui est convoité par toutes les morales, ou religions. En effet, l’esprit est parfois presque capable d’imposer au corps et au cœur, des lois, des règles et surtout des interdits… que tôt ou tard nous risquons de franchir, si l’on ne nous apprend pas la vie avec des règles, qui nous semblent plus justes.
 
FOULARD (Le JEU du) :
Je ne parle pas du jeu scout « tout innocent », qui consiste à attraper le foulard accroché à la ceinture de son adversaire …
Là, c’est une dramatique expérience de pendaison pouvant entraîner la mort d’un enfant.
C’est généralement une recherche d’un plaisir triché… une jouissance révélée par la douleur physique et psychologique de la suffocation.
« Le jeu du foulard » est vécu parfois en crainte de plaisirs amoureux solitaires ou partagés, refusés et rejetés par frustration ou interdits moraux et religieux.
Une éducation intelligente donnée par des parents éveillés, peut éviter ces drames.
« Le jeu de foulard » devrait disparaître si les enfants apprennent à aimer leur corps et savent trouver leur plaisir sans s’abîmer, sans abîmer l’autre.
Des adultes pratiquent aussi ce « jeu » et d’autres, sous la surveillance complaisante de médecins…
 
HÉTÉROPHILIE :
Mot nouveau à utiliser pour exprimer notre aptitude naturelle à aller vers les personnes qui ne nous ressemblent pas, et par extension, celles de l’autre sexe.
C’est dans la nature humaine de désirer rencontrer, communiquer, aimer… vivre.
L’humain évolue lorsqu’il s’enrichie des différences.
Il y a bien entendu une sexualité hétérophile qui peut permettre — en sus du plaisir occasionné — de perpétuer l’espèce.
 Certaines personnes ayant peur de l’autre « différent » — en raison d’un endoctrinement politique ou religieux — peuvent en devenir hétérophobe : Elles rejettent l’autre qui n’est pas comme eux, ou elles veulent le soumettre à leurs us et coutumes.
Alors, c’est la guerre.
 
HOMOPHILIE :
Joli mot qui exprime l’attirance naturelle que nous avons tous, tout au long de notre vie, pour les personnes qui nous ressembles, et par extension, celles du même sexe que le nôtre.
Cela nous donne la possibilité de vivre ensemble dans ce monde, de communiquer et, bien entendu, de nous aimer.
Certains peuvent aussi vivre cette rencontre, à travers la sexualité.
C’est assez courant dans l’enfance, et davantage pendant l’adolescence.
Cela devient généralement irrégulier dans l’espace plus sociétal de la vie d’un adulte, avec l’encouplement.
Si une personne se découvre avec un désir HOMOPHILE, cela ne veut pas dire qu'elle a des pratiques sexuelles homophiles… et cela ne me regarde pas !
Chacun devrait être libre de vivre sa vie privée… en considération de l’autre.
 
HOMOSEXUEL :
Mot qui disparaîtra peut-être un jour, car il fut créé pour dénoncer « la maladie » des gens de même sexe qui s’aiment, et qui vivent cet amour avec leur corps, avec parfois leur sexe.
Je pense qu’il devrait être remplacé par le mot « HOMOPHILE », qui veut dire « aimer le même » sans avoir obligatoirement une connotation sexuelle.
Parce que la vie sexuelle des autres ne me regarde pas…
Qui a le droit de juger les sentiments comme les goûts, ou les pratiques des autres ?
Personne.
Un HOMOPHOBE est généralement un frustré de sa part homophile, qui combat sa souffrance par effet miroir : il veut détruire ce qu’il rejette de lui, par peur et honte, en détruisant l’autre !
Nous avons le droit d’aimer et d’être aimé !
Je commence par crier au scandale parce que la voisine aime une femme, et ensuite je la rejette parce qu’elle mange ou boit ce que je me suis interdit de manger ou de boire, par respect pour la loi de mon pays, ou par l’obligation de suivre les préceptes de ma religion. STOP.
Je suis maître de moi-même, et libre de mes actes, sans avoir à critiquer les « us et coutumes » des autres.
Qui peut m’imposer ses propres lois ?
Personne.
Je ne dois pas non plus être contraint de suivre les lois des autres.
 
HONTE :
L’arme absolue de « destruction massive » des libertés !
La honte entraîne la peur, la culpabilité…
Avec la honte, il y a perte de son humanité.
L’individu honteux se soumet.
Celle ou celui qui n’a pas de honte, peut apprendre à vivre… les autres seront toujours en survie parfois, en sousvie souvent !
 
INCESTE :
C’est une pratique sexuelle, vécue par des personnes d’une même famille.
Elle est généralement interdite par les lois politiques et religieuses, sauf lorsque cela concerne les dirigeants, l’élite.
Lorsque l’on prône la survie d’une famille, d’une caste, d’un clan… l’inceste est accepté en raison du refus de se mélanger à des peuples impures, ou de voir une lignée « mâle » s’éteindre, comme dans l’histoire de Noé qui couche avec ses filles, par exemple.
Lorsque cette relation sexuelle est subie par un enfant (impubère) avec un adulte ou un adolescent (pubère), c’est un acte pédosexuel aggravé, c’est toujours un viol.
Lorsque la justice « agit comme il se doit », l’inceste avec un enfant est un acte sexuel considéré comme un crime aux yeux de la société.
L’enfant est toujours une victime.
 
INITIATION :
Un apprentissage de la vie.
Dans la relation amoureuse, c’est notamment la découverte de mon corps sexué, du corps sexué de l’autre.
Les questions sont souvent nombreuses et les réponses ne sont pas toujours — hélas — à la hauteur des espérances.
L’initiation peut être mal vécue si la honte et la peur se révèlent en moi ou en l’autre, d’une manière insidieuse.
Attention aussi à ne pas nous trouver en danger face à des personnes qui pourraient abuser de nous et même nous violer, en nous faisant croire que « c’était pour notre bien ».
Je peux être maladroit… l’autre aussi !
Découvrir un sexe en érection lorsque l’on est une jeune fille, n’implique pas pour le garçon « un droit » de pénétration anale, voire vaginale.
Être prêt à vivre certains actes sexuels peut demander du temps, pour la femme ou pour l’homme ; c’est à respecter surtout !
Veillons à ne pas nous abîmer, et à ne pas abîmer l’autre.
J’apprends… je regarde, j’écoute… et surtout, j’apprends à savoir dire « NON », et « NON MERCI ».
 
INTÉGRITÉ :
C’est notre manière intérieure de penser, de rêver, de vivre, qui nous appartient.
Personne n’a le droit — sous quelques prétextes politiques, religieux ou moraux — de venir en nous, pour abîmer ou trahir cette part secrète, ce jardin secret de notre liberté.
L’intégrité, c’est notre liberté en construction, notre force vive indépendante.
 
INTERDIT :
Il est toujours annoncé pour nous voir un jour ou l’autre, tomber dans la faute.
L’interdit, c’est comme si l’on nous présente quelque chose de très bon, que l’on nous en donne un tout petit peu pour nous faire envie, puis l’on nous dit : « tu n’y as pas droit »…
L’interdit est un piège de l’autorité, qui rend le peuple esclave et malheureux.
Ce serait plus juste de voir les humains se construire eux-mêmes des règles du jeu, plutôt que de continuer à se soumettre à l’autorité relative de femmes et d’hommes représentant des dieux ou d’autres tyrans, s’imposant par la force et la peur.
Avec des règles honnêtes et sincères, fondées sur des valeurs humaines et non sur une morale politique, nous sommes capables de gagner dans l’amour et la concorde, notre liberté : donner du sens à la vie et être heureux !
 
JARDIN SECRET :
Le lieu de vie merveilleux qui appartient à moi seul. C’est d’abord un jardin, ce qui veut dire un espace clos.
J’imagine qu’il y a une porte, à l’abri du monde, et dedans si je désire l’entretenir ou pas, c’est mon choix.
j’y fais ce que je veux.
C’est secret.
Secret, cela ne veut pas dire « bien » ou « mal », puisque ces mots sont seulement liés au regard des autres, qui ne sont pas obligés d’aimer ce que je suis, ce que je désire, ce que j’entreprends.
Si j’estime que ce que je vis dans ce jardin est beau, que cela me plaît, libre à moi de le vivre !
Dans ce jardin, je peux réaliser ce qui me construit, Je découvre en effet qu’il est préférable d’éviter ce qui ne me construit pas (mais c’est aussi la liberté pour d’autres, que de vouloir détruire leur propre jardin).
Personne ne peut pénétrer dans mon jardin sans ma permission.
Personne n’a le droit de forcer la porte de mon jardin secret.
Si cela me plaît d’en soigner les murets, j’ai la liberté de proposer à celles et ceux que j’aime, les quelques règles du jeu de ma vie. Les autres doivent les respecter sans forcément être en accord. S’ils les considèrent, je peux leur ouvrir la porte de mon jardin, en veillant toujours à ne pas être abîmé par les maladresses ou la jalousie des autres…
L’adulte ou l’enfant, quel qu’il soit, n’a aucun droit sur moi, sur mon espace personnel.
Il a par contre, le devoir de veiller à mon intégrité.
Dans la sexualité, le jardin secret est un de mes espaces de vie les plus précieux.
Je veille aussi, avec attention, afin que personne ne le viole.
 
JEUX AMOUREUX :
La découverte de mon corps, seul, ou en compagnie de personnes qui me permettent de vivre un plaisir libre, et sans contraintes.
L’amour est sans souffrance.
 
JOUISSANCE :
voir aussi « PLAISIR »
La jouissance est source d’adrénaline.
L’humain est alors dans l’envie de laisser le corps diriger tout son être.
Il est gourmand à vouloir tout donner ou tout prendre.
Dans la jouissance, le sadisme et le masochisme sont étroitement liés.
S’il y a parfois une idée de partage, c’est l’univers de l’envie de dominer et/ou d’être dominé, qui se révèle dans cette quête où la sexualité est très présente.
C’est le temps de la guerre. Celui de côtoyer la mort, de tuer.
Pour jouir, l’humain a un besoin réel de jouer avec la soumission et la désobéissance, comme avec des mécanismes d’efforts, de jalousie et de violence envers soi, ou l’autre.
Le travail permet à beaucoup d’humain de jouir. C’est compréhensible en saisissant qu’étymologiquement, le mot « travail » vient du bas latin qui signifie « torture », et aussi « esclavage ».
La douleur de l’esprit, du cœur comme du corps de soi-même ou de l’autre, peut aussi déclencher une jouissance.
La jouissance révèle le « coït animal triste » de l’humain.
La jouissance est une quête d’un faux plaisir éphémère. Elle entraîne toujours des ondes de choc, à la différence du plaisir.
Le plaisir nous libère des ondes de charme constructrices, pour ouvrir les portes du bonheur, de l’amour.
 
JUGEMENT :
Un jugement est une prise de position plus ou moins arbitraire, en lien avec une situation problématique ; lorsque l’on ne sait pas vraiment comment agir au mieux.
Dans notre société, il y a des hommes et des femmes qui ont autorité sur le peuple, donc aussi sur mes actes dans le monde, pour apporter le « bon jugement ».
Cependant, le « juge » n’est pas là pour me juger.
Il devrait être présent pour faciliter un jugement, face à un souci qui n’est pas facile à résoudre.
Le rôle du juge est — selon sa fonction — de restaurer une loi qui aurait été bafouée, d’aider à améliorer une situation conflictuelle, ou à permettre de réparer une injustice.
Attention.
Pour vivre heureux, vivons cachés… de celles et ceux qui ne peuvent ou ne veulent pas comprendre notre bonheur, écrivait Jean Pierre CLARIS de FLORIAN.
Cependant, lorsque je suis présent dans une société, un pays, une entreprise ou une école, je dois veiller à respecter au mieux les lois en vigueur, même si je ne suis pas en accord avec elles, même si ce n’est pas moi qui les aient décidées.
En cas de souci, face à une maladresse ou la tricherie du système (c’est aussi moi qui triche parfois), il faut se protéger au mieux. C’est compliqué quand nous sommes face aux personnes ayant l’autorité, qui jugent seulement la conformité de nos actes, avec des lois d’un jour, qui ne sont pas nécessairement prescrites pour notre bien-être.
Une loi qui est imposée à l’ensemble d’un peuple, ne respecte jamais la spécificité de l’individu !
Une loi annonce donc toujours les échecs à venir !
Qui oserait m’imposer une loi et porter un jugement sur moi ?
Personne n’est parfait, personne ne détient la vérité.
Je suis le maître de ma vie ; cependant, lorsque je quitte mon jardin secret — mon « île de pirate » — le monde du dehors a ses obligations et ses interdits, auxquels il est plutôt préférable de se contraindre, ou de manier l’esquive avec art, afin de ne pas être mis à défaut.
« Pas vu, pas pris » dit le proverbe…
Le risque de trouver plus malin, plus rusé, voire plus tricheur que moi, existe !
Si je suis pris, dommage pour moi.
Ce que je décide, est-ce destructeur ?
Oserais-je apprendre à être subtile, et à utiliser mes talents, mon intelligence, et mon savoir, afin de m’intéresser à ce qui construit ?
C’est un « jugement » comme un autre.
Si je provoque « une onde de choc », je m’abîme toujours.
Il me semble que « l’onde de charme » est préférable : elle annonce l’amour humain.
Même si la société dans laquelle je grandis n’est pas celle que je souhaite, il me faut m’adapter au mieux, en évitant de me mettre en danger avec le système, et en tentant de ne pas perdre mon idéal.
Si je tue en fier soldat, « l’ennemi de la nation », celui qui habite tranquille, de l’autre côté du fleuve, j’aurai une médaille, et mon adversaire aussi… à titre posthume.
Si je tue mon voisin qui est vraiment méchant, je risque la prison…
D’autres décident par « jugement » que le malade doit mourir pour son bien, ou que l’embryon n’est pas un humain… ou qu’il faut sauver le prématuré à tout prix.
Si je demande ou provoque un avortement deux jours après la date limite autorisée, je suis un assassin… Deux jours avant, j’ai respecté la loi… cependant, ai-je aussi la liberté de ne pas vouloir agir « pendant la date légale » ?
Une femme doit-elle se soumettre au « jugement » d’un autre, et se conformer à une loi pour savoir ce qui semble préférable pour elle ?
« Être contre » un jugement n’est pas vraiment constructif.
« Ne pas être pour » un jugement, peut nous inviter à réfléchir davantage sur une situation.
Un drame pour un autre ? rien n’est simple.
Un soldat est-il responsable de ses actes, même lorsque ses supérieurs jugent comme une « bonne » guerre, le champs d’horreur où il combat ?
Il n’y a pas le « bon jugement » face à la vie, face à la mort.
Je suis attentif alors à bien comprendre les lois du monde, avec une bonne gestion de mon espace-temps !
Les « jugements » sont actés par des humains comme les autres, ayant leurs propres problèmes.
Ceux qui jugent, décident selon les lois d’un système, les intérêts économiques et/ou conformément à des croyances divines.
Il y a aussi parfois des avocats honnêtes, attentifs à veiller sur l’impartialité des jugements.
Il ne faut pas croire que le monde de la justice est peuplé de femmes et d’hommes ayant tous et chacun le minimum de pudeur, d’humilité et d’intégrité souhaitable.
En France, par exemple, il y a une école officielle : l’École Nationale de la Magistrature, l’ENM, qui fut créée voici très peux d’années — en 1958 — pour former normalement et honnêtement tous « les juges ». Il y a d’autres écoles, pour devenir avocat, et il existe aussi des charges héréditaires dans des domaines souvent méconnus par le peuple. Ceux qui instruisent les élèves, ont rarement la neutralité qui serait souhaitable.
Voici moins de cent ans, c’était par privilèges que l’on se décidait juge… et aujourd’hui encore, il y a de très nombreuses « portes » étonnantes à ouvrir (par le biais de la politique, surtout), pour arriver à obtenir « un titre », qui donne généralement plus de pouvoirs à certains, que de devoirs !
Hélas.
Les compétences en matière de jugement, ne sont surtout pas assurées par un diplôme que l’on peut avoir obtenu par tricherie, complaisance ou manipulation.
Il est raconté dans quelques livres anciens, qu’à une époque lointaine, un peuple était « gouverné » par des « juges ». Ces juges étaient tellement iniques, que ce peuple a préféré les chasser… pour décider finalement de se soumettre à l’autorité de « rois ».
Peut-être un jour, les humains arrêteront de céder leur capacité de penser à d’autres. Ils pourront alors trouver en eux-mêmes le meilleur « jugement », afin d’assumer leurs forces vives, et vivre libres, sans peur, sans honte, avec amour !
 
MARIAGE POUR TOUS
Ce qui est étonnant dans notre société, c’est que le mariage est un acte qui se veut totalement gratuit. C’est un service offert au peuple par un officier agissant au nom de l’État — un maire ou un de ses adjoints — pour unir deux individus.
Le mariage est annoncé comme une action libre, ouverte aujourd’hui à tous… pour le bonheur de tous, et chacun.
Par contre, ce qui est très étonnant, c’est que le divorce est toujours un acte payant qui est à effectuer devant un juge de l’État, avec obligatoirement un avocat pour « conseiller » les protagonistes au divorce.
Le divorce, même à l’amiable, entraîne une « condamnation » par l’État, pour rupture d’un contrat entre deux personnes.
Sur leurs documents d’état civil, la formulation « divorcé(e) » est définitivement inscrite, comme la marque indélébile d’une désobéissance civile !
Le mariage civile ne serait donc pas un engagement entre deux individus, mais un acte sociétal de deux personnes, vis-à-vis de l’État, auquel il faut rendre des comptes !
Pour le mariage religieux, c’est encore plus complexe à comprendre… et je n’arrive pas encore à l’expliquer : des individus sont unis par un dieu…
 
MASTURBATION :
Une pratique naturelle, vécue par une femme ou un homme pour une rencontre plaisir avec tout son propre corps, et son sexe. C’est avec la main, et par extension, de toutes les manières possibles.
En solitaire ou en compagnie.
C’est la sexualité la plus importante dans la vie d’un humain, puisqu’elle est praticable de la naissance à la mort, sans nécessiter la rencontre avec l’autre. Elle est vécue dans la phase narcissique comme un temps de restauration, de plaisir : le moyen de se recentrer, de créer un espace de paix nécessaire.
Chez le garçon, lorsqu’il devient pubère, il y a éjaculation au moment de l’orgasme. C’est aussi important que d’uriner et de déféquer, et il ne faut surtout pas se frustrer, s’interdire ou reporter ces besoins qui permettent au corps d’être en harmonie.
La masturbation aide à être en bonne santé.
Attention, la rencontre merveilleuse avec le corps de l’autre ne doit pas nous frustrer ou nous interdire ce plaisir solitaire !
L’autre ne doit pas être un élément de substitution, de remplacement à cette rencontre avec soi-même.
C’est très important, car l’autre n’est pas à considérer comme le lieu de nos épanchements !
D’après les études des docteurs KINSEY et VIRAG, un homme de cinquante ans en bonne santé physique et psychologique, a un rythme masturbatoire d’environ vingt-et-une fois par mois.
 
MÉDECIN :
Nous avons parfois besoin du médecin, afin de mieux comprendre nos soucis de santé, comme nous devons rencontrer le garagiste pour la voiture, lorsqu’elle a des soucis.
Médecins, garagistes… les deux le savent : leur métier leur assure un revenu !
Il faut être très attentif à ce qu’ils racontent.
Pour le médecin, c’est encore plus sérieux : cela concerne notre santé… notre corps !
À certaines époques, dans certaines civilisations comme cela fut notamment en Chine ancienne, les gens du peuple entretenaient le médecin tant qu’ils étaient en bonne santé… et lorsque quelqu’un était malade, le médecin ne recevait plus rien de lui…
Aujourd’hui, c’est plutôt l’inverse. L’on se rend compte qu’être malade est fort rentable à beaucoup de gens, vivant du mal-être des humains. Les médecins dépendent de plus en plus des intérêts de directeurs d’hôpitaux, de cliniques, de patrons de chaînes de laboratoires pharmaceutiques…
Tous doivent rendre des comptes aux actionnaires, aux politiciens.
Attention aussi : un joli diplôme très sérieux de « docteur » ne nous donne pas la certitude d’être face à bon médecin… qui n’a pas triché dans ses études, ou qui n’est pas malade dans sa tête.
Il n’y a pas encore en France ou ailleurs, de médecins qui vérifient la bonne santé mentale des autres médecins.
Autrefois, un médecin devait prononcer un serment qui lui faisait promettre d’être honnête et juste dans son métier, au service du malade. C’était « le serment d’Hippocrate ». Monsieur de MOLIERE s’en inquiétait déjà… aujourd’hui, nous le savons : il n’est plus reconnu — ce serment — comme la règle d’or de bonne conduite… et des médecins parfois, ont hélas oublié leur raison d’être honnête. Il faut donc toujours se poser des questions sages, sur la qualité de leurs prestations.
Certains médecins sont à la solde de laboratoires pharmaceutiques (ils proposent des médicaments pas toujours utiles pour nous, mais qui leur rapportent beaucoup d’argent à eux, et à leurs amis). D’autres médecins sont même au service d’une firme multinationale, d’un parti politique, d’une dictature, ou d’une religion, voire d’une secte !
« L’ordre des médecins » créé sous le régime de Vichy, a eu pour première responsabilité d’interdire l’exercice des médecins juifs… puis, beaucoup de ceux qui avaient voté leur exclusion, ont décidé de réintégrer les survivants, après la guerre…
Cet Ordre n’existe pas pour protéger le patient, le malade, et même le médecin, mais il veille à ce que la médecine soit économiquement rentable et politiquement gérée par des autorités sensibles au pouvoir du moment.
Beaucoup d’hommes politiques sont des médecins, alors que cela n’est pas du tout compatible avec les règles définies dans le « Serment d’Hippocrate ».
Enfin, heureusement, il y a des médecins formidables, attentifs, généreux et efficaces comme le docteur Bernard RIEUX, gentil héros du livre d’Albert CAMUS : « La Peste ».
Ces bons médecins plutôt rares, sont dits « HUMANISTES », car pour eux, l’humain et sa santé sont préférés à l’argent, au pouvoir ou à la gloire !
 
MEILLEUR(E) AMI(E) :
C’est une grave erreur que de vouloir annoncer une sélection et une hiérarchie dans nos amours. Cela provoque la jalousie des autres et cela entraîne des drames.
Il est préférable de parler de ses très bons amis, de ses très bonnes amies…
Chacun, chacune, appréciés en leur temps.
J’apprends à aimer sans mesure.
Aimer, c’est « totalement », sans partage.
Cependant, l’amour donné, comme l’amour reçu sont liés à l’espace-temps.
 
MÉNOPAUSE :
Étape de vie chez l’être féminin où le cycle menstruel perd sa fonction d’ovulation.
La matrice n’est plus active. L’être féminin ne peut plus donner naissance à un enfant.
C’est le temps de la sagesse, de l’esprit, donné pour que s’épanouisse la femme, qui fut fille, parfois épouse et mère… et qui prend en considération totale, le droit de vivre en tant que FEMME.
 
MÈRE PORTEUSE :
De tout temps, la matrice de la femme a été considérée comme un outil pour perpétuer l’espèce humaine, sans penser à l’amour…
Les mères ont donné trop longtemps la vie « au petit de l’homme », à un tyran, ou à un citoyen, qui va devoir travailler et partir à la guerre…
Donner naissance à « son » enfant, c’est aussi parfois oser aimer et éduquer un être qui en a besoin, pour qu’il prenne un jour son envol !
 
MYTHOLOGIE GRECQUE :
Une famille de dieux qui vivent avec beaucoup plus de libertés que ne s’en autorisent les humains (surtout en matière de plaisirs, dont la sexualité).
Parfois l’on nous raconte que les dieux décident comment les humains doivent vivre, alors que eux, sont au-dessus des obligations et des interdits imposés !
 
NARCISSIQUE :
La phase narcissique développe la découverte et l’amour de soi, pour être disponible à la rencontre avec l’autre.
Parce qu’il est difficile d’aimer les autres si l’on ne se connaît pas, si l’on ne s’aime pas soi-même.
OVULE :
« L’œuf » de la femme qui peut être fécondé par un spermatozoïde lorsque l’homme la pénètre avec son pénis.
Il doit y avoir fécondation pour pouvoir donner naissance à un enfant.
 
ORDRE MORAL :
Gestion d’un système social où la pensée unique viole nos libertés de penser, d’agir… de vivre simplement nos différences.
C’est assez proche de ce que certains nomment « L’Ordre Mondial », ou « Le Nouvel Ordre Mondial »… où de petits groupes de femmes et d’hommes pensent qu’ils sont suffisamment sages et surtout riches, pour décider de ce qui est utile pour l’avenir de la planète, sans trop vraiment se soucier de l’humanité…
 
ORGASME :
Un moment merveilleux de bien-être. Un instant de plénitude où tout se restaure en nous.
L’orgasme vécu en harmonie, à deux… les énergies se multiplient … à l’infini !
 
PÉDOSEXUEL :
Un mot difficile, qui devrait selon les fruits de mes recherches, remplacer au plus vite le mot « PÉDOPHILE ». Il ne faut pas confondre les adultes qui aiment les enfants avec ceux qui en abusent et les détruisent.
 
PÉNÉTRATION (vaginale) :
L’acte sexuel qui se voudrait le plus harmonieux !
Où le pénis de l’homme entre dans le vagin de la femme.
Il arrive malheureusement, que la femme vive cet acte comme le viol de son intimité, parce qu’elle n’est pas prête, parce qu’elle ne le désire pas.
Cet acte est généralement bien vécu lorsque la femme est maîtresse de cet acte. C’est effectif lorsqu’elle prend le sexe de l’homme, pour le guider en elle.
 
PÉNIS :
La partie du corps de l’homme qui doit certainement être la plus respectée, protégée et aimée. C’est en effet la plus sensible au plaisir !
On dit pénis, mais aussi zizi, sexe, verge, bite, phallus, membre, vit, chibre…
Tous les garçons n’ont pas le même pénis, comme ils n’ont pas la même tête ou les mêmes pieds !
De la naissance à la mort, il peut être en souffrance, malade ou blessé. Et c’est toujours dramatique.
Guérir d’une maladie du « pénis » n’est pas simple, en raison de la honte et des interdits créés autour de la sexualité.
Il faut être très attentif à ce corps, et particulièrement à ce pénis — pour les garçons — afin d’être le plus en paix possible.
La taille du pénis, la forme, la couleur… au repos ou en érection, cela reste souvent lié à l’état d’esprit de chacun.
Plus les hommes sont stressés, moins ils sont en mesure de développer une totale érection.
Il faut apprendre à se détendre…
Pour sa position idéale dans le caleçon, c’est vers le haut, et « droit au centre »… afin de ne pas le faire souffrir lors des érections de la journée. Pour ne pas le déformer, aussi.
Pendant le sommeil, le mieux serait de dormir « en chemise de nuit » l’hiver, et nu lorsque la température le permet, afin de laisser le corps libre, lors du repos. Un caleçon serré peut être un handicap sérieux pour le développement sexuel.
Un pénis non mutilé exige un entretien légitime à cet organe précieux.
Je dois pouvoir décalotter mon pénis complètement chaque jour afin de laisser le gland prendre sa forme, libérer et détendre le frein du prépuce et bien entendu, éviter les adhérences. La masturbation quotidienne aide au développement de la verge et le fait d’éjaculer régulièrement lorsque l’on est pubère, favorise le cycle de la spermatogénèse. Il faut avoir une bonne hygiène en lavant régulièrement le gland avec du savon naturel ou biologique, et non avec des produits dérivés de la pétrochimie !
Un pénis est difficilement mesurable au repos… car est-il vraiment au repos ?
En érection, la taille « plaisante » en Europe, est autour de quatorze à dix-sept centimètres. Il y a aussi le diamètre qui peut être considéré : comme pour les pieds et par exemple le gros orteil, certains en ont des larges, d’autres des fins…
Un sexe trop gros peut être un handicap.
Un sexe trop petit entraîne des souffrances psychologiques réelles, en lien avec le pesant « regard des autres ».
En dessous de treize centimètres, c’est un « petit sexe ».
Ce n’est pas forcément simple à assumer.
Les hommes adultes qui n’arrivent pas à s’aimer, qui n’accueillent pas leur corps tel qu’il est, deviennent de grands frustrés en secret et s’ils ne tombent pas dans la marginalisation, font souvent de la politique ou la guerre… ce qui est assez proche.
Il faut huit centimètres de pénis en érection (d’après les études réalisées par le docteur KINSEY), pour qu’une femme adulte puisse jouir pleinement d’une relation avec pénétration vaginale.
Chez les femmes, dans la relation amoureuse, l’aspect du pénis — même si cela est important — n’est pas l’élément majeur du plaisir !
On fait l’amour avec tout son être : corps, cœur et esprit…
Si l’homme n’utilise « que » son pénis dans la relation, ont dit qu’il « baise » ou qu’il « se reproduit ».
L’amour… c’est autre chose !
Être mal dans sa peau et ne pas aimer son sexe, c’est un levier d’énergie pour se passionner de pouvoir… l’impression d’être finalement « supérieur » à l’autre, sous une autre forme, lorsque la virilité vient à manquer.
D’autres — plus humains — apprennent à s’aimer comme ils sont, et préfèrent la rencontre harmonieuse.
Autour de seize centimètres, pour un pénis, c’est plutôt sympa !
Mais il y a la couleur, la forme… l’aspect général !
Si je trouve alors que mon sexe est beau, je peux le montrer à celles et ceux qui aiment voir de jolies choses !
Pour faire rire ou pleurer les copains ?
Pour donner du désir à l’être que je désires…
Au-delà de vingt centimètres, pour un pénis, c’est étrange… et difficile aussi certainement à assumer ?
Je demande à voir… Il y a tant de légendes !
Avec un sexe « trop » grand, l’érection peut devenir difficile, et la rencontre amoureuse plus complexe.
Là aussi, avoir un sexe trop gros, trop grand est un handicap, et la frustration peut devenir une arme de pouvoir, par la violence.
Un pénis est (enfin) à sa taille adulte autour de vingt-huit ans.
Certaines situations d’obésité et de stress peuvent réduire la taille du pénis !
Il y a des psychanalystes — bien dans leur peau — à l’écoute, pour aider les femmes et les hommes à trouver, retrouver leur corps… leur sexe !
 
PIRATE :
Une femme ou un homme volontaire avec beaucoup de courage et d’audace, qui se plaît à vivre hors les lois des systèmes qui avilissent les humains. Elle ou il tente de rendre aux plus faibles, ce que des puissants leur ont pris par la violence ou la ruse.
Le pirate agit parfois directement contre les systèmes politiques, financiers ou religieux, qui tiennent en esclavage beaucoup de peuples apeurés.
Il ne faut pas confondre le pirate avec un corsaire : le pirate est un être libre, alors que le corsaire est au service d’un maître.
Robin des Bois était un célèbre pirate, mais l’Histoire officielle tente d’en faire un sujet au service du roi Richard Cœur-de-Lion !
Il n’y a pas de « bon tyran ».
 
PLAISIR :
Le mot qui invite au bonheur, dans la vie des femmes et des hommes libres.
Les sources du plaisir sont très nombreuses, et la sexualité en est une majeure.
Le plaisir est constructif. Il permet la rencontre dans un réel respect de soi, et de l’autre. Il ne nous abîme pas, et surtout, il n’abîme pas l’autre.
Le plaisir développe le désir, et produit des endorphines.
C’est le temps du donnant/donnant.
Le temps du cœur, où l’on préfère l’échange à la guerre.
C’est aussi un espace de lutte pour réussir. Dans le plaisir, il y a l’ambition de bien vivre, afin de révéler « l’être » que nous sommes, à travers notre capacité à œuvrer.
Le plaisir est dans l’onde de charme, ouvrant à l’onde d’amour ; à la différence de la jouissance qui dégage toujours des ondes de choc.
 
PRATIQUES INITIATIQUES :
Jeux sexuels vécus seuls ou à plusieurs, où l’on découvre notamment les lieux de plaisirs du corps humains.
 
PUBERTÉ :
Une étape délicate de la vie humaine où le corps se transforme, pour entrer dans l’âge adulte. Les organes sexuels deviennent actifs dans leurs capacités à reproduire l’espèce.
La fille commence ses cycles d’ovulations actifs.
Le garçon produit du sperme, qu’il libère dans ses éjaculations.
 
PUDEUR :
Craindre la nudité ?
Un art qui se cultive par la honte et la peur :
L’enfant qui veut voir ses parents nus, regarde par le trou de la serrure de la salle de bain…
La mère ou le père qui veut voir son enfant nu, regarde par le trou de la serrure de la salle de bain…
Ridicule jeu où tout le monde est frustré, où tout le monde triche : on n’ose pas se parler, s’écouter, se voir… se comprendre !
 
PURETÉ :
Être fier de ses pensées, ses paroles et ses actes…
Ce n’est pas morale.
C’est avoir des valeurs.
Vivre avec des règles du jeu sans s’abîmer, sans abîmer l’autre.
 
La RAISON :
Le côté « sage » de l’humain.
Notre ESPRIT.
Il ne faut pas oublier la liberté du CŒUR et les pulsions du CORPS, en harmonisant les trois. Sinon, « qui veut faire l’ange, fait la bête », écrivait Blaise PASCAL de MONS. Cela signifie que nous ne pouvons pas tout décider seulement avec notre tête !
Il faut aussi écouter le corps et le cœur, pour éviter les bêtises, les erreurs et les maladresses !
La dysharmonie engendre souvent des drames.
 
RELATION DE SUBSTITUTION :
Pour la pénétration, cela se dit lorsque dans une relation sexuelle l’on utilise un homme, un enfant, un animal ou un objet, voire une plante, la terre… à la place du corps de la femme qui se fait absente. Cette pratique peut être dramatique — surtout entre humains — car c’est vécu la plupart du temps par la victime, comme un viol, parfois initiatique.
C’était courant sur les bateaux avec « le mousse », ça l’est toujours en prison, avec les petits nouveaux ; dans les casernes avec les « gironds », les couvents, les monastères avec les « novices » ; les usines avec les « apprentis » ou dans les pensionnats avec les « élèves ».
Cela n’a généralement rien à voir avec une relation homophile.
C’est généralement un massacre.
 
RELIGIEUX ou RELIGIEUSE :
Homme ou femme qui sont les hérauts des idées, des lois, des interdits et des principes, fondés sur une croyance en un ou plusieurs dieux. Le but premier est finalement de donner un sens à la vie de l’humain au-delà de son état terrestre (après la mort).
Les croyances religieuses permettent de tenter d’imaginer et de comprendre l’être humain, avant sa vie et après sa mort.
La peur de la peur de la mort est une des raisons principales pour l’humain, de vouloir croire en quelque chose pour « l'après »…
Alors, les religieux et les religieuses nous proposent des règles de vie toujours impossibles à respecter, et souvent douloureuses à vivre sur Terre — de notre vivant — pour que nous ayons l’assurance d’être heureux une fois mort, dans leurs idées de paradis… à condition de ne pas fauter, de ne pas échouer !
Bien entendu, comme l’échec est obligatoire puisque les règles de vie proposées sont étudiées pour faillir, les religieux et les religieuses, sont là afin de punir, consoler, encourager, tout en développant davantage de honte, de culpabilité et de résignation.
L’art de la soumission volontaire…
L’orgueil de l’humain, de se croire exceptionnel et supérieur à la nature, en fait finalement un esclave de toutes ces croyances, imposées par la ruse des religions.
 
RÊVE :
La possibilité de vivre dans le sommeil, ce que la réalité du monde nous limite, ou nous interdit.
Un espace-temps privilégié pour nous restaurer, plus important encore que la masturbation.
Lorsque nous avons peur de nos rêves « trop libres », le sommeil nous angoisse… nous craignons d’aller nous coucher, nous n’arrivons plus à nous endormir… et les insomnies commencent !
Les somnifères reposent alors un peu les corps, sans reposer l’esprit qui se restaure seulement par le rêve.
Alors, petit à petit les personnes qui ne rêvent plus à cause d’une médication chimique, sont de plus en plus fatiguées psychologiquement ; elles perdent la mémoire, et dépriment… et deviennent des sousvivants : des vivants-morts.
Hélas.
 
SEINS :
Un des organes de plaisir de la femme et la source d’alimentation du nouveau-né. Les seins sont l’objet de nombreuses convoitises dans un monde où l’apparence est formatée par la mode et l’argent.
La beauté est d’abord un état d’esprit, un ressenti affectif… un désir physique !
 
SEXUALITÉ HÉTÉROPHILE DÉVIANTE :
Tout acte sexuel vécu avec une relation de substitution ou en faisant usage de pratiques destructrices, voire déstructurantes, que ce soit condamné ou non, par les lois civiles et religieuses.
 
SEXE :
Un petit mot qui veut dire tant de choses… L’on en oublie peut-être l’origine animale de notre race humaine, et son instinct de reproduction.
C’est très banal le sexe…
Les animaux ne se posent pas autant de questions que nous, et ne le dramatisent pas !
 
SPERME :
Le liquide contenant les spermatozoïdes nécessaires à la fécondation de l’ovule pour donner naissance à un enfant.
Il faut être pubère pour qu’il y ait éjaculation de sperme, hors de la verge en érection, à l’issue d’un orgasme, ou par évacuation naturelle, dans le sommeil ou les urines.
Les hommes d’aujourd’hui, notamment à cause de la pollution, du stress et d’une alimentation de plus en plus toxiques, ont de moins en moins de spermatozoïdes fertiles, dans un éjaculat…
La stérilité est grandissante…
L’espèce humaine risque de s’éteindre, comme ce fut le cas pour les dinosaures, certainement : une espèce qui n’a plus de raison d’être, dans la nature… disparaît !
Certains hommes aimeraient que dans la relation sexuelle, la ou le partenaire trouve cela agréable au goût… alors qu’ils éprouvent eux-mêmes du dégoût pour leur propre sperme… C’est étrange !
Si l’on souhaite vivre un plaisir avec l’autre, il est nécessaire de ne pas être en contradiction avec soi-même.
 
SUBLIMATION, SUBLIMER :
L’art de remplacer, de changer de désir, ou de trouver une parade pour vivre autrement ce que l’on ne peut pas vivre.
L’art de contourner ce qui nous semble impossible à vivre, pour de nombreuses raisons physiques, affectives, ou sociétales… (souvent morales et/ou religieuses).
Afin de tenter d’être heureux malgré notre désillusion première ?
Souvent, avec la sublimation, au lieu d’obtenir un réel plaisir qui dur, c’est une jouissance éphémère, avec un risque de souffrance… qui dure.
 
TRICHER :
Agir avec des actes ou des paroles qui ne sont pas en accord avec nos règles du jeu. Cela nous rend au final, mal à l’aise.
Une action souvent culpabilisante, vis-à-vis d’une autorité ou d’un être. Il y a des risques à mesurer.
Le « pas vu, pas pris » n’est pas assuré.
Tricher avec soi-même, est dramatique : c’est de l’autodestruction !
 
VÉRITÉ (DIRE la) :
C’est peut-être s’exprimer librement et sincèrement en racontant ce que l’autre espère, peut ou veut entendre…
Il y a toujours la vérité de l’autre.
Notre propre vérité ne concerne pas nécessairement les autres.
Anatole FRANCE disait à propos de la vérité scientifique qu’elle avait une espérance de vie de quatre-vingts ans environ… et pour la vérité historique : aussi fragile que le vent !
Dans ses dernières confidences avec Nicolas SÉGUR dans son livre des « Dernières conversations avec Anatole FRANCE »… voici un bel extrait :
« D’abord mon ami, je crois que s’il s’agissait de la Vérité absolue, nous pourrions en dire ce que ce diable de VOLTAIRE faisait dire à SPINOZA, s’adressant à son dieu :
“Je crois, entre nous, que vous n’existez pas.”
« Mais les vérités dont nous parlons sont des vérités tout à fait relatives, einsteiniennes, précisément. Le temps, le lieu, tout peut les changer. Résultat des connaissances humaines, elles subissent nos métamorphoses. Dans le domaine scientifique et historique, une vérité, cela veut dire une explication que, pour le moment, rien ne peut contredire. Lorsque notre explication d’un fait reçoit le consentement de tous parce qu’elle paraît concorder avec l’ensemble des notions connues, nous l’appelons vraie.
« Alors, nous remplaçons ou nous rapiéçons sans cesse nos vérités. On dit que le corps humain se renouvelle tous les sept ans. Le plus grand nombre des vérités humaines se renouvellent tous les siècles à peu près, excepté quelques-unes, très rares, qui peuvent durer un millénaire.
(…)
— Alors, il n’y a pas de Vérité absolue ?
— Non, mais il y a des vérités qui vivent et meurent comme nous. Définissons la vérité, si vous voulez, en disant qu'elle est la conclusion de tout ce que nous connaissons aujourd'hui : le résultat algébrique de nos notions sur le monde, au moment où nous sommes. Lorsque d'autres observations, d'autres faits, d'autres idées viendront s'y joindre, notre addition ne sera plus exacte, notre vérité ne sera plus la Vérité.
— Mais alors, la Vérité ?
— Alors, alors, mon ami, la Vérité se passe dans notre petit cerveau. Ne la projetez pas hors de son misérable milieu. Elle en serait effrayée. (...) ».
 
VIOL :
Le drame humain dans une société animale qui manque d’amour. Il y a toujours deux victimes.
Si l’on apprenait davantage à communiquer et à parler d’amour et de sexualité, beaucoup moins de vies seraient brisées.
 
VULVE :
Le « sexe » de la femme comme le pénis de l’homme. C’est la porte de la vie, du plaisir, du mystère aussi… à la rencontre du vagin, du clitoris…
En tant qu’homme, je n’aurai jamais les compétences pour en parler aussi bien qu’une femme !
 




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À suivre…
Pour d'autres définitions revisitées !

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Ce n'est pas révolutionnaire
C'est Évolutionnaire !




« Remerciements et dédicaces »

Merci aux êtres rencontrés qui m’ont édifié par leur force vive,
leur soif de liberté, leur désir d’amour, leur quête créatrice
et l’attention qu’ils ont bien voulu m’apporter.
C’est par eux que j’apprends et que je puis transmettre
mes connaissances de l’amour humain.


Merci aussi aux bipèdes désespérants qui nous montrent que l’évolution est encore en marche, vers le devenir de l’humain…


« Ceux qui ne nous tuent pas nous rendent plus forts » !

Pour tout humain en quête de liberté et soucieux de l’autre,
Il y a des temps de lutte
Et l’oiseau qui s’envole n’est pas à l’abri des coups de canons…



Ce livre est donc dédié en particulier au Major — sous-officier de gendarmerie certainement à la retraite, mort ou en prison — qui m’a un jour arrêté et fait découvrir les plaisirs de « la garde à vue sur 48 heures », et que j’ai surnommé Pol POT (en lien avec son nom et surtout ses mœurs). Je n’oublie pas non plus de rendre hommage à toutes ces dames et messieurs des tribunaux, et de la justice en général (de très rares exceptions à saluer : j’ai aussi rencontré quelques êtres humanistes et libres, en décalage total avec le système), avec ma pensée la plus forte à la petite Juge inique — tout sourire — qui avait lu « saint » LACAN et « saint » FREUD, certainement dans « Valeurs Actuelles ». Elle qui m’a condamné à quelques amendes pour tenter de me ruiner, sans trouver d’accusateur, en bricolant des chefs d’accusations… et qui aura j’espère une médaille de plus à poser un jour sur son cercueil, pour son acte qu’elle a cru victorieux en bon accord avec ses supérieurs de la Chancellerie (le devoir de me « détruire » par tous les moyens avait été formulé par les plus hautes instances). Et enfin — avec un accessit — merci au « journaliste » spécialiste des brèves de prétoires, ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même : oui, ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même, le journaliste de la grande école des ratés qui est à élever en mascotte pour tous les apprentis bouffons dans l'art d'écrire médiocrement selon la science de Dick MAY ! 
ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même est l’homme qui n’a même pas vu l’homme qui a vu l'homme qui a dit avoir vu l’ours, et qui, apeuré cependant, commet des articles dans un journal très peu lu : LE MIDI LIBRE… de la presse en fin de vie (mais par sa diffusion sur l’Internet, il peut étaler davantage ses propos nauséeux). Il écrit ce qu’on lui demande de raconter pour tenter de massacrer l’honneur d’un homme qui dérange… naturellement au prix de propos mensongers. Il fait cela sans talent, pour manger dans la main de ses grands frères en politique… lui qui a toujours peur, très peur de manquer…
Merci à vous particulièrement et merci aux autres médiocres et lâches pions ou roitelets du système si cher à Monsieur CICERON révélé par l’action : ceux qui arrêtent et torturent sous les ordres, ceux qui jugent sous les ordres, ceux qui condamnent sous les ordres et ceux qui légitiment tout cela sous les ordres… afin que les peuples soient rassurés, édifiés, formatés et surtout apeurés pour rester d’obéissants moutons, cheminant au milieu des troupeaux qui iront tôt ou tard à l’abattoir.
Vous avez fait de moi :

Un pirate accompli.    




Réalisation :
© Yves Philippe de FRANCQUEVILLE.
Tous droits réservés.
Montpellier,
première édition en octobre 2013.
Nouvelle édition au 12 novembre 2015








Par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE, pirate des mots et philanalyste en herbe. Tous droits réservés ©.
Pour lire un article de ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même, et mieux comprendre l'aventure du pirate… cliquez sur le lien 
Yves Philippe de FRANCQUEVILLE vs ce journaliste, oui, dont je ne puis plus citer le nom en raison de procédures judiciaires nouvelles à mon encontre décidées par lui-même !
Auteur : Yves Philippe de Francqueville
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