Mémoires d'un pirate, troisième acte, par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE… vers la philanalyse !
Scène neuvième
9.
La chasse à l'homme commence…
Yves Philippe de FRANCQUEVILLE est coupable.
Le philanalyste doit être mis hors d'action :
Mort ou vif !
Début Juin 2007, disions-nous, après un procès grand-guignolesque, un notable est finalement ravi de prendre juste encore quelques mois d’ombre… Il a été bien épargné. D’autres pour bien moins aurait eu dix années de prison !
Le lendemain une plainte était déposée par la mère de la victime (avec qui elle est brouillée à mort) — furieuse de voir son compagnon condamné — contre Yves Philippe de FRANCQUEVILLE.
La chasse était ouverte, il doit payer.
C’est à la gendarmerie de mener l’enquête et elle doit aboutir nécessairement à une mise en examen.
Des politiques et des religieux s’en mêlent.
Pendant une année, plus d’une centaine de patients, d’amis et de membre de la famille furent interrogés, convoqués, sommés de répondre sur les agissement certainement sectaires et les escroqueries et manipulations de celui qui les avait aidé… et qui dégoûtés et mal à l’aise — désobéissant aux ordres — s’empressaient de le prévenir de la mise à mort qui s’annonçait.
Des lettres et des lettres à « POL POT » et au procureur… rien n’y fera. Surtout lorsqu’enfin la preuve utile tombe : une copie de lettre adressée pour usage à une juge des enfants, où le philanalyste exprime son inquiétude pour la sécurités de 4 enfants, vivant chez leur mère, après un divorce complexe… et il se prétend par écrit « enquêteur expert ».
Copie de la lettre adressée à la juge pour enfant… qui fut considérée comme une des preuves du danger que représente ce philanalyste engagé qui se mêle de ce qui ne le regarde pas !
En effet, la mère ayant eu cette lettre par son avocat s'est empressée de la faire parvenir à son frère officier supérieur de la gendarmerie pour attaquer, de concert avec une procureur et une juge d'instruction "de la famille de madame"…
Yves Philippe de FRANCQUEVILLE est alors plus que tout en grand danger… comme les 4 enfants qui vont continuer à subir les actions toxiques de leur mère, protégée par une justice corrompue et, hélas, non soignée !
Drame familiale en suivra, hélas !
Des lettres comme celle ci, notre philanalyste en a écrite une bonne centaine en douze années de travail, afin d'aider au mieux les patients… et cela n’avait jamais choqué les juges aux affaires familiales et les juges pour enfants des différentes chambres de la région, comme les nombreux avocats, sollicités dans plus d'une centaine d'affaires.
Il est bon de savoir que, "enquêteur expert", ce n’est pas un titre (même pas en entête du papier à lettre) mais le nom de fonction donné à toute personne chargée de mener une enquête familiale. Sur l'Internet c'est même à l'époque une pratique courante pour certains enquêteurs sociaux de noter qu'ils ont la charge d'enquêteur expert pour la chambre de la famille…
L'audace et la liberté…
Deux bonnes raisons d'être accroché au pilori !
Maintenant, c'est bien une expression à éviter au risque de voir tomber les foudres lancées par celles et ceux qui ont eu tant de mérites à entrer dans le sérail des "experts"…
Le problème est que les connaissances des juges des cours d’assises, d’appel ou de cassassions sont limitées… surtout lorsque cela concerne des sujets de moindre importance, comme des enfants en danger. Impossible de leur expliquer que le terme d’« EXPERT » n’a pas été utilisé et que cela est encore et toujours réservé à une minorité de médecins ou de psychologues en mal de sensations ou s’ennuyant fortement dans leurs cabinets déserts.
Notre philanalyste de service avait surtout eu l'outrecuidance de taper pas maladresse et "non parfaite connaissance absolue du droit français" dans sa lettre "chambre des familles" alors que le tribunal a juste une "chambre de la famille"…
La condamnation est certes plus légitime à entendre les vociférations de la juge outrée par cette faute grave de mélange de genre !
Oups, en effet, chambre "de la" famille plutôt que chambre "des" familles… la nuance est remarquable !
Condamné pour une faute de frappe ?
Nous en reparlerons.
Et en 2016, il est grand temps d'en reparler : Yves Philippe de FRANCQUEVILLE était-il un précurseur ?
Ah, c'est que la Chambre "de la" Famille est sur le point de devenir la Chambre "des" Familles, en raison des avancées officielles du système engagées par le vote des lois sur le "Mariage pour tous", donnant au principe de la famille, un pluriel à instaurer.
Il y a aussi un autre drame à venger : un des procureurs de la Ripoublique se morfond en raison du départ de sa compagne… partie pour de nombreuses raisons… Le souci pour notre héros, c'est que la psy qui suivait et aidait la dame libérée, était "supervisée" par lui…
La psy fut attaquée, et explosée par de multiples redressements fiscaux et autres attaques en tout genres… et son superviseur allait très vite entrer dans la tourmente !
Il ne faut pas toucher aux seigneurs (aux saigneurs) de la justices.
L'enquête ne fait que commencer, et la mission : TROUVER n'importe quoi, mais trouver de quoi inculper ce jeune psy audacieux.
Partir au loin, voir du pays… se faire plaisir… Le major de la gendarmerie nationale s’offre avec ses collègues, un aller retour Montpellier/Lille, car deux frères dominicains (dont il faut taire les noms, pour éviter d'autres poursuites judiciaires), aimeraient se venger pour s’être sentis humiliés par un novice étudiant.
Oui, ce temps d'étude fut aussi un espace privilégié pour poursuivre la lutte contre ces personnes qui choisissent à la manière de STENDHAL entre le Rouge et le Noir pour faire carrière…
Le frère Yves Philippe de FRANCQUEVILLE leur avait démontré leur lâcheté et leur méprise de l’humain pour les bienfaits de leurs ascensions vers les sommets.
Oui, la suite… vers
La Scène dixième
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Mémoires d'un pirate, troisième acte, par Yves Philippe de FRANCQUEVILLE… vers la philanalyse !
Auteur : Yves Philippe de Francqueville